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EAN : 9782070305537
256 pages
Gallimard (06/07/2006)
3.57/5   60 notes
Résumé :

Marseille, début septembre 2003. La canicule vient de balayer dix à vingt mille vieillards en France. Pierre Chopin, écrivain local, étouffe dans son appartement tout en se battant avec la page blanche lorsque déboule sur son palier une masse ensanglantée : Charlie, un ami d'enfance perdu de vue. La police est aux trousses de ce caïd marseillais qui s'enfuit mystérieusement par les toits... Embarqué pour une ga... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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LETTRE A MES TUEURS - René Frégni - Éditions Folio Policier - Roman - Lu en avril 2020 - 5ième semaine du confinement du au Covid-19 en Belgique (j'ajoute ce détail pour me souvenir plus tard).

Pour Marilou, Sophie, Nicole, Simone, Robert, Lucienne et Lili.

Me revoilà en symbiose avec René Frégni, auteur dont je suis fan.

Marseille. 2003. Sous le toit du petit appartement de Pierre Chopin , écrivain, la canicule.

Devant lui, la page blanche de son carnet d'écriture qui n'en finit plus de rester blanche, l'inspiration semble avoir pris la fuite de son cerveau.

Ce jour là, Pierre devait aller chercher sa petite Julie, le coeur de son coeur à l'école quand Charlie, un ami d'enfance qu'il n'a plus vu depuis longtemps et qui a pris le chemin du banditisme, déboule chez lui, blessé, fuyant la mort qui le poursuit Son grand coeur et les souvenirs de jeunesse et l'amitié le pousse à l'aider à fuir par le toit. Avant cela, Charlie lui confie une cassette dont le contenu reste un mystère et lui donne un numéro de téléphone à n'appeler qu'en cas d'urgence. le temps pour Pierre de la cacher que la police débarque. Arrestation, interrogatoire, perquisition,relâchement.
La police n'a pas retrouvé cette cassette qui n'intéresse pas que la police.

La vie paisible de Pierre Chopin s'arrête à ce moment là "Le serpent glacé se tordait dans mon ventre... Mon passé avait vingt-quatre heures. Vingt-quatre durant lesquelles je n'avais pas fermé l'oeil. Vingt-quatre qui avaient projeté sur ma vie plus d'événements que je n'en avais connus ces dix dernières années"-page 39.

La mafia marseillaise est au travail, les clans s'affrontent. D'un côté la bande féroce de Wolfo dit le Sanguinaire, de l'autre la bande de Sauveur et ses acolytes corses, la police et ses ripoux et Pierre mêlé à cette traque bien malgré lui.
Le temps de convaincre Anne, la maman de Julie dont il est divorcé de prendre la fuite et de ne pas revenir avant qu'il ne les prévienne d'un retour possible que voilà Pierre embarqué dans une terrifiante et incroyable affaire.
Il n'a qu'une idée en tête, protéger Julie à qui il n'arrête pas de penser. Dans ses rares moments de calme relatif, il lui écrit dans son carnet. Caché dans une planque "je crus entendre du bruit. Je me levai, collai mon front contre l'une des vitres. le spectacle me bouleversa : un couple de daims dansait sous la lune. Si Julie voyait ça... pensai-je. Comment dire tant de beauté, d'élégance, d'éternité. Raconter ces instants de grâce à Julie. Écrire pour elle maintenant me suffisait" - page 85-86.

"Que pouvait-on faire contre la plus redoutable bande de truands dirigée par le Sanguinaire ? - page 149.

Charlie est repris par la police, une spectaculaire évasion, une traque minutieusement préparée et enfin l'attaque de la bande du Sanguinaire.

Mais la paix ne revient pas dans le coeur de Pierre, Wolfo est-il mort ?
Qu'est devenue la mystérieuse cassette ? Que sont devenues Julie et Anne ?

Comme dans tous ses livres, René Frégni nous décrit sa Provence chérie, le monde carcéral, le milieu du grand banditisme, de Marseille, sa laideur et sa beauté.

Et bien sûr, de l'amour qu'il porte à sa fille et des souvenirs de sa maman, de son enfance.
Peu de femmes dans ce roman policier, un peu moins de poésie aussi que dans ses autres romans, sans doute le thème particulièrement dur ne s'y prête pas trop mais cela ne m'a pas empêché de le lire en trois soirées, je l'ai terminé cette nuit à 2h du matin !

