La librairie de la seconde chance

Vous aimez les livres et vous avez envie de vous évader ? Ou alors de choisir une lecture de vacances, ou de week-end prolongé, qui vous permettra de vous vider la tête ? « La librairie de la seconde chance » est un roman pour vous ! Cap sur l'Ecosse !

"Et à ma petite- nièce Althea Lucy Mottram née Hamilton... blablabla... que je n'ai rencontrée qu'en quatre occasions, mais qui chaque fois était plus portée sur la lecture que sur la conversation, comme je l'ai toujours été moi- même." Nom d'un chien. Et ma mère, qui me disait que rien de bon n'en sortirait ! » Théa Mottram, la quarantaine, se retrouve au bord du gouffre après que son mari l'a quittée pour l'une de ses meilleures amies et que son patron l'a brutalement licenciée. Elle se sent trahie, salie, et sans plus aucun avenir. Alors ce courrier qui lui arrive, lui annonçant qu'elle hérite d'une maison en Ecosse de la part d'un grand- oncle amoureux des livres qu'elle connait à peine, est en quelque sorte une bouffée d'air frais, une sortie possible, pour cette grande émotive.

« Comme beaucoup de gens de la classe moyenne inférieure issus de la classe ouvrière, j'ai une réaction complexe devant les gens de la haute. Intriguée et rebutée. Horrifiée mais fascinée. Imaginez, connaître le nom de vos ancêtres jusqu'au XVIIIe siècle ! Imaginez si lesdits ancêtres savaient lire et écrire depuis cinq cents ans ! » Théa quitte donc le Sussex pour aller visiter cette maison dans la petite ville de Baldochrie, proche de la mer. Elle qui pensait la vendre s'y sent bien et s'y installe instantanément ; même si la « Loge Ouest » fait partie d'un domaine appartenant à un certain Lord Maltravers qui aimerait bien la lui racheter pour reconstituer l'intégralité de son patrimoine immobilier. Théa est certes impressionnée par l'entourage mondain du Lord, mais est- ce une raison pour fuir ?

« Mes orteils s'enfoncent dans le sable, mes oreilles s'emplissent du bruit des vagues, et à nouveau je prends conscience d'un instant précis de bonheur. » Théa revient à la vie, redécouvre des plaisirs inédits, en vivant loin de ceux qui appartenaient à sa « vie d'avant ». Elle se fait des amis et trouve même un emploi auprès du frère de Lord Maltravers, Edward, un quadragénaire grincheux qui tient la librairie du patelin.

Théa pourra-t-elle se reconstruire au fil des mois, des rencontres, de son ancrage en Ecosse ? Y trouvera-t-elle un équilibre, un nouveau départ amoureux, un nouvel avenir professionnel et social ? Je ne dirai rien ; excepté de vous conseiller de lire ce roman qui est particulièrement intelligent, qui vous fera avoir la larme à l'oeil mais aussi vous faire sourire, et qui vous permettra de voir la vie sous un jour plus optimiste… Et en ce moment, ce que ça fait du bien !

Thea vient de se faire licencier. Dans le même temps, son mari l'a quitte pour une autre. Rien ne va plus. Tout son monde s'écroule comme un château de cartes et ce sont vingt années qui disparaissent brutalement. Puis elle apprend qu'elle est l'unique héritière de son grand-oncle qui est décédé il y a plusieurs mois. Une lettre lui annonce qu'il lui a légué sa maison en Ecosse ainsi que sa collection de livres anciens.
Vu les évènements des dernières semaines, elle n'hésite pas une seconde et organise son voyage pour l'Ecosse, direction Baldchorie pour, peut-être, commencer une nouvelle vie.

Je remercie les éditions Harper Collins pour cette lecture.

"La librairie de la seconde chance" est un roman feel-good agréable à lire en cette période, abordant le monde du livre et de la librairie. Avec de tels thèmes, cette lecture était faite pour moi.

J'ai aimé imaginer le coin reculé de la ville de Baldchorie, une ville côtière aux paysages verdoyants avec ses lochs et ses falaises surplombant la mer. Loin de la ville où tout doit toujours aller vite, c'est le calme et l'apaisement. Dans le cottage, on se laisse vivre et on prend son temps. La maison dont Thea hérite est cosy et lui apporte réconfort. Et, le plus important, on y trouve des livres partout.

