GTO (Great Teacher Onizuka), tome 3

C'est décidé : j'aime de plus en plus cette série ! C'est politiquement incorrect, c'est sûr, c'est même parfois carrément trash, mais c'est vraiment drôle. Onizuka me fait de plus en plus rire, et il commence à y avoir des gags récurrents, notamment la malchance subie régulièrement par le sous-directeur... J'ai aussi particulièrement aimé l'histoire des raviolis de l'angoisse...du grand n'importe quoi ! C'est amusant aussi de voir comment le style de dessin change lorsque Onizuka s'énerve : le trait devient plus grossier, et son visage est plus rigolo, plus expressif, ce qui lui donne l'allure d'un bouffon comique. Mine de rien, ce volume aborde aussi des choses plus graves, comme le harcèlement moral à l'école entre élèves, qui peut parfois pousser les enfants jusqu'au suicide. du coup les élèves responsables sont fortement antipathiques et on est soulagés quand Onizuka leur fiche une bonne raclée ou leur donne une bonne leçon (et d'ailleurs chez lui tous les moyens sont bons...). le tome se finit sur un coup de théâtre qui oblige le lecteur à se jeter sur le tome 4...
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