Il me reste à lire "Maudit jour" et "Dernier arrêt avant l'automne", j'ai hâte que les librairies rouvrent leurs portes.

Prenez soin de vous.


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J'ai eu beaucoup de plaisir, dernièrement, à échanger avec René Frégni à la fête du livre de Toulon, et à acheter quelques-uns de ses livres car j'aime son écriture qui est un hommage permanent à la Provence qu'il aime et sait faire découvrir à ceux qui ne la connaîtraient pas.

Néanmoins, le scénario de cette lettre aux tueurs bat de l'aile dès le début, les incohérences se multiplient et, durant les deux premiers tiers, il se passe peu d'événements pour accrocher vraiment le lecteur. Cela s'emballe quand même dans le dernier tiers du livre que la fin vient gâcher, complètement bâclée, où René aurait pu exprimer bien d'autres sentiments et ne pas laisser ses lecteurs sur leur faim quant au devenir de plusieurs protagonistes.

Il m'a semblé aussi que René abusait quelque peu des clichés même si ses descriptions de l'atmosphère marseillaise, de sa mythique plage des Catalans, des villages banlieues de la mégapole, des cabanons, de la mer qui enveloppe charnellement toute cette terre, restent toujours prenantes.

Ses références littéraires, cinématographiques, musicales sont habilement glissées dans son texte, raccrochant ainsi l'intérêt du lecteur alors qu'il pourrait sombrer dans l'ennui.

Il ne faut donc pas attendre de ce roman un véritable polar haletant, y voir plutôt des pincées biographiques de son auteur, savoureuses, nostalgiques, au creux des vagues de la corniche d'où surgissent les appâts féminins toujours fascinants.

C'est finalement quand il insère dans ses textes sa propre histoire que René Frégni excelle, et ces moments-là, à eux seuls, parviennent à atténuer les faiblesses de ce petit polar.
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René Fregni est un merveilleux  déserteur professionnel qui, de son propre aveu, a toujours vécu "ici, à côté des choses réelles".

Quand ça tangue trop autour de sa bulle, il prend la fuite.

Lettre à mes tueurs, c'est la cavale d'un poète qui ne sait pas dire non à un vieux pote en galère, et qui , pour une cassette mystérieuse enfouie dans un de ses pots de géraniums, prend la poudre d'escampette avant que la poudre tout court ne se mette à parler..

Et sur quel ton! Ça défouraille et ça dégomme à tout va! Les tueurs s'en donnent à coeur joie. Pas de repos, pas de répit !

Encore un polar ,  donc, mais musical, une" fugue" à tous les sens du mot dont les variations, pour beretta et kalach' , scandent les trépidations d'une fuite éperdue:  de Marseille au Danemark, des collines de la Drôme à ..Marseille.

Retour à la case départ. 

Marseille où tout a commencé : les jeux de minots dans les calanques, les goûters tendres avec maman, les premières baignades avec la petite Marilou, les séances de boxe, les ateliers d'écriture derriere les barreaux des Baumettes...dont Pierrot Chopin - c'est le nouvel avatar de notre René préféré , lunaire et musical à souhait- connaît l'avers et l'endroit..

Marseille,  précieux creuset de la mémoire et aussi, malheureusement,  théâtre noir d'une terrible guerre des gangs ...

Beaucoup de rythme, des paysages lumineux et inspirés, des silhouettes familières, un vieux pote déglingué,  un "parrain" protecteur,  une ode à  l'amitié et à ses codes d'honneur imprescriptibles, un assez palpitant récit d'évasion "littéraire" en Avignon,  sur la route des rats...et par les soins d'un "rat" de bibliothèque...

Mais aussi quelque chose de plus, quelque chose de nouveau...

Une vraie et poignante mélancolie dans le "finale" , une petite cantate pleine de fragilité  et  d'éternelle enfance, une mélodie du malheur, une petite comptine de chagrin -  et qui sonne comme un adieu...