Durant plusieurs jours, Thea part à la rencontre du voisinage, une communauté douce et accueillante. Elle fait ainsi la connaissance d'Edward, son voisin et unique libraire du secteur. Malgré un caractère un peu spécial, Edward accepte de l'aider à trier et à vendre les ouvrages de collection de son grand-oncle. En échange, elle travaille quelques heures à la librairie et elle y prend un réel plaisir. Au milieu des grands écrivains, ils vont tous deux se trouver des points communs et nouer des liens.
Une nouvelle amitié se crée, un nouveau chapitre s'ouvre pour ces deux personnages au grand coeur.

Cette lecture a été très agréable. L'histoire est légère et les personnages sont attachants. J'ai beaucoup aimé Edward, qui derrière un caractère bougon, va s'ouvrir progressivement au fil de ses retrouvailles avec Thea et dévoiler ainsi toute sa sensibilité.
Je me suis laissée emporter dans ce coin d'Ecosse. J'ai aimé me promener sur ces chemins et j'ai beaucoup apprécié les références à la littérature ainsi qu'à ces grands auteurs.

Le roman parfait pour un moment détente au soleil !

Lien : http://labibliothequedemarjo..

Coucou les amoureux des livres. Je ne sais pas chez vous, mais ici, ces derniers jours, la pluie, le vent et l'orage se sont invités dans le paysage nous faisant croire que juin avait décidé de laisser sa place à octobre. Devant un tel déluge, j'ai eu un énorme besoin de douceur, de chaleur, de cosy et de cocooning. J'ai eu la chance de trouver la lecture idéale pour ça avec le roman de Jackie Fraser, "La librairie de la seconde chance". Bien plus qu'un feel-good, il a su m'embarquer et me faire quitter la Bourgogne pour atterrir au coeur de l'Ecosse, dans la petite ville si accueillante de Baldochrie. Complètement conquise et encore sous le charme, je vous en dévoile quelques touches, espérant vous donner envie de faire le voyage à votre tour !
Thea Mottram est en plein cauchemar. Non seulement elle vient de se faire licencier sans préavis, mais en plus, après vingt ans de mariage, son mari infidèle la quitte pour une de ses amies. Alors qu'elle pense avoir touché le fond, elle apprend qu'un grand oncle venant de décéder lui légué une maison en Ecosse. Une maison garnie d'une imposante bibliothèque de livres anciens. Sur un coup de tête, la voilà qui plaque tout pour Baldochrie. Et la voilà découvrant un ravissant cottage, une communauté accueillante et joviale et un libraire, un poil austère et renfermé, Edward, qu'elle compte bien apprivoiser. Lorsqu'elle est embauchée à la librairie, c'est une nouvelle vie qui commence. Notre héroïne est-elle vraiment prête à tout abandonner ?
Vraiment ce roman est une très très agréable surprise. Commencé un peu par hasard un soir de pluie, je l'ai littéralement dévoré et ce, avec autant d'appétit que je l'aurais fait pour un Apple pie. Une véritable gourmandise qui nous emporte et nous transporte et se révèle plus profond qu'il n'y paraît.
J'ai beaucoup aimé le personnage de Thea. Une femme de 44 ans qui du jour au lendemain voit sa vie basculer et qui puise en elle la force de se prendre en mains pour se reconstruire et avancer. Face à elle, je suis littéralement tombée sous le charme d''Edward, sorte d' ours solitaire mal léché mais qui au fil des pages se laisse approcher et même se transforme au contact de notre heroine. Leur relation est douce, pleine de patience et de longs regards et discussions passionnées. de l'amitié qui sans que les deux ne se l'avouent glisse lentement vers de l'amour. le fait que les personnages soient plus vieux, traînent un passif et quelques déboires m'a bien plu. Je trouvais cela rafraîchissant par rapport aux romances habituelles.
Et ce que j'ai le plus aimé dans ce feel-good tellement British, ce sont les descriptions de livres anciens et de bibliothèques. En tant qu'amoureuse des livres, je me suis durant certains passages sentie comme Belle découvrant la bibliothèque incroyable de la Bête. On sent l'odeur de la poussière mêlée à celle du cuir des reliures. On entend le son si doux des pages qui se tournent sous les doigts. On goûte au bonheur tout simple de se trouver face à de véritables trésors. Et on écoute Edward parler de sa passion avec tant de fougue que c'en est fascinant.
L'écriture fluide, rythmée, douce et pleine d'humour de l'auteure m'a vraiment convaincue. Avis aux amateurs de Jenny Colgan, ce roman est a découvrir absolument car il saura vous séduire et vous faire vous évader le temps de quelques 400 pages dans les cottages, sur la lande écossaise ou encore dans les bibliothèques et autres libraires ayant gardé tout le charme d'antan. Il se pourrait même que vous visitiez une charmante cabane au bord de la mer sans électricité mais avec une âme qui vous saisit et vous donne envie de boucler vos valises !
Alors prêts à embarquer direction l'Ecosse en compagnie de Thea, Edward et les autres? Ne tentez même pas de résister, le roman vient de sortir en poche chez Harper Collins, alors vous avez toutes les raisons de succomber à la tentation 😉😘 !

