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Emmanuelle Pingault (Traducteur)
EAN : 9782277070573
376 pages
J'ai lu (26/02/2001)
4/5   2 notes
Résumé :


DES JOUETS CRUELS :

- La victime : un beau mannequin norvégien. Son corps est retrouvé torturé, mutilé, brûlé. Un masque de cuir sur la tête.
- Le supposé coupable : Bernard LeGeros. Drogué. Troubles psychologiques. Garde du corps et bourreau d'Andrew Crispo.
- Le troisième homme : Andrew Crispo. Propriétaire . d'une célèbre galerie d'art new-yorkaise. Homosexuel. Cocaïnomane. Sadomasochiste. Escroc. Voleur. Tortionnaire... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
C'est mon troisième ouvrage dans la collection Crimes&Enquêtes; j'avais lu il y a longtemps Vincent Bugliosi Meurtre sur une île déserte et Fuis, Bambi, fuis de Kris Radish. Les deux livres étaient bon et à chaque fois on sentait que l'auteur avait mis du temps et de la recherche. Celui-ci ni échappe pas, cette fois-ci, je suis terrain inconnu et tout comme vous j'apprends comment c'était à cette époque à New York alors que je n'avais que neuf ans lors du drame juste pour vous donner une idée. Tout le livre est centrer sur le présumé meutrier d'un mannequin norvégien, Andrew Crispo car tout les témoins ou faits ayant très à cette affaire reste nébuleux pour les esprits des protagonistes Bernard LeGeros et peut-être même Andrew Crispo qui consommait beaucoup de drogues durant cette période de sa vie. Il faut entendre près de deux pages avant que les policiers arrivent dans cette enquête. Mais la fin ma vraiment déçu, je m'entendais à ce qu'il soit incarcérer pour meurtre alors qu'il était comme Al Capone pour le fisc et qu'il n'a eu que sept ans derrière moins selon l'auteur.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Mais à la galerie Andrew Crispo, les secrétaires chargés de l'enregistrement des pièces recevaient l'ordre de "nettoyer" les toiles. Ils arrachaient les fiches et les plaçaient dans une enveloppe secrète, au cas où il aurait fallu rendre les oeuvres à la galerie d'origine, et les remplaçaient par des documents fabriqués. Cette opération servait un double but: d'abord, cela donnait l'impression que Crispo et son équipe étaient capable de découvrir chef-d'oeuvre sur chef-d'oeuvre; ensuite, la plupart des pièces étant prêtées pour être vendues à la commission, cela empêchait les collectionneurs malin de jeter un coup d'oeil derrière le cadre et de noter l'adresse de la galerie d'origine pour lui téléphoner en demandant d'un air innocent s'ils "avaient un Remington en ce moment" . On pouvait réaliser une belle économie en sautant un intermédiaire.
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Hal avait en vain essayé d'expliquer à sa femme quelle passion intense il éprouvait à scruter le "festin nu" disponible en libre-service dans ce sous-sol. Un soir, il l'avait même emmenée avec lui pour qu'elle puisse voir de ses propres yeux. Elle avait jugé ce spectacle dégoûtant ni plus ni moins. Le fait que le Hellfire fût indéniablement un lieu de débauche (une fois dépouillé des interprétations métaphysiques évidentes qui s'y attachaient) n'était pour rien dans son opposition. On était en 1984: les boîtes de ce genre étaient le summum de la conscience culturelle new-yorkaise.
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Les artistes étaient fous de l'endroit et bavaient à l'idée d'y exposer. Certains, comme le peintre David Ligare, quittèrent A.C.A. pour suivre Crispo sans hésiter. Bientôt, quelques-uns des génies artisitiques rallièrent la galerie Andrew Crispo. Richard-Poussette-Dart, considéré comme l'un des membres les plus importants de la première génération d'expressionnistes abstraits américains, y organisa certaines de ses plus belles expositions.
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Il y avait dix ans de cela. En 1984, à quarante ans juste, titulaire d'un compte en banque estimé à cinquante millions de dollars, Andrew Crispo s'autorisait à penser à autre chose que l'argent. Parmi ses nouveaux intérêts, un échaveau de démêlés juridiques, qui semblait pour le moment l'amuser davantage que l'art, et un contrôle fiscal mené par l'Internal Revenue Service.
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Tenir à jour une collection de cassettes faisait partie des responsabilités de Bernard. Elles étaient enregistrées selon une de ses tactiques secrètes ou bien par l'intermédiaire des espions téléphoniques. Jusqu'à douze cassettes par jour. Elles s'empilaient par centaines dans tous les coins de la galerie.
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