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EAN : 9791026243670
195 pages
Librinova (20/11/2019)
4.01/5   38 notes
Résumé :
Poli GYRONNASE a 50 ans, il est marié et père de deux filles. Il a toujours démontré de l’enthousiasme et de l’humour avec ses collègues. Il en fallait d’ailleurs pour accepter l’envers du décor de la société civile et du monde policier, pendant 18 ans de service actif. Ne soupçonnant plus aucun avenir dans cette ingrate profession, sa démission coulait de source.
En se reconvertissant dans un univers plus feutré, plus calme et moins extraordinaire, celui de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (33) Voir plus Ajouter une critique
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Quel peut être le lien entre Poli, un ex flic qui joue au jongleur déguisé en personnage de la comedia dell'arte , et Ornella, une jeune femme qui sait utiliser la séduction, mais aussi la manière forte, pour maintenir le calme ? Réponse : le casse d'une agence bancaire !
Mais comment en sont-ils arrivés là ? On n'aura pas vraiment la réponse à cette seconde question... Mais le braquage et la fuite qui s'ensuit ne sont que des prétextes pour permettre à Ornella de lire les textes rédigés par Poli. Des textes courts et percutants qui reviennent sur des épisodes plus ou moins traumatisants de sa carrière de policier.

Récit ? Roman ? Texte romanesque encadrant le récit de tranches de vie ? Seul l'auteur pourrait le dire, mais qu'importe ? C'est écrit avec rigueur et concision. Les phrases et les paragraphes, plutôt courts et nerveux, rythment le texte. On sent la touche de vécu derrière ce qui n'est peut-être que fiction...
Ça se lit donc facilement et avec plaisir, ce qui est quand même essentiel !
Merci à Poli Gyronnase de m'avoir transmis son ouvrage et m'avoir ainsi permis de découvrir son écriture.
Lien : http://michelgiraud.fr/2020/..
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La chronique jubilatoire de Dany Flingueuse pour Collectif Polar
Le monde des fous est infini de Poli Gyronnase
Surprenant ce livre, je dirais même inclassable. A la fois chronique de la vie de flic et polar sur un casse atypique.
En effet ce roman débute comme un thriller classique, dans la peau d'un protagoniste de holdup, Poli Gyronnase lui-même, qui relate son expérience de flic sous forme d'un recueil de nouvelles qui propose à la lecture de sa compagne. Elles s'avèrent révélatrices de ses questionnements « éthiques » et prouve que la vie est plus aisée avec la dérision.
C'est la construction du roman qui est ambiguë, mêlant la fiction à la réalité.
De fait le lecteur assimile ce livre à une autobiographie … c'est ce qui m'a posé question.
Le flic-auteur est un adepte des canulars et autres plaisanteries. Elles sont le reflet de ses questionnements. On le voit confronté à son premier mort, on l'accompagne pour son premier suicidé. On partage ses joies et ses douleurs quand il s'agit de violence sur un enfant. Surprenant même parfois quand il frôle l'humiliation des gardés à vue, des interrogés, pour mieux parvenir à ses fins et à la vérité. le lecteur se demande si ces mises en scènes sont bien réalistes ou « enjolivées » comme un bon souvenir s'il voit ce titre comme une autobiographie ; il est d'avantage prêt à l'accepter si c'est une fiction. L'auteur laisse le doute mais l'action se situe de 1985 à 2007 et quel que soit de degré de véracité, je ne suis pas sûre que cela serait reproductible de nos jours dans la vraie vie, sauf à risquer les boeufs-carottes à chaque interrogatoire …
Un ton plaisant pour un agréable témoignage sur la vraie vie de flic urbain.
Lu en version numérique. epub 0.99 €
Je remercie l'auteur pour m'avoir fait confiance
Autres extraits :
« La morale de l'histoire : la bonne humeur, l'humour, les sourires, les regards, les voix appropriées et les comportements nonchalants sont souvent plus communicatifs et plus professionnels que certains emballements et explications judiciaires de certains jeunes flics. »
« Quand on tombe sur une affaire sérieuse avec une belle crapule, la finalité est toujours la même : on est emmerdé par le système et la crapule est protégée. La victime, elle, est toujours oubliée. Je n'ai plus confiance non plus en la justice. J'ai vu trop d'incohérences. Pour résumer, quand le Policier agit, on lui reproche de trop agir et quand il n'agit pas, on lui reproche de ne rien faire. C'est kafkaïen. En plus, on se retrouve dans une politique de culture du chiffre, plus rien n'a de sens. Les flics, nous n'avons jamais de reconnaissance. Nous ne sommes pas là pour être aimés, je le savais en signant. Mais nous ne sommes même pas aidés par notre hiérarchie, la justice, les politiques, et aujourd'hui, l'homme de la rue. Nous sommes des boucs émissaires, de la viande à média et des numéros matricules, c'est tout. Cette administration est composée d'une addition d'individualités qui travaillent, soi-disant, pour la collectivité, foutaise. Je veux partir car je sens que je ne pourrai pas tenir jusqu'à ma retraite. Aujourd'hui, tu vois, j'en veux à tout le monde, j'ai peur de devenir fou… »
Lien : https://collectifpolar.blog/..
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😊 A la découverte de 🙂
Le monde des fous est infini de Poli Gyronnase
Auto-édité

