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4,13

sur 1223 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Mauvais esprit, es-tu las ?
Valentin Verne est une gueule d'ange revenue de l'enfer. Enfant, il fut séquestré et abusé par un tueur pédophile, déguisé en homme d'église de peu de foi et de beaucoup de folie, surnommé le Vicaire. Adulte, Valentin est devenu un policier solitaire et mystérieux qui excelle dans la résolution de crimes étranges. Passionné de science, il chasse le charlatan comme d'autres la palombe ou la gallinette cendrée. Comme le limier n'est pas trop porté sur les plaisirs de la vie, il occupe son temps libre avec la traque du Vicaire. Valentin est du genre à ramener du travail à la maison. Sous la monarchie de juillet, on ne parlait pas de droit à la déconnexion.
Inutile de consulter Irma et sa boule de cristal ou Marc avec son mug de café équitable pour présager une adaptation Netflixée de ce polar occulte à succès. C'est dans l'horoscope d'un prochain programme TV.
Dire que j'avais été modérément convaincu par le premier roman est un doux euphémisme. J'avais apprécié la description du contexte historique, mes retrouvailles avec le roman-feuilleton et il fallait bien installer les personnages, décrire l'origine du mal, mais les chapitres qui décrivaient la captivité des victimes du vicaire en alternance avec l'intrigue policière cassaient beaucoup trop le rythme du récit à mon goût.
Comme les premières impressions ne sont pas toujours les bonnes, que l'habit ne fait pas forcément le vicaire, j'ai lu ce second tome et les retrouvailles ont permis d'oublier ce premier rendez-vous manqué.
L'enquête s'intéresse aux agissements d'un médium de qualité Marques Repères, qui se vante auprès du très fortuné Ferdinand d'Orval de le mettre en communication, forfait illimité, avec sa fille disparue. La jeune et nouvelle épouse du père éploré demande l'aide du nouveau bureau des affaires occultes, technocrates du tarot, pour démasquer le charlatan de la table tournante avant que le pire arrive. En parallèle, le Vicaire refait son apparition et propose un jeu de piste macabre à l'inspecteur. Que serait Sherlock sans son Moriarty ? Valentin se met en chasse avec l'aide d'un nouvel adjoint et de sa belle actrice Aglaé qui commence à se lasser de son amour platonique. Certains soirs, les parties de Cluedo peuvent agacer et le lecteur a parfois envie de secouer l'amoureux transi en transit des chambres à coucher.
Le récit est rocambolesque même si l'intrigue est un peu convenue et qu'il n'est pas utile d'avoir un CAP en cartomancie ou une formation en ligne … de la main pour supputer le dénouement.
L'instabilité politique de l'époque est si bien décrite que j'ai eu envie de me laisser pousser des rouflaquettes (mais ma moitié a bloqué avec un 49-3), avec un régime « Comme j'aime…pas » dont les portefeuilles changent souvent de poche et un Louis-Philippe qui a compris que les prénoms composés étaient préférables aux séries numérotées.
Je like du Connemara également les décors parisiens que ne font pas que de la figuration. Ils font plus qu'ambiancer l'histoire, ils l'animent. Airbnb ne cautionnera pas mais j'ai trouvé que dans ce récit, les visites guidées dans les bas-fonds de Paris à patauger dans la tripaille et slalomer entre les ruelles coupe-gorges étaient bien plus immersives que les jeux de pouvoir dans les salons des hôtels particuliers. La précision des détails prouvent que l'auteur ne s'est pas limité à consulter Wikipédia en bermuda et qu'il a dépoussiéré toute la documentation de l'époque. Éric Fouassier offre ici plus qu'une gentille reconstitution : c'est un voyage dans le temps.
Dernière évolution favorable par rapport au premier opus, les personnages sont bien moins manichéens, plus adultes, et le Valentin commence à avoir du poil au menton même si ses psychoses le laissent prisonnier de son enfance.
Dommage pour le prestige des rouflaquettes.
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Deuxième volet des aventures de Valentin Verne, toujours à la poursuite des malfaisants de toutes sortes et même du mal absolu représenté par le Vicaire.
Valentin attire le regard des femmes par sa distinction et sa beauté. Ses yeux magnifiques, passant du gris au vert ou inversement, selon son humeur, font des ravages parmi ces dames.
Mais ce qui compte surtout, pour la lectrice que je suis, c'est l'enquête et je n'ai pas été déçue.
Je tiens à signaler que la quatrième de couverture induit en erreur. En effet, ce n'est pas l'inspecteur Valentin Verne « le génial créateur du Bureau des affaires occultes », c'est le préfet Achille Libéral Treillhard. Cf tome 1, page 351.
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Un tome 2 sans conteste bien meilleur que le premier à mes yeux. Honnêtement, plus j'y réfléchis, plus je me demande s'il est bien nécessaire d'avoir lu le tome 1 pour lire ce titre ci. Je ne suis pas sûre qu'il y ait beaucoup d'informations qu'on louperait en procédant ainsi.

