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Le cycle de McGowein tome 2 sur 5
EAN : 9782490209286
376 pages
9782490209 (17/06/2018)
4.71/5   7 notes
Résumé :
La Gardienne Léraline, la fée Méruline et le guerrier Cormag McGowein quittent le village de Danarith pour se rendre à la capitale de Dygallie, mais le trajet ne se passe pas vraiment comme prévu…

À la grande cité portuaire de Dynterith, des patrouilles sont en alerte à chaque coin de rue. Le quartier du port a été placé en quarantaine, alors qu’une soudaine épidémie a coûté la vie à de nombreux habitants, mais aussi et surtout à tous les membres du C... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Et nous voici partis pour le village de Derelen où McGowein, Léraline et Méruline vont se sortir d'un traquenard, avant d'en découdre avec une statue maléfique et reprendre la route de Dyntérith avec beaucoup de questions sans réponses. Et malheureusement pour eux, Dyntérith un mal mystérieux décime les habitants de Dynthérith, la cité est en quarantaine. Seuls le Roi et deux conseillers ont survécu. Dès le début, nos héros sont attaqués.
C'est un second tome bien plus sombre, les complots, la sorcellerie, le mal sont omniprésents. Un huit-clos forcé, des complots, des personnages inquiétants : le conseiller Hérard et Dame Myrella, des intrigues, des espions et une entité que McGowein ressent. Que de mystères à élucider.
Cormag McGowein va se dévoiler petit à petit, nous connaîtrons sa véritable identité. Léraline va éprouver une amitié teintée de jalousie quand ce dernier fera les yeux doux à Dame Myrella même si les raisons sont plus complexes.
Les initiales E R dont ils espéraient va les amener à un ordre très ancien aujourd'hui disparu les Enfants Régicides mais qui perdure dans le temps grâce à différentes ramifications. Pendant ce temps, nous découvrons qu'à Orgondie, après la disparition de McGowein toute la cour a dû se réfugier dans des cavernes et lutte contre un puissant ennemi: le tyran Aydan et ses troupes.
Finalement, Léraline et McGowein débarrasseront la cité des douze gardiens des sortilèges qui la frappait et vont pouvoir partir pour Orgondie, et si l'auteur m'y autorise je les suivrais avec le plus grand plaisir.
Yannick A.R. Fradin nous offre une magnifique suite, avec de l'humour et de très belles citations de début de chapitre dans un style agréable . Avec toutes ces histoires à éclaircir nous nous trouvons embarqué (c'est le cas de le dire car l'action se passe en mer) pour le troisième tome.
Merci Yannick pour ce SP addictif.
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Dynterith, la cité aux douze gardiens, est le second tome de la série du « Cycle de McGowein » de Yannick A.R. Fradin. C'est le troisième service de presse que je réalise pour cet auteur et ce n'est certainement pas le dernier.

Ce roman est la suite directe de « La gardienne de Danarith » et on y retrouve les mêmes personnages centraux. Il s'en rajoute toutefois plusieurs liés au nouveau lieu où se situe l'action, Dynterith, la capitale du royaume insulaire de Dygallie.


L'histoire :
Dans l'épisode précédent, Cormag McGowein, accompagné de Léraline la belle gardienne ainsi que de Méruline la facétieuse petite fée, venait de quitter le village de Danarith pour rejoindre la capitale. le but du guerrier était d'embarquer à destination de son royaume d'Orgondie afin de retrouver sa femme et son fils dont il est sans nouvelles depuis quatre ans. Après un voyage loin d'être tranquille au cours duquel ils manquent de laisser la vie, ils finissent par aboutir à une ville en état de siège, la zone portuaire étant mise en quarantaine. En effet, une épidémie a ravagé la population, entraînant de nombreux morts, dont une bonne partie des conseillers royaux. Seuls trois d'entre eux ont survécu, dont deux incapables d'exercer leur mandat. Très vite, nos personnages vont découvrir qu'il y a quelque chose de pourri au royaume de Dygallie et ils vont mener leur enquête.


Le monde :
Le présent tome se déroule en deux endroits principaux : le trajet jusqu'à Dynterith, en particulier le moulin de Derelen et la ville de Dynterith. Cette dernière est décrite avec suffisamment de précision pour que l'on se la représente bien avec sa magnificence, mais également son aspect fortifié, suggérant que le passé du royaume n'a pas toujours été calme. L'auteur nous dispense aussi un aperçu du reste du monde en particulier des États du vieux continent. On en apprend plus sur l'Orgondie, patrie de McGowein, située dans des montagnes en bordure d'un désert. Et on découvre les royaumes côtiers qui commercent avec la Dygallie. Sont aussi plus détaillées, les interactions entre les pays, les relations entre les familles régnantes.
Le monde est riche, fouillé, et on commence à s'en faire une bonne idée.


