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Outlander (J'ai Lu) tome 19 sur 19

Philippe Safavi (Traducteur)
EAN : 9782290363300
800 pages
J'ai lu (04/01/2023)
4.28/5   139 notes
Résumé :
À la fin de la première partie de L'adieu aux abeilles, la guerre d'Indépendance se rapprochait dangereusement de Fraser's Ridge : des tensions et des échauffourées entre ses métayers avaient confirmé à Jamie que le domaine abritait en son sein des royalistes autant que des patriotes. Allaient-ils en venir aux armes, colons écossais contre colons écossais ?Mais à l'écart des combats, la vie suit son cours : alors que Roger est enfin ordonné prêtre, Brianna reçoit de... >Voir plus
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Cette fois, je suis enfin au bout de ce qui est devenu, tome après tome, un chemin de croix, une lecture où je ne trouvais plus le moindre intérêt.
Bien entendu, vous vous demanderez en me lisant, de façon très légitime : mais pourquoi cette excitée pimbêche continue-t-elle à lire ce chef-d'oeuvre hors normes puisqu'elle n'en tire que de l'ennui profond, voire de la répulsion qu'elle transforme en vigoureuses, voire agressives, critiques qu'on n'oserait asséner à un roman de gare ?
Vous aurez raison de vous poser cette question, je ne comprends pas moi-même pourquoi je continue alors que dans les lignes qui suivent, comme vous le verrez, je m'acharnerai férocement contre le bouquin et son auteur. Je pense que je poursuivais à mon corps défendant juste pour savoir comment ça se termine, comme on dit, et, surtout, surtout, espérant contre vents et marées qu'un nouveau voyage à travers les pierres donnerait enfin lieu aux développements et au relief que j'attends obstinément et en vain depuis plusieurs tomes, cf mes critiques précédentes.
Hélas, rien de tout cela.

(attention, spoilers)

Précisons d'abord que j'ai lu les deux volumes de ce tome 9 comme j'ai lu les précédents depuis disons, le 5. C'est-à-dire à toute allure, sprintant sur les passages que je jugeais sans intérêt, sautant des phrases, des paragraphes, voire des pages après un rapide coup d'oeil sur leur contenu. Au final, et toujours comme pour les précédents tomes, sur les 1500 pages des deux parties, j'ai lu, disons, le tiers, et encore en comptant large. Bref, juste de quoi comprendre ce qui se passe, et pointer à nouveau tout ce que sont pour moi, les manques, les lacunes, les frustrations.
D'abord, je ne comprends plus rien à l'histoire. Certes je ne suis pas une spécialiste de la révolution américaine et de la guerre qui a permis la naissance des Etats-Unis, mais bien que n'étant pas totalement inepte, ni rétive à la compréhension, ni butée face à L Histoire, bien au contraire, je suis totalement larguée au regard de l'arrière-plan historique, des personnages, du déroulé des évènements, des batailles, je ne sais pas plus que dans les précédents tomes qui fait quoi et qui relève de quel camp. Pour Washington, OK, mais les Clinton, Lexington, Charleston et autres, je serais bien en peine d'expliquer leur rôle dans le conflit. Je reconnais avec modestie que jamais je n'aurais réalisé ce fabuleux travail de documentation historique, mais pour une grande lectrice comme moi, c'est bien la première fois que je perds pied à ce point – et je vous jure que j'en ai lu, des romans historiques.
En ce qui me concerne, l'auteur manque donc son but.

Je ne trouve aucun intérêt aux nouveaux personnages qui apparaissent sur la scène. Certes ils sont trop nombreux, vont et viennent dans une sorte de magma qui doit ressembler à l'intérