L'Hippopotame

Un poète cynique et désabusé se trouve embauché par sa filleule atteinte de leucémie pour aller explorer ce qui se passe dans la demeure cossue de son oncle et de ses cousins. Ça, c'est la version officielle et grosso modo la quatrième de couverture vendue par l'édition Piment de France Loisirs.
En réalité, c'est l'histoire d'un critique poète raté, aigri et alcoolique qui profite de la maladie de sa filleule pour se faire inviter chez son oncle et qui découvre une famille totalement dysfonctionnelle et un enfant vraiment, mais alors vraiment dérangé (mais pas du tout dans le sens sympathique).
J'aime bien les Anglais. Ils sont décalés, souvent drôles et la plupart du temps très fins. Par contre, quand ils partent en vrille, ils ne font pas les choses à moitié et c'est ce qui se passe dans ce roman. Sous couvert d'humour british, les bornes sont totalement dépassées. Sans vouloir spoiler (encore que, si on m'avait spoilé ça, je n'aurais pas perdu mon temps), on en parle de la scène du cheval ou de la fille du garde-chasse ??? C'est choquant, immoral et même pas drôle. Je veux bien me situer à n'importe quel degré, deuxième, dixième, trentième si on veut, pour moi ce livre c'est de la daube et un avertissement « pour public un peu averti quand même » ne serait pas de trop.

Moyen

Livre que j'ai abandonné après une centaine de pages, ne correspond pas à ce j'attends d'un texte, narrateur inintéressant je cherche encore le sens de ce livre mais peut être que je ne l'ai tout simplement pas compris.