Les personnages :
Les trois principaux personnages McGowein, Léraline et Méruline étaient déjà présents dans le tome précédent. D'autres se rajoutent à ceux-là.
Erekron : c'est le roi de Dygallie. Bien que jeune, il est compétent et sait prendre les décisions qui s'imposent. Sa réaction rapide a notamment permis de limiter les dégâts de l'épidémie.
Hérart : seul conseiller royal encore en exercice. C'est le co-dirigeant d'une guilde marchande étrangère.
Coranth : capitaine des phoenix, garde d'élite chargée de la protection personnelle du roi. Il est très efficace et très bon combattant, peut-être à la hauteur de McGowein.
Myrella : co-dirigeante avec Hérart de la guilde des Explorateurs Radieux. C'est une femme très belle et sensuelle, réussissant l'exploit de largement exposer ses charmes sans jamais tomber dans la vulgarité.


Le style :
Yannick A.R. Fradin était déjà très bon dans le précédent tome, il s'est encore amélioré dans celui-ci. Son principal défaut était les descriptions parfois très longues et redondantes. Bien qu'il ne soit pas totalement guéri de ce travers, d'énormes progrès ont été faits. Il n'y en a plus qu'une seule, et comme elle est au début, l'action est par la suite libre de se dérouler sans entraves. On entre aussi moins dans les pensées des personnages. Il faut dire que le tome précédent, destiné à introduire le cycle, devait nous les présenter. Maintenant qu'ils sont connus, il n'est plus utile de rentrer de façon aussi intime dans l'introspection. Il y en a encore, mais à des moments clefs, pour motiver les choix des protagonistes. Un autre grand changement est l'humour. Alors que dans le tome précédent, il se limitait aux facéties de la petite fée, la complicité entre Léraline et McGowein ouvre de nombreuses possibilités. McGowein, plus en confiance, n'est plus ce monolithe taciturne, il n'hésitera pas à l'occasion à entrer dans le jeu de la gardienne.


Mon avis :
Ce roman, suite de « La gardienne de Danarith », est à mon avis beaucoup plus intéressant que le précédent. Dans le tome 1, l'auteur nous introduisait les personnages et l'univers. Il n'était pas encore entré dans le vif du sujet. Si les combats n'étaient pas absents, il s'agissait plus d'escarmouches de circonstances que de s'opposer à un véritable ennemi. Ce dernier, on savait qu'il existait, mais on ignorait tout de lui. Ce roman permet de soulever un coin du voile sur ce qu'il est. Ici, McGowein et Léraline se battent contre un adversaire parfaitement identifié. S'il n'est pas encore l'Ennemi, on comprend qu'il en constitue un agent. le résultat est un scénario beaucoup plus riche en rebondissements. Ceux-ci n'arrêtent pas, certains faisant même l'effet d'un coup de tonnerre.
Un autre aspect intéressant de l'histoire est l'évolution des relations entre McGowein et Léraline. Un lien très fort se tisse doucement entre eux. Et leur comportement s'influence mutuellement. le guerrier va aussi se confier davantage à la gardienne. Parfois, on a l'impression qu'un couple est en train de se former. Mais McGowein pense toujours à sa femme et son fils, restés au pays.
D'ailleurs, les particularités de McGowein deviennent de plus en plus évidentes. Les personnages ne vont pas tarder à s'en apercevoir. Mais au lieu de nous éclairer sur lui, cela renforce encore le mystère qui l'entoure, même si quelques révélations en fin du roman semblent ouvrir une piste sur ce qui lui est arrivé. C'en est à se demander si sa malédiction dans le tome précédent n'était qu'une anecdote ou le signe de quelque chose de beaucoup plus grave.
L'humour bienvenu allège le propos, rendant les personnages beaucoup plus humains. L'opposition permanente entre la gardienne et McGowein, tantôt complice, parfois à couteaux tirés est source de réjouissance. Sans compter que McGowein a appris à sourire, à plaisanter, et de simplement honorable, a acquis un comportement galant, prenant plaisir, par exemple, à faire valser Léraline dans un bal.
En fait, la seule chose que j'ai regrettée dans l'histoire est la lettre de sauf-conduit. À la façon dont elle est rédigée, on comprend qu'elle possède une clef. Malheureusement, l'auteur nous la donne juste en dessous. J'aurais bien aimé chercher un peu. Une note de bas de page aurait fait l'affaire, pour ceux qui n'auraient pas trouvé la solution.


Ce roman constitue donc une suite de la série qui procure un plaisir identique, voire supérieur, au tome précédent.

Lien : https://wp.me/p9L3xe-4x
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Voici ma chronique à chaud du tome 2 du Cycle de Mc Gowein, portant le titre : Dynterith, la Cité aux douze Gardiens.