On retrouve le contexte de la Monarchie de Juillet et le Bureau des affaires occultes, quelque peu en danger. Valentin se doit de résoudre une affaire et de briller afin de conserver ce Bureau. D'autant que cela lui permet une plus grande liberté de mouvement pour retrouver le démon de son passé, alias le Vicaire!

L'apport historique est une nouvelle fois très bien retranscrit. Que ce soit les préoccupations du moment (le droit des femmes ou les sursauts politiques) ou les évolutions scientifiques. Notre protagoniste se piquant de chimie, l'auteur aborde ces points sans modération, offrant un cadre, une atmosphère à ce récit.

L'atmosphère doit être sublimée par les affaires occultes. Au mesmérisme du tome 1 succède le spiritisme. Un point sur lequel l'auteur reconnaît avoir été un chouïa en avance par rapport au contexte de l'époque mais passons. Ce que je déplore, comme au un, c'est qu'au final cette enquête soit celle qui m'intéresse le moins, que je l'appréhende comme une digression au récit alors qu'il s'agit de l'affaire occulte... Pour moi, les enquêtes occultes auraient pu faire l'objet d'une série à part et le personnage de Valentin Verne, son passif avec le Vicaire un one shot des plus plaisants. le lien ne me saute pas aux yeux et le mélange n'a pas pris avec moi. Mais bon, je ne suis pas l'auteur et vais donc rester sagement à la place de lectrice qui est la mienne, d'autant que c'est une série que beaucoup ont apprécié.
Pour ce qui est de la présente enquête, je l'ai de nouveau trouvée cousue de fil blanc, devinant assez facilement les tenants et aboutissements. En revanche, il y a nettement moins de longueurs et ça c'est appréciable.

Le point fort de ce roman reste indubitablement la lutte qui oppose Valentin au Vicaire. Celle-ci s'est avérée des plus intéressantes : haletante à souhait, l'auteur nous dépeint un personnage d'un tel sadisme... de surcroît l'enquête nous fournit un retournement de situation comme j'aime les lire. C'est aussi par le biais de cette enquête que l'on s'attache à notre protagoniste si froid en apparence et pourtant si vulnérable. C'est par ce biais que l'auteur cisèle ses personnalités.

La fin laisse présager qu'une suite est possible. Pour ma part, je vais rester sur cette note positive et ne pas en demander plus.

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Suite de cette série qui ne comporte que deux tomes pour le moment. Même si je pense me l'acheter dès que je pourrais car j'en aime beaucoup l'ambiance, je continue l'audio tant qu'il est dispo.

Nous retrouvons Valentin Verne 4 mois après le précédent. J'ai trouvé ce tome un peu moins envoûtant que le premier, peut-être parce que le Vicaire est plus présent que l'enquête en cours de Valentin. J'ai ainsi perdu le fil à plusieurs reprises et c'est bien dommage car j'aime bien l'atmosphère de ce roman où je me régale du vieux argot français. J'ai donc préféré quand il basculait sur l'enquête Durval avec son mystère caché. J'ai bien aimé quand Valentin nous dévoile certaines ficelles de l'art et de la chimie de l'époque, on y voit toutes les recherches effectuées par l'auteur pour coller au plus proche du 19ème siècle évoqué de bien des manières. L'histoire avec le Vicaire est longue et semée d'embûches, je ne pense pas que Valentin soit au bout de ses peines. Malgré la lenteur de ce tome, j'ai vite discerné quelques détails qui se sont concrétisés avec la résolution des enquêtes en cours. J'ai malgré tout trouvé dommage qu'on voit moins Vidocq, son personnage apporte un peu plus d'intrigues à l'ensemble. Par contre, la résolution de l'enquête Durval m'a un peu surprise par sa rapidité et on est, un peu comme Valentin, laissé sur notre faim car il nous manque quelques réponses. La fin de ce tome étant ouverte, est-ce que cela annonce malgré tout la parution d'un tome 3 ? En tout cas, pour ma part, j'aimerais bien le retrouver dans de nouvelles aventures occultes. J'ai fini par m'habituer à ce curieux personnage et j'aime bien sa relation avec la jeune Aglaé.

Comme vous l'aurez compris, malgré certaines lenteurs, j'ai beaucoup apprécié l'écoute de ce second tome, il me tardait toujours d'en apprendre plus sur les aventures et les enquêtes de notre jeune inspecteur et de son adjoint. En tout cas, il est toujours intéressant d'apprendre de nouvelles choses par le biais des romans, comme pour le diorama. Si vous êtes amateurs de romans policiers originaux (et psychologiques), je vous conseille très fortement de découvrir ce début de série prometteur. Pour ma part, je les achèterais pour les conserver dans ma bibliothèque et je vais continuer à écumer celle de cette chaîne très fournie et hétéroclite.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Apparitions et disparitions !