Merci à l'auteur pour sa confiance. Un livre dont j'ai lu quelques retours qui m'ont donné envie de découvrir à mon tour cette histoire.
Un roman né dans la tête d'un flic qui un jour a fini par perdre ses illusions et a démissionné de la police nationale.

Poli et Ornella sont en plein braquage! Et Ornella s'en donne à coeur joie avec les otages de la banque, à croire qu'elle a fait ça toute sa vie!
Comment un ancien flic a pu en arriver là et entraîner sa femme dans cette histoire! C'est peut-être ce que l'on va découvrir dans ce manuscrit qu'Ornella va lire le temps de cette échappée à la Bonnie and Clyde.
Dedans Poli y a écrit des nouvelles, des bribes de son ancien métier et du pourquoi il en est parti.
On va alors remonter le temps et suivre le parcours de ce jeune adolescent qui se destine assez tôt au métier de policier, à cette jeune recrue en formation qui apprend son métier et les risques de celui-ci, son service militaire à tout juste 19 ans en tant que policier auxiliaire, la fierté des débuts et carrière, puis le quotidien dur, triste, sale mais aussi fait de belles rencontres et d'amitié.
Ornella découvre en même temps que nous l'histoire de Poli au sein de la police, ses coups durs et ses désillusions, et pourquoi il a tout plaqué un jour pour se lancer dans un casse avec sa femme.

Alors que l'on entre dans ce livre une scène de braquage surréaliste où la braqueuse improvise un défilé et se fait livrer un mc do, on enchaîne sur des scènes beaucoup plus simples, réalistes. Des scènes de vie qui nous racontent Poli et son histoire. le choc de la vision idéalisée d'un métier et de la réalité.
Mais ce livre n'est pas qu'une suite de scènes dures ou tristes, c'est aussi les bons moments, les rencontres et les fous rires.

L'auteur a habilement mêlé la fiction avec ce braquage démentiel organisé avec sa femme et leur fuite pour s'échapper de France, et sa propre expérience au sein de la police.
Cela nous donne au final un livre à la fois déjanté et plein d'émotions. Je trouve ça pas mal d'avoir été au-delà du simple récit témoignage et d'avoir créé un cadre fictionnel autour.

La plume de l'auteur est très agréable à lire. On voit beaucoup de flics ou ex flics se lancer avec succès dans l'écriture, visiblement ce métier donne une belle inspiration à son personnel!
On suit avec beaucoup de plaisir ces tranches de vie qui nous livrent le quotidien d'un policier face à la réalité du métier. Des hommes tout simplement qui se retrouvent à gérer des situations dures, compliquées, où la notion du bien et du mal n'est pas toujours simple à définir. Car derrière ces délits graves ou plus anodins il y a des histoires, des hommes et des femmes.
On pense aussi à ce mélange d'amour-haine entre la police et les français. Ces hommes adorés aux lendemains des attentats, insultés pendant les manifestations, caillassés dans les banlieues...
Derrière le quotidien d'un boulot et l'image de l'homme fort de la loi se profilent toutes les difficultés de ce métier : le sentiment d'impuissance, d'abandon, le manque de moyens, les suicides de policiers...

Un livre témoignage d'un ex policier qui ne cherche pas à faire le procès de son ancien métier, mais juste un besoin de mettre les mots sur 18 ans d'existence et sur le virage qu'il a décidé de prendre un jour.
Une jolie lecture très intéressante où l'on découvre le parcours d'un flic, loin de l'image brossée dans les polars habituels.

Pour retrouver ce livre, c'est par ici https://www.librinova.com/librairie/poli-gyronnase/le-monde-des-fous-est-infini-4
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Le monde des fous est infini de l'ancien policier maintenant devenu auteur Poli Gyronnase est une véritable petite grenade. Ce livre a une charpente particulière que personnellement je n'avais jamais rencontré dans aucune autre des mes lectures et franchement c'est l'un de mes gros points positifs de ce roman ; l'originalité de la structure littéraire.

