L'auteur acquiert la lettre réponse de Floria AEmilia aux "Confessions" de Aurèle Augustin - ou
Saint Augustin - et la traduit pour nous. On se prend au jeu et on croit à la découverte d'un Codex Floriae remis ensuite au Vatican.
La lecture de la première partie de ce roman est agréable. le texte tourne ensuite à un discours à charge, sans réponse - et pour cause - de "l'accusé".
Il s'agit d'une lettre écrite par une femme amoureuse, abandonnée et blessée, qui ne pardonne pas à Saint Augustin de lui préférer la chasteté et l'évêché d'Hippone.
Une réflexion néanmoins intéressante sur le célibat des prêtres et la vision que peut avoir Dieu sur l'amour.
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