Le deuxième opus de la série des aventures de Valentin Verne, chef du service des affaires occultes à la préfecture de Paris se déroule dès mars 1831.

Le contexte historique est superbement décrit et le héros toujours aussi attachant ! Avec sa naïveté, ses doutes et ses valses sentimentales !

Mais les deux enquêtes ne m'ont pas emballée : la poursuite de l'infâme Vicaire, manipulateur et meurtrier, ni celle du mystérieux mage dont la solution (je l'ai découverte très rapidement) arrive sans explications préalables de l'enquêteur.

Eric Foassier nous tient un peu trop la main…
Il nous décrit superbement Vidocq et d'autres personnages de ce XIXe siècle (dont Musset) dont les rôles sont insignifiants dans les enquêtes.
On apprécie la culture de l'auteur qui prend plaisir à nous divulguer ses connaissances.
Il ne nous laisse pas assez d'indices, ni de temps pour résoudre les énigmes.
Les descriptions sont trop nombreuses au détriment des enquêtes.

Un bon moment de lecture pourtant !
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Valentin Verne, le retour ! J'avais hâte de le retrouver afin de savoir si son père littéraire allait lever les mystères sur le personnage horrible du vicaire…

Dans ce deuxième opus, la traque continue, l'inspecteur Verne continuant de chercher son bourreau, surnommé le vicaire, un pédophile… Je précise que nul ne sait s'il est véritablement un homme d'église ou pas.

Dans ce jeu du chat et de la souris, où ce félon de vicaire va le faire courir partout dans un sordide jeux de pistes, une autre enquête va occuper notre bel inspecteur et son jeune adjoint : un homme en proie à un gredin qui lui a proposé de revoir sa fille décédée grâce à des séances de spiritisme.

Dans ce deuxième polar historique, il m'a semblé que l'auteur avait gommé une partie des travers que je lui avais reproché : il s'appesanti moins sur le fait que Verne est un bô gosse, élégant, beau comme un dieu, tout comme Aglaé, son amie, qui est bêêêlle.

Ouf, l'auteur le répète un peu moins et j'ai trouvé que son inspecteur et son amie (la belle comédienne), avaient des portraits un peu plus nuancés que dans le premier tome. Mais on peut encore mieux faire dans les nuances.

Un qui n'a aucune nuance, par contre, c'est le vicaire. On sait peut de choses de lui, hormis les horreurs qu'il a commise avec des enfants, qu'il est fourbe, intelligent, violent, sans scrupules et qu'il vaudrait récupérer Valentin. Hélas, le portrait du méchant aurait mérité un peu plus de profondeur.

Pas pour l'excuser, mais pour expliquer, pour que l'on sache plus de détails sur ce personnage qui, malgré qu'on le voit peu, prend une place énorme dans le roman et dans l'esprit de Valentin.

Sur ce sujet, l'auteur insiste un peu trop à nous rabâcher que Valentin est obnubilé par le vicaire, par ce qu'il lui a fait. Oui, c'est normal qu'il y pense souvent, vu le traumatisme qu'il a vécu, mais on l'a compris, pas besoin de nous le répéter à tout bout de champ. On sait aussi que Valentin chercher une vengeance et non la justice.

Le point fort de ce polar historique, c'est l'Histoire ! En le lisant, on va se coucher moins bête. le contexte historique est bien intégré à l'enquête, on se croirait vraiment dans l'époque, celle où Louis-Philippe régnait et où la Belgique venait d'obtenir son indépendance (4 octobre 1830).

De plus, le style d'écriture de l'auteur fait penser à celui des feuilletoniste de l'époque et pour peu, on a l'impression de lire un roman écrit en 1830. L'auteur a bien potassé son sujet et l'époque et il utilisera des inventions de cette époque pour expliquer une partie de l'enquête de Valentin Verne, qui, tout comme Holmes, se pique de chimie aussi.

Par contre, l'auteur a chaussé ses gros sabots avec un personnage et tout de suite, j'ai compris ce qu'il en était, ce qui m'a coupé le suspense. Dommage, parce qu'il y avait un beau twist à jouer, si cela n'avait pas été aussi gros. J'avais compris aussi un fait important dans l'enquête sur le médium, mais cet éclair de lucidité ne m'a pas privé de mon plaisir. Comme quoi…

Malgré ces petits bémols, j'ai apprécié ma lecture et le roman n'a pas fait long feu, puisque je l'ai dévoré en même pas deux jours. Je l'ai trouvé plus rythmé que le premier et le fait de connaître les personnages a ajouté du plaisir à la lecture.