L'auteur nous livre donc une fiction en trois parties; un ancien flic déguisé en joker et accompagnée de sa magnifique épouse brésilienne, Ornella, braque une banque. Cette fiction est très colorée et imagée, elle est teintée d'humour rude et nous prouve que l'auteur est capable de bien des prouesses dans le mélange des styles. Durant leur fuite, Ornella découvre un carnet de recueils ou plutôt de faits vécus écrit de la main de son époux alors qu'il était encore policier, nous allons donc plonger à travers les yeux de la charmante épouse dans le monde d'un ancien condé.

Les ‘'nouvelles'' sont en ordre chronologique, elles sont datées alors nous assistons indirectement à l'évolution psychologique du policier si nous sommes attentifs aux signaux. Ce n'est pas une descente aux enfers, je vous rassure mais une véritable prise de conscience. du jeune promu à peine sorti de l'adolescence au coeur pur qui désire changer le monde, aider son prochain et réaliser de magnifiques exploits, nous allons terminer la rencontre avec un policier devenu homme qui a perdu foi, peu à peu, envers le système et que l'impuissance quotidienne de ses actions l'ont mené à poser sa démission…. et fictivement (je l'espère, hihi) devenir braqueur.

Honnêtement, la plume de Poli est parfaitement maîtrisée, il livre ses émotions et ses ressentis d'une façon tout à fait juste et honnête. Il ne tombe pas dans la dénonciation mais à travers son vécu c'est à nous, les lecteurs, de nous faire notre propre idée. Concernant la fiction, je me répète, c'est si bien imagé que le plaisir est presque coupable et nous en redemandons ! Alors, Poli, par pitié, ne range pas ta plume comme tu as rangé ton insigne… car c'est avec des mots que parfois nous pouvons changer le monde !
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Tout a commencé pendant une triste nuit, le long d'une route solitaire de campagne, alors qu'il cherchait un raccourci que jamais il ne trouva…

Oups !
Je me suis trompé d'Histoire !!!

Donc tout à commencé le 15 août 2020, Poli Gyronnase m'a contacté pour me proposer son roman “Le monde des fous est infini” et connaitre mon ressenti sur son livre.
Alors tout d'abord, merci Poli, pour ta confiance, mais surtout merci de m'avoir permis d'entrer dans “ton monde”

Je dois dire que le début du livre m'a un peu perdu… Mais j'ai compris très vite que j'étais le seul fautif…
Je n'avais pas suffisamment porté attention au titre du roman, et j'étais passé complètement à côté de quelque chose.

J'ai donc stoppé ma lecture et suis allé à la recherche… d'un chapeau à grelots.
J'étais pourtant persuadé d'en avoir un dans le grenier mais impossible de le retrouver.
J'ai donc fait avec les moyens du bord !
J'ai utilisé une civette de carnaval que j'avais ramené d'un voyage à Venise.
J'ai repris ma lecture depuis le début… Et là, tout est devenu clair et limpide. Je n'étais tout simplement, pas du tout dans le bon état d'esprit quelques minutes plus tôt lors, de ma première tentative de lecture…
J'allais pouvoir me rattraper.

Je plonge dans le monde fou, qu'est devenue notre société.

Très vite, j'ai un premier choc.
Le choc de l'envers du décor…
J'ai beaucoup d'amis dans la Police. Ils ont beaux me dire, me raconter, me décrire, me le répéter, tous “les collègues” travaillent avec d'énormes difficultés. Régulièrement ils perdent leurs illusions, et c'est la lente descente psychologique. Ils ne sont jamais au bon endroit. Pris entre deux feux, sans aucun jeu de mots ce coup-ci !
Ils se font “allumer” quand ils n'en font pas assez. Mais dès qu'ils interviennent ils en font trop !!!

Pas facile dans ces conditions de défendre veuves et orphelins ainsi que tous les autres…

Poli a su admirablement, par le biais de “nouvelles” souvent très courtes, retranscrire son quotidien sous forme de tranches de vies autobiographiques mêlant humour et autodérision, pour accepter l'inacceptable et faire passer ses messages sur l'état lamentable des services de la police en France.

Après avoir passé 18 ans dans la police, Poli démissionne et entraîne sa femme Ornella dans un cambriolage, où celle-ci disjoncte complètement !!!

C'est la première partie. le braquage.
Rythmé. Dur, très violent, mais je n'ai pu m'empêcher de sourire en imaginant les situations.

J'ai donc suivi le parcours et l'incroyable histoire déjantée de Poli, en ayant hâte chaque fois, d'être au chapitre suivant.

Seconde partie. Sur la route.
Le ton est différent. On se pose plus de questions. Poli décrit son travail de policier, son quotidien… Vécu et roman se combinent à merveille.

