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Critique de ShubNiggubarth
Mais qu'est ce que je me suis ennuyé...
Henri II envoie sa gamine de onze piges en cadeau au roi de Sicile. Histoire de forger des alliances et de faire en sorte qu'il ait un poteau de l'autre côté de la méditerranée, au cas où ça crâme entre lui et Barberousse.
Bien évidemment, il craint pour la santé de sa jeune fille et n'ayant aucune confiance en la médecine de son temps, rajoute à la petite troupe qui l'accompagne son médecin secret Adelia qui aura pour charge de s'occuper de l'enfant en se faisant passer pour l'aide de son domestique. Pour être sûr que la docteur revienne, il lui chope sa gosse et lui dit qu'il va lui offrir d'L éducation pendant qu'elle sera en vadrouille.
Après cris et pleurs, Adelia s'acquitte. Elle ne sait pourtant pas qu'elle est poursuivi par un méchant qu'on a déjà croisé dans un des volumes précédents, le fûûûrbe...
Bref, ça va barder.
C'est gentillet, ça se lit vite, et ça a autant d'intérêt qu'un brouet de gruau quand on a une angine: c'est fade mais ça passe sans mal. Alors certes, on pourrait se targuer de romance historique, d'intérêt culturel... mais non.
J'avais apprécié le premier tome, les deux suivant m'avaient laissé un goût sans piquant et j'ai retrouvé le numéro quatre sur ma pile de lecture quand ma charmante compagne l'a glissé en cachette. J'aurais pas du l'ouvrir.
Vraiment, c'est exactement comme ça que je conçois une lecture obligatoire estivale : on prend un truc pour passer le temps dans la cahute de sa grand tante chez qui nos parents nous ont abandonné le temps d'aller s'amuser à Ibiza et on essaie de se changer les idées au plus vite. Là, pareil.
Sauf que je décide désormais de mes lieux de villégiatures.
Franchement? J'ai du faire un mauvais choix sur le dernier, faut que je prenne un nouveau vol. Vite.
Henri II envoie sa gamine de onze piges en cadeau au roi de Sicile. Histoire de forger des alliances et de faire en sorte qu'il ait un poteau de l'autre côté de la méditerranée, au cas où ça crâme entre lui et Barberousse.
Bien évidemment, il craint pour la santé de sa jeune fille et n'ayant aucune confiance en la médecine de son temps, rajoute à la petite troupe qui l'accompagne son médecin secret Adelia qui aura pour charge de s'occuper de l'enfant en se faisant passer pour l'aide de son domestique. Pour être sûr que la docteur revienne, il lui chope sa gosse et lui dit qu'il va lui offrir d'L éducation pendant qu'elle sera en vadrouille.
Après cris et pleurs, Adelia s'acquitte. Elle ne sait pourtant pas qu'elle est poursuivi par un méchant qu'on a déjà croisé dans un des volumes précédents, le fûûûrbe...
Bref, ça va barder.
C'est gentillet, ça se lit vite, et ça a autant d'intérêt qu'un brouet de gruau quand on a une angine: c'est fade mais ça passe sans mal. Alors certes, on pourrait se targuer de romance historique, d'intérêt culturel... mais non.
J'avais apprécié le premier tome, les deux suivant m'avaient laissé un goût sans piquant et j'ai retrouvé le numéro quatre sur ma pile de lecture quand ma charmante compagne l'a glissé en cachette. J'aurais pas du l'ouvrir.
Vraiment, c'est exactement comme ça que je conçois une lecture obligatoire estivale : on prend un truc pour passer le temps dans la cahute de sa grand tante chez qui nos parents nous ont abandonné le temps d'aller s'amuser à Ibiza et on essaie de se changer les idées au plus vite. Là, pareil.
Sauf que je décide désormais de mes lieux de villégiatures.
Franchement? J'ai du faire un mauvais choix sur le dernier, faut que je prenne un nouveau vol. Vite.