Lorsque j'avais échangé avec l'auteur à l'issue de ma lecture du tome 1, je lui avais fait part de ma frustration relative face aux trop rares scènes d'action, pourtant incontournables dans tout bon récit de fantasy. Yannick A.R Fradin m'avait alors rassurée sur ce point, concernant le tome 2. Et je l'admets, s'il est un conteur hors pair, il ne m'a pas raconté d'histoire à ce sujet !

Car de l'action, en veux-tu, en voilà ! Après un tome 1 où nous faisions connaissance avec les personnages de la Gardienne Léraline et de Cormag Mc Gowein ainsi que de leur environnement, le tome 2 nous fait entrer dans le vif du sujet.

Léraline, décidée à accompagner Mc Gowein dans son périple, le suit à Dynterith où elle pense retrouver Simius, les Maître des Gardiens. Hélas, la belle Cité n'est plus aussi riante qu'auparavant et de biens curieux phénomènes se sont produits avant leur arrivée. Léraline et Mc Gowein, accompagnés de leur espiègle acolyte, la fée Méruline, vont se lancer dans une enquête dangereuse, afin de découvrir ce qui a plongé Dynterith dans une telle détresse.

Je l'avais beaucoup appréciée dans le tome 1, je l'ai adorée dans le tome 2. La plume de l'auteur s'est encore affinée dans ce roman, si cela était encore possible ! Tour à tour poétique dans les descriptions générales des lieux ou des bâtiments, incisive, dynamique et efficace lors des scènes de combats, elle m'a à nouveau transportée dans l'univers de l'auteur. C'est extrêmement bien écrit et on se plonge dans le récit avec un plaisir grandissant à chaque chapitre.
Les dialogues sont bien amenés et apportent la touche d'informations ou d'humour nécessaires au contexte. Parfois, à la limite du langage oral, ils m'ont interpelée par moment, mais n'ont jamais dérangé ma lecture.

Les personnages restent crédibles et cohérents en comparaison avec le tome 1. Cependant, les ingrédients de la fantasy y sont toujours présents : Un héros qui cache un étonnant secret et s'interroge sur ses valeurs en tant que chevalier, une Gardienne qui ne recule devant aucun danger pour découvrir la vérité, un mystère à élucider, des ennemis à abattre et une quête à continuer.

J'ai beaucoup aimé m'interroger avec eux sur le mal qui ronge Dynterith, et ai même repéré quelques références au Seigneur des Anneaux et au film 300 (mais ce n'est peut-être que dans mon imagination !)

Je suis ravie d'avoir continué sur ma lancée et attends à présent la suite avec impatience !
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Après avoir lu le premier tome de la saga de Yannick AR Fradin (chronique: #Chronique 28: le cycle de McGowein, la Gardienne de Danarith, Yannick A.R Fradin), c'est avec plaisir que j'ai découvert la suite des aventures de Léraline, Cormag Mc Gowein et la facétieuse fée Méruline.

Dans un récit fantasy-médiéval, l'auteur nous emmène à Dynterith aussi appelée la Cité aux douze gardiens. Là encore, tous les éléments sont présents pour passer un bon moment: action, révélations, complot, magie, alternance des actions, sentiments complexes… Je crois même que j'ai préféré ce tome au premier, l'action arrive plus rapidement là où le premier tome posait les bases nécessaires à la compréhension de l'histoire. Nous découvrons les personnages sous un nouveau jour et je me suis vraiment attachée au guerrier noir ainsi qu'à la gardienne et à sa complice fidèle qu'est la fée Méruline. On a plaisir à voir leur relation évoluer de même que leur complicité. Léraline et McGowein sont deux personnages complémentaires et forment un duo qui fonctionne parfaitement dans ce type de récit.

L'auteur dévoile des éléments au fil de l'histoire, tout en laissant une part de mystère pour la suite. Il déroule son fil rouge conducteur de sa saga en 5 tomes tout en allant au bout de l'intrigue prévue dans le tome. J'aime cette lecture à deux niveaux où l'on peut lire les aventures des personnages, ancrées dans un dessein qui les dépasse et dont ils n'ont pas encore pris conscience de l'envergure réelle.

L'univers de Dygallie est réellement riche et varié, les références données au début de chaque chapitre étaye notre culture venant soit de notre monde réel, soit du monde créer par l'auteur donnant encore plus de consistance à celui-ci. On en apprends davantage sur Mc Gowein avec une rencontre inattendue qui permet de faire de ce personnage un être reconnu et non un vagabond dont l'existence est remise en cause suite à sa traversée dans le monde des cauchemars.