Troisième partie. le dénouement.
Il ne pouvait en être autrement. Je sais au combien le choix de tout arrêter n'est pas du tout facile. le regard des autres, la famille, les amis, l'impression d'avoir loupé quelque chose, la perte petit à petit de nos illusions. Mais une vie sans pression constante n'a pas de prix.
Et pour terminer, une fin très bien ficelée, qui s'accorde parfaitement avec ce qui se dégage de l'ensemble du récit.

À lire absolument… Mais… Surtout n'oubliez pas le chapeau et les grelots !
Un livre drôle, émouvant aussi et profondément humain…
Bravo l'artiste !!!

÷÷÷÷÷÷÷

Extrait :

« On sort enfin de cette cité pour regagner notre unité. le lendemain les trois malfrats seront déférés devant le parquet, je ne connais pas la décision de justice les concernant. J'ai juste avisé mon groupe de ma volonté de ne plus jamais me rendre dans cette cité, ou bien, obligatoirement accompagné du GIPN et de l'armée.
Les policiers ne sont pas tous le temps maître de leur espace-temps. Notre inconscient collectif nous trompe, les flics ne s'octroient pas le plaisir de pouvoir comme bon leur semble. Souvent, ils se battent pour que la loi soit simplement appliquée, au péril de leur vie. Ils s'activent tous les jours, sans forcément dominer les situations, et passent la plupart de leurs temps a tempérer… non pas à maîtriser ou à profiter.
Ce jour-là, j'ai compris que nous n'étions plus dans un état de droit, j'ai perdu le peu de foi policière qui me restait. »
Lien : http://leressentidejeanpaul...
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Quand on tombe sur une affaire sérieuse avec une belle crapule, la finalité est toujours la même : on est emmerdé par le système et la crapule est protégée. La victime, elle, est toujours oubliée. Je n’ai plus confiance non plus en la justice. J’ai vu trop d’incohérences. Pour résumer, quand le Policier agit, on lui reproche de trop agir et quand il n’agit pas, on lui reproche de ne rien faire. C’est kafkaïen. En plus, on se retrouve dans une politique de culture du chiffre, plus rien n’a de sens. Les flics, nous n’avons jamais de reconnaissance. Nous ne sommes pas là pour être aimés, je le savais en signant. Mais nous ne sommes même pas aidés par notre hiérarchie, la justice, les politiques, et aujourd’hui, l’homme de la rue. Nous sommes des boucs émissaires, de la viande à média et des numéros matricules, c’est tout. Cette administration est composée d’une addition d’individualités qui travaillent, soi-disant, pour la collectivité, foutaise. Je veux partir car je sens que je ne pourrai pas tenir jusqu’à ma retraite. Aujourd’hui, tu vois, j’en veux à tout le monde, j’ai peur de devenir fou…
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Les otages finirent par être sympas. Ils avaient compris que nous désirions simplement le fric et qu’en coopérant, ils bénéficieraient de la vie sauve. Nous étions des criminels, soit, mais nous ne manquions pas d’humour. L’essentiel était de voler aux riches pour donner aux pauvres dans la joie et la bonne humeur. C’est vrai qu’on l’était… pauvre. Au moins, les diverses dépositions des témoins et des victimes ne manqueront pas de divertir les condés.
Avant de prendre la fuite, je distribuais 10 liasses de billets de 100 euros à chacun des otages. Ornella, quant à elle, glissait soigneusement le même nombre de liasses dans les poches de celles et ceux qui s’étaient évanouis… après leur avoir tendrement caressé la joue.
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Son visage était celui d’un alcoolique dès lors qu’il entamait un petit effort physique. Par la suite, j’appris qu’il boitait à cause d’un trop-plein d’alcool. Un caillot de sang s’était formé dans l’artère fémorale. Il avait subi plusieurs cures de désintoxication mais en vain. Aujourd’hui, il était Chef du Corps Urbain, on ne lui reprochait plus rien, ou plutôt, on ne cherchait pas trop la bébête. Il était à deux ans de la retraite. Je mettais le cul pour la première fois dans une voiture de police, j’avais attendu cela depuis des années. Il fallait que le chauffeur, et néanmoins mon Chef, ait son gramme d’alcool dans le sang !
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 Je dégageais un sentiment de souffrance, j'offrais le spectacle médiéval d'un home obligé de se rabaisser en un sorte de Joker troubadour pour "jouir" de la mendicité. Un homme qui s'exprimait par son habileté en ayant choisi un langage manuel. Un homme qui avait, apparemment, souffert d'une vie de chien.
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La morale de l’histoire : la bonne humeur, l’humour, les sourires, les regards, les voix appropriées et les comportements nonchalants sont souvent plus communicatifs et plus professionnels que certains emballements et explications judiciaires de certains jeunes flics.
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