 J'ai eu,  soudain, le coeur serré,  le coeur en miettes, par inadvertance.. .
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Me voici de retour et avec jubilation dans l'oeuvre de René Frégni. Ici dans Lettre à mes tueurs, l'écrivain renoue avec le récit romanesque. Ce n'est sans doute pas le registre dans lequel je préfère retrouver l'un de mes auteurs préférés. Ayant visité plusieurs de ses livres, ses récits autobiographiques sont ceux qui me touchent le plus, venant au plus près de l'âme, portant les mots brûlés par le soleil de Provence comme une respiration apaisante loin du tumulte du monde.
Pourtant, entre les lignes, j'ai reconnu à travers le narrateur quelqu'un qui ressemble étrangement à l'écrivain. C'est une des signatures de René Frégni, se frayer un chemin, renaître dans ses romans, y déposer un peu de sa vie.
Ici peu de quiétude dès l'entame du roman. Nous sommes à Marseille, « ville posée sur la mer » à la fin de l'été 2003. La canicule vient de sévir atrocement sur tout le pays, et plus particulièrement dans le sud de la France. le narrateur, Pierre Chopin, écrivain local cherche l'inspiration devant la page blanche. Il est dans son appartement, au dernier étage de son immeuble, sous les toits, au bord des tuiles disjointes qui chauffent comme des braises sous le soleil de septembre.
Il vit là, parmi les livres, sous le ciel et les oiseaux de Provence, de temps en temps sa fille Julie passe, qui est la prunelle de ses yeux, elle vit désormais chez sa mère Anne dont il est séparé.
C'est alors qu'un homme sonne à la porte, surgit en trombe. Ils se connaissent depuis l'enfance. Leurs itinéraires se sont ensuite totalement séparés. C'est Charlie qui a suivi la route du grand banditisme. Il est blessé, est en fuite, cherche à cacher quelque chose de précieux dans sa fuite, une cassette mystérieuse, la tend à Pierre Chopin qui désigne alors à son ami d'enfance un chemin pour fuir par les toits.
À quoi tient le basculement du destin lorsque l'astre solaire fond sur une ville avec ses lames brûlantes, éblouissantes ?
Alors, tout va basculer, emportant Pierre Chopin dans une traque sans répit, poursuivi par des tueurs qui n'ont guère envie de parler poésie avec le narrateur.
Il découvre un univers monstrueux que son imaginaire d'écrivain n'avait jamais osé effleurer.
Dans cette fuite effrénée, il n'y a pas d'un côté les voyous et de l'autre la police. Ce serait trop facile. Comment reconnaître ceux qui peuvent vous protéger ?
Il lui faut alors s'effacer dans le paysage...
Mais dans cette cavale improbable qui va l'amener jusqu'à une île de la Baltique au large du Danemark, c'est l'occasion pour le narrateur de revenir sur les pas de son enfance et je dois reconnaître que ce sont alors les plus belles pages du récit, comme des pépites de lumière qui surgissent de la nuit.
Dans cette course poursuite, l'auteur sait dire la beauté, l'élégance, l'éternité d'un paysage perdu dans une contrée lointaine.
Des courbes féminines ondulent comme des vagues sensuelles, déplacent l'air, Pierre Chopin leur tend la main mais il n'a guère le temps de laisser son coeur frémir et chavirer à une joie même éphémère.
Ce paysage perdu c'est aussi celui de son enfance, dans la Provence qui lui est chère, dans l'odeur de l'océan et des figuiers. Les ruelles étroites où le petit Pierrot aimait courir.
Marseille, le Vieux-Port, les étoiles qui se reflètent au-dessus de l'eau dans le tangage des bateaux qui mouillent... Les mouettes sont rieuses dans la brume.
Il se souvient des plages, les calanques, le sable qui murmure sous les pieds nus. Les premières baignades avec Marilou, ce premier baiser, leurs ventres mouillés et brûlants l'un contre l'autre. L'odeur de septembre remonte comme un vertige dans la mémoire de Pierre Chopin.
Cette traque, c'est une fugue vers l'enfance.
Dans cette traque qui le ramène au quartier de son enfance, il y a toujours un espace protégé du temps et de la fureur du monde, loin des trépidations des balles, où il est encore possible de faire une pause, reprendre sa respiration.
Dans ces respirations, il y a la tendresse de sa mère dont le souvenir revient comme une vague. Il y a sa fille Julie, "sa petite voix qui glisse sur l'eau calme des rêves". Il y a celle qui n'est plus et celle en devenir, à portées de voix, à portées de mots, les mots solaires de René Frégni.
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J'ai tout aimé dans ce roman. Mon premier Fregni, quel régal !
J'y ai trouvé une atmosphère à la Brassens. Oui, je sais ce n'est pas le même côté de la Méditerranée mais à vol d'oiseau, reconnaissez que Sète ce n'est pas bien loin. Oui, j'y ai trouvé un air des « copains d'abord ». D'abord avec Charlie, ce copain d'enfance, car c'est bien dans l'enfance que se scellent des amitiés inoubliables, oubliées parfois mais qui remontent à la surface sans provoquer un remous. Bon ici le terme n'est peut-être pas adéquat car des ondes de choc, il y en a eues ! Et puis, il y a Sauveur qui vient en aide au copain du copain. Une chaîne d'amitié bien plus sympa que celles que l'on croise sur Facebook et qui se termine en général par : si tu ne le fais pas cinq ou dix fois, il va t'arriver malheur... Bon encore une fausse joie puisqu'ici, il va arriver malheur...
Toujours dans le registre de l'amitié, j'ai adoré aussi l'hommage à Jean-Claude Izzo (dont j'avais beaucoup apprécié la trilogie marseillaise et son bouleversant Soleil des Mourants). Un autre écrivain né aussi à Marseille. Marseille, quelle ville ! Quand on lit Fregni, on est totalement immergé dans cette cité aux facettes multiples et opposées. On sent le soleil implacable pesé sur nos épaules, on entend la mer et le clapotis des vagues, on y croise la richesse comme la pauvreté... Marseille est bien ici aussi un personnage à part entière.