L'auteur met en lumière dans ce tome, à l'instar du premier, les personnages secondaires auxquels on s'attache. Les personnages de Capricorne 2 et du Capitaine Coranth m'ont beaucoup plut. le « méchant » est un vrai méchant même s'il n'est pas le « big boss » de l'intrigue finale: intelligent, sournois, patient et fourbe. Les actions sont détaillées, les mots posés avec soin. On entrevoit à la fin du roman un aperçu du royaume perdu de Mc Gowein et on observe le canevas se profilant au-delà de ce que soupçonnent les trois compagnons.

J'ai véritablement un coup de coeur pour cette saga très complète, pour avoir suivie un peu le parcours de l'auteur, j'ai pu voir qu'il mettait un point d'honneur à réaliser des projets aussi professionnels que les romans édités et honnêtement c'est un pari réussi. Il nous prouve s'il le faut, que l'auto-édition et l'indépendance des auteurs ne sont pas synonymes de textes sans intérêts et brouillon. Comme la plupart des textes d'auto-édités que j'ai pu lire, c'est une pépite à mettre entre toutes les mains de lecteurs amateurs de fantasy.
Lien : https://leschroniquesdecendr..
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Voici le tome 2 d'un de mes auteurs préférés dont j'ai pu découvrir et apprécier sa plume grâce au tome 1. Si vous ne le connaissais pas, je vous renvoie sur ma chronique précédente !
Ce tome 2 ne fait que confirmer mon attrait pour la magnifique plume de Yannick.

Comme le premier tome, le début est un peu lent avec tout de même de bonnes accélérations dans le rythme avant que cela devienne agaçant. Mais surtout, ce rythme lent permet de poser le nouveau décor pour s'en imprégner ainsi que des nouveaux personnages qui croiseront la route de nos 2 protagonistes préféraient !

Je trouve que l'auteur a réussi la transcription du récit des aventure grâce à savant mélange entre l'aventure sans abuser des changements de décors à tout va. Tout est parfaitement exprimée pour nous plonger dans l'univers entièrement créé par l'auteur.
Par contre, bien que cela soit une lecture très plaisir et détente, parfois la tournure des phrases avec la fatigue peut vite nous faire perdre le fil. de même, je ne pouvais pas le lire pendant mes pauses à cause de l'endroit bruyant alors qu'en temps normal je le peux. C'est un livre qui a besoin de temps, d'un endroit calme et surtout de toute l'attention de son lecteur pour pouvoir profiter de tout son potentiel et de la maîtrise de l'écriture.

Je tiens à remercier de nouveau l'auteur pour m'avoir permis de découvrir sa saga qui je sais finira en physique dans ma bibliothèque dès que je pourrais me le permettre pour le soutenir mais surtout car à chaque tome, à chaque page je tombe encore plus amoureux de ses aventures dans cet univers si différent et si proche à la fois du notre.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Des détonations retentirent et un bras de pierre vola sous son nez, bientôt suivi par d'autres morceaux : un fragment d'aile, une épaule, la moitié du visage de la créature. Puis ce fut le silence. À bien écouter le silence n'était pas total. Un bruit désagréable et régulier s'élevait du rez-de-chaussée. Il s'agissait d'une sorte de respiration rauque à mi-chemin entre le halètement et le râle du mourant.
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Dans les écrits anciens, ce monde a été nommé Galkaneth Cette appellation perdure aujourd'hui, mais seule une poignée de personnes éclairées en ont connaissance. Vous en faites désormais partie tous les deux. Galkaneth est un lieu éthéré et intangible, ou un être humain ne peut agir et survivre qu'à la seule force de sa volonté. Son corps n'est plus que le reflet de son âme. Il n'y a en fait aucun corps physique en Galkanet. Les démons eux-mêmes n'ont pas de corps physique. Ils n'en obtiennent un que lorsqu'ils franchissent un passage et intègrent notre réalité.
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Traditionnellement, le palais de Dynterith possède un corps armé voué à la protection du roi. Ce corps est devenu un ordre prestigieux, dont le commandant suprême porte le grade de capitaine. Il s'agit de l'Ordre du Phénix, légendaire oiseau de feu censé renaître de ses cendres. Symboliquement, le choix du phénix entend illustrer la continuité de la présence de la garde, qui même si elle devait être défaite par un agresseur quelconque, se relèverait autant de fois qu'il qu'il le faudrait pour bouter le danger hors du palais et loin du roi.
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_ Votre roi est auréolé d'une sorte de voile opaque constitué d'une énergie qui n'est pas la sienne. Cette énergie semble agir directement sur ses pensées et sur sa perception des choses. Quelque chose ou quelqu'un a sur votre roi une influence d'ordre que je qualifierais de surnaturel.
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La compréhension de l'autre passe avant tout par l'intérêt qu'on lui porte. McGowein manifestait une curiosité réelle et sans cesse renouvelée tant des gens que des choses qui l'entouraient.
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