Le souci, avec les gouvernements, c'est qu'ils sont elus par des majorites qui n'en ont rien a foutre, de la biodiversite. Alors que les milliardaires ont tendance a s'en occuper. C'est important pour eux que la planete ne soit pas completement bousillee, parce que ce sont eux et leurs heritiers ui auront assez d'argent pour en profiter, de cette planete.
"Les gens gentils ne tombent pas nécessairement amoureux de gens gentils."
« ET PENDANT CE TEMPS, cria-t-il, NOUS AJOUTONS TREIZE MILLIONS D’ETRES HUMAINS CHAQUE MOIS SUR CETTE TERRE ! TREIZE MILLIONS DE PERSONNES EN PLUS QUI VONT S’ENTRE-TUER DANS LA COMPETITION POUR DES RESSOURCES LIMITEES ! ET QUI VONT ANEANTIR TOUTE AUTRE CREATURE VIVANTE AU PASSAGE ! C’EST UN PUTAIN DE MONDE PARFAIT TANT QUE VOUS NE PRENEZ PAS EN COMPTE LES AUTRES ESPECES ! NOUS SOMMES LE CANCER DE CETTE PLANETE ! LE CANCER DE CETTE PLANETE ! »
"_Pourquoi je devrais me disputer avec elle ? Les gens se disputent quand ils ne s'entendent pas.
_Non, les gens se disputent quand ils s'aiment, mais qu'ils ont conservé leur personnalité et qu'ils vivent dans le monde réel."
… Les gens parlent du caractère paisible de la nature, mais moi, ça me paraît être tout le contraire de paisible. C’est une tuerie constante. C’est encore pire que les êtres humains.
– Pour moi, dit Walter, la différence, c’est que les oiseaux ne tuent que parce qu’ils doivent manger. Ils ne le font pas par colère ni gratuitement. Ce n’est pas névrotique chez eux. Pour moi, c’est ça qui rend la nature paisible. Les choses vivent ou ne vivent pas, mais l’ensemble n’est pas empoisonné par le ressentiment, la névrose et l’idéologie.
On ne peut jamais s’asseoir pour avoir une conversation soutenue, tout n’est plus que saletés bon marché et développement merdique. Toutes les choses vraies, les choses authentiques, les choses honnêtes sont en train de disparaître. Intellectuellement et culturellement, on ne fait que rebondir partout comme des balles de billard, réagissant au dernier stimulus aléatoire.
Il ne savait pas quoi faire, il ne savait pas comment vivre. Chaque chose nouvelle qu’il rencontrait dans sa vie le poussait dans une direction qui le convainquait totalement de sa justesse, et puis la chose suivante apparaissait et le poussait dans la direction opposée, qui lui semblait tout aussi juste. Il n’y avait pas de récit dominant : il avait l’impression d’être une boule de flipper uniquement réactive, dont le seul objet était de rester en mouvement simplement pour rester en mouvement.
"[...] personne n'aime se sentir comme un intrus dans le paysage idyllique d'autrui."
Durant son enfance et son adolescence, à St. Paul, Joey Berglund avait reçu d'innombrables assurances que sa vie était placée sous le signe de la chance. La façon dont les demis offensifs vedettes parlent d'une longue course à travers la défense adverse, cette impression de couper et de se faufiler à toute vitesse à travers une défense qui avance au ralenti, avec le terrain tout entier aussi visible et aussi immédiatement compréhensible que dans un jeu vidéo niveau débutant, voilà comment chaque facette de sa vie lui était apparue durant ses dix-huit premières années. Le monde se donnait à lui et il était content de le prendre.
Se fondant sur son incapacité à se souvenir de son niveau de conscience durant ses trois premières années d'université, l'autobiographie se soupçonne de tout simplement ne pas avoir eu de niveau de conscience.