En résumé, ceci est un bon polar historique où l'auteur joue de son écriture pour nous donner l'impression que nous lisons un roman écrit à cette époque, à la manière de feuilletonistes. L'Histoire est bien présente, mais je ne l'ai pas trouvée rébarbative ou qu'elle phagocytait le récit. L'équilibre entre les deux était bien dosé.

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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J'avais bien apprécié le premier tome des aventures de Valentin Verne, et j'ai attendu un peu avant de me plonger dans le second, craignant d'être déçue.

A tort, car même si ce second opus démarre lentement, il est tout aussi passionnant que le premier, entremêlant une enquête policière : un riche entrepreneur tombe sous la coupe d'un spirite lui promettant de lui faire revoir sa fille décédée, et la recherche du Vicaire, cet être maléfique qui enleva et molesta le jeune Valentin.

Le Paris des années 1830 est très bien rendu, à s'y croire, les personnages sont attachants, tant les policiers que sa douce amie Aglaé qui l'entraîne à des réunions féministes !!!

Vidocq et son réseau d'espions font bien évidemment une petite prestation, joli clin d'oeil.

Une enquête bien menée, des personnages dont j'ai envie de connaître l'évolution ...

Bref ... j'attend le prochain tome !
Lien : http://les-lectures-de-bill-..
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Malgré quelques réserves issues de la lecture du premier tome, j'avais tout de même l'envie de continuer à suivre les enquêtes pas banales de Valentin Verne, le chef du Bureau des affaires occultes à Paris. Secondé cette fois-ci par un assistant, Isidore Lebrac, et toujours douloureusement épris de la comédienne Aglaé Marceau, Valentin se voit confier une enquête nimbée de spiritisme et de mort, tout en poursuivant personnellement le fantôme du Vicaire, son âme damnée.
Je dois reconnaître à l'auteur son art à manier le style littéraire feuilletonesque propre à l'époque à laquelle se déroule l'intrigue. Même si j'ai deviné un bon nombre des détours romanesques de l'histoire, j'ai apprécié retrouver l'esprit chevaleresque de V.V. et sa ténacité à clore ses dossiers. Et ne serait-ce que pour savoir si l'amour charnel pourra enfin réunir Valentin et Aglaé, je rembarque assurément pour le troisième tome.
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Tandis que Valentin poursuit sa recherche du Vicaire qui le nargue, le bureau des affaires occultes est sollicité dans une affaire de spiritualisme.

Ce deuxième tome est tout aussi prenant que le premier même si, encore une fois, l'enquête du bureau des affaires occultes est secondaire par rapport à la quête personnelle de Valentin. Nous retrouvons Vidocq, mais nous aurons aussi le plaisir de croiser Daguerre et Alfred de Musset entre autres. L'auteur continue de parfaitement ancrer son intrigue dans le contexte, aussi bien politique que culturel de l'époque.
Le personnage de Valentin est de plus en plus attachant, et la jeune Aglaé est également étoffée dans ce tome.

Vivement la sortie poche du troisième opus !
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En 1821, Valentin Verne, chef du Bureau des Affaires Occultes à Paris, pense être sur le point d'arrêter le Vicaire, pédophile qui avait séquestré et violé Valentin enfant. Mais le Vicaire lui échappe malheureusement encore une fois. Parallèlement, Valentin et son adjoint Isidore Lebrac sont sollicités pour résoudre une affaire de spiritisme. Un dénommé Paul Oblanoff aurait le pouvoir de faire réapparaitre les disparus, dont la fille décédée de Ferdinand d'Orval. Valentin va devoir faire des expériences scientifiques pour comprendre les manipulations d'Oblanoff et il va être très surpris quand il va réaliser qu'Oblanoff n'est pas le seul à s'être joué de lui. du côté du Vicaire, rien ne l'arrête maintenant, il s'en prend aux proches de Valentin afin que celui-ci se rende à lui. L'inspecteur pourra-t-il sauver sa petite amie à temps ?

J'avais déjà lu pendant l'été le premier tome des aventures de Valentin Verne avec grand plaisir et j'attendais de découvrir la suite de cette aventure.
J'ai beaucoup apprécié ce roman qui est captivant et tient le lecteur en haleine. L'écriture est agréable à lire et les enquêtes étayées d'explications scientifiques.
J'aime beaucoup les romans historiques qui nous plongent à une autre époque que la nôtre et là j'ai eu plaisir à voyager en 1820 à Paris, même si les détails historiques ne sont pas toujours très faciles à comprendre.
Je ne suis pas sûre qu'Eric Fouassier ait pour projet d'écrire un troisième tome aux aventures du Bureau des Affaires Occultes mais s'il le fait, je le lirai volontiers car je me suis prise d'affection pour les personnages et le climat de ces romans.
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