Dans ce roman, j'ai adoré aussi les liens vers d'auteurs auteurs, les descriptions poétiques, l'amour maternel, paternel et filial. L'humour aussi.
Mais ce qui m'a tenue en haleine c'est l'engrenage des événements, le rythme supersonique de cette course-poursuite. Un polar haletant où la violence côtoie la poésie.

Pierre Chopin est un écrivain en souffrance : syndrome de la page blanche et canicule l'épuisent. Mais subitement, Charlie Branco, un ami d'enfance perdu de vue et salement amoché, débarque. Charlie, nom connu et reconnu du grand banditisme marseillais, a juste le temps de lui remettre une mystérieuse cassette que Pierre s'empresse de cacher, avant de disparaître par les toits. Aussitôt après, les flics arrivent chez lui et les ennuis aussi...


Un grand merci à Babounette pour cette découverte littéraire :0))
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Citations et extraits (70) Voir plus Ajouter une citation
Marseille est une ville qui vous enlève le goût de voyager, d’une rue à l’autre vous changez d’odeurs, de bruits, de continents. D’avenues tirées à quatre épingles aussi propres que la Suisse, je débouchais dans les dédales de Naples ou la banlieue d’Alger. Vous traversez la terre en une nuit et vous tombez soudain sur des mâts qui se balancent en plein milieu de la ville.
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Sous un ciel gris et venteux, la plage courait à perte de vue vers le nord et le sud. Je choisis le sud. Je pris un vif plaisir à marcher sur cette langue de sable humide, durcie et lissée par les vagues, festonneée d'algues sombres.
Entre deux nuages le soleil faisait etinceler le bronze de la mer. L'air était froid, pur, je devorai tout le paquet de biscuits.
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Je la regardai s'éloigner, mollets et fesses tendus par d'assez hauts talons. Léger vertige... Une silhouette à faire trébucher un chamois.
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"La vérité change chaque jour. Pendant des siècles, des hommes se sont entre-tués pour savoir où naissait le Nil. Certains étaient persuadés que sa source se trouvait dans le lac Tanganyika, d'autres dans le lac Victoria, d'autres encore citaient le lac Albert. Ils se sont étripés. Ils avaient tous raison. Le Nil a trois sources. La vérité, Sauveur, est comme le Nil."
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C’était cela Marseille, le merveilleux sommeil des mouettes au creux du matin rose et cet ami d’enfance qui perdait son sang dans une rue derrière.
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Vidéo de René Frégni
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