Le texte est globalement bien écrit, mais je ne suis pas la cible de ce genre de textes au très ample et un peu archaïque, typique de la fantasy. Plus précisément, je ne suis plus la cible : j'étais friande de cette littérature étant adolescente. Je suis toutefois certaine que le roman de
Maxime Frantini est de ceux qui raviront les adeptes du genre, avec ses jeux de pouvoir et sa cartographie complexe et très développée.
Pour les défauts du texte, c'est la rédactrice professionnelle qui parle... Je n'ai pas pu passer à côté de la faute à la troisième ligne, des maladresses de construction et des nombreuses, très nombreuses fautes de syntaxe et de ponctuation... Je sais le courage et le travail qu'il faut pour lancer un roman en autoédition, mais nombreux sont les textes ainsi publiés ceux qui présentent ces écueils, ces derniers ayant tendance à me laisser sur le bord du chemin.
Le livre m'a été offert par son auteur, lors d'une tractation à base de papillotes (longue quête de votre servante, légèrement droguée aux douceurs de chocolat et pâte d'amande...). Il ne m'a pas demandé d'en parler, mais je ne doute pas qu'il intéressera des lecteurs avides de conflits politiques entre royaumes et de magie millénaire !