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Critique de HORUSFONCK
Sous une couverture dynamique, aux titres colorés, franquin nous offre deux épisodes de Spirou et Fantasio.
Ce ne sont pas les meilleurs épisodes de la série, mais ils fleurent bon quand-même le parfum du modernisme des années 50:
-Le premier, avec une ville futuriste, qui s'accorde bien avec la Turbotraction des héros!
-Le deuxième, avec une de ces voitures américaine pleines d'enjoliveurs (la Quick Super)
Dans les deux histoires, Spirou et Fantasio vont affronter quelques bandits et escrocs bien racés.
L' album se relit donc bien, même si Franquin commet l'erreur (il l' a reconnu lui-même) de faire un peu jacter le Marsupilami.
Houba.
Ce ne sont pas les meilleurs épisodes de la série, mais ils fleurent bon quand-même le parfum du modernisme des années 50:
-Le premier, avec une ville futuriste, qui s'accorde bien avec la Turbotraction des héros!
-Le deuxième, avec une de ces voitures américaine pleines d'enjoliveurs (la Quick Super)
Dans les deux histoires, Spirou et Fantasio vont affronter quelques bandits et escrocs bien racés.
L' album se relit donc bien, même si Franquin commet l'erreur (il l' a reconnu lui-même) de faire un peu jacter le Marsupilami.
Houba.
