Cette fois ci je n'ai pas accroché à ce roman. J'aime beaucoup cet auteur mais là j'ai trouvé l'histoire ennuyante. Je ne m'attendais pas à ça pour cette histoire. en ce moment, la lecture est un peu difficile avec le quotidien c'est sans doute l'une des raisons qui fait que je n'accroche pas à certains livres
Commenter  J’apprécie         20
Aucun homme possédant un travail dont il est fier ne donnera dans le Communisme de sa propre volonté. Si nous parvenons à vaincre la misère, le Communisme pourrira sur pied d’une façon jamais imaginée par Marx. Ceci a été prouvé à maintes et maintes reprises, c’est pourquoi rideau de fer et rideau de bambou existent.
— Le contenir ne suffirait-il pas, John ? Le Communisme est un mal qui se détruira lui-même.
— Le mettre en quarantaine est insuffisant. Le brûler comme les mauvaises herbes, ce que nous faisons dans l’Asie méridionale, est un début. Refuser de bouger à Berlin ou renoncer à prendre peur quand Moscou menace de ses bombes, également. Mais ce ne sont là que manœuvres de retardement, pas des solutions. Pour gagner cette guerre, il faut montrer le véritable visage de la démocratie, en faire un rêve qui n’a pas encore été essayé.
La Chine possède une culture qui remonte aux origines de l’histoire. La logique suggérerait que la sagesse d’une nation crût avec les ans, mais il saute aux yeux que le monde occidental conserve sa capacité d’ascension parce qu’il possède la liberté du choix. Maintenant que la Chine s’est soumise à un régime de gangsters, elle glisse vers la barbarie. Les derniers événements laissent craindre qu’elle n’y sombre à un moment ou à l’autre.
— Mon appui viendrait peut-être trop tard, docteur. Les cyniques de votre pays ont tendance à vouloir effacer ce coin de l’Asie. Ils ont le sentiment qu’il est marqué par l’histoire du sceau de la fatalité.
— Quand vous dites « histoire », vous entendez « Chine » ?
— Mon peuple appelle les Chinois les diables du Nord. Si l’on tient compte des invasions de leurs gouvernants, je crois que le nom est justifié.
Les mathématiques sont, John le savait, la science mère de toute recherche. Dans la lutte qu’ils menaient pour maîtriser la force de la mutation, elles pourraient être leur Némésis ou leur sauveur… mais leur cause serait désespérée tant qu’ils ne s’inclineraient pas devant cette suprématie