Certes l'idée de débuter une nouvelle vie loin de chez soi n'est pas originale mais la couverture me donnait l'impression d'une comédie feel good pétillante.
J'ai aimé découvrir l'Ecosse sous la plume de l'auteure, l'univers des vieux livres, d'une petite librairie où on aime flâner sans but précis... mais il m'a manqué le côté pétillant ! J'ai trouvé beaucoup trop de longueurs et la lecture en devient pesante. C'est dommage !

Il faut bien avouer une chose : quand on adore les livres et qu'on voit le titre de ce roman, on ne peut qu'être intéressé.
Alors, quand en plus, le résumé nous promet un roman feel-good comme on les aime, qui plus est se passe en Écosse, on ne peut qu'avoir envie de le découvrir.
J'ai eu cette chance grâce à Ambre des éditions Prisma que je remercie pour l'envoi du service presse et pour tous les autres aussi. Je passe toujours de très bons moments de lectures grâce aux éditions Prisma.

Dans La librairie de la seconde chance, nous rencontrons Théa Mottram.
Elle vient de se faire licencier et, pour couronner le tout, elle découvre que son mari a une liaison avec une de ses amies.
Mais heureusement, la vie est parfois bien faite et offre un petit rayon de soleil parmi les nuages.
Celui de Théa est l'héritage d'une petite maison en Écosse remplie de livres anciens que lui a légué son grand-oncle récemment décédé.
Sur un coup de tête, elle part pour Baldochrie et y découvre un joli cottage, une communauté accueillante et un libraire rochon, Edward, à qui elle va tenter de vendre quelques livres.
Elle obtiendra de lui un poste dans la librairie et une nouvelle vie pour Théa débutera mais cela ne sera pas toujours facile de ne pas regarder en arrière. Les blessures ne se referment pas si facilement. Alors, arrivera-t-elle à tout abandonner pour vivre pleinement sa nouvelle vie ?

J'ai beaucoup aimé ce roman que j'ai eu beaucoup de mal à lâcher pour accomplir mes tâches du quotidien. Je le reprenais dès que j'avais cinq minutes de libre.
On se sent bien dans cette petite ville d'Écosse où tout le monde se connaît et où la bienveillance est présente chez (presque) tout le monde.
Les personnages sont attachants. Edward aussi malgré son mauvais caractère. Je crois que c'est d'ailleurs pour ça qu'on l'aime. Et Théa, cette femme fragilisée et perdue mais qui montre une belle force de caractère au fil du roman est juste merveilleuse.
J'ai adoré les interactions entre ces deux personnages et les émotions qu'ils ont su provoquer chez moi.

La librairie de la seconde chance est un roman qui se lit très facilement, qui appelle à la détente totale. On se laisse rapidement porter par cette jolie histoire.
Pour ma part, j'aime les histoires qui se passent en Écosse, j'aime les histoires de « seconde chance » et j'aime les histoires qui me permettent de m'évader et d'espérer.
Et ce roman m'a comblée en m'apportant tout cela.
Il m'a beaucoup fait penser aux romans de Jenny Colgan, une auteure que j'adore.
Ce roman plaira aux amateurs de romans « feel-good ».
Il est la lecture parfaite pour accompagner un moment de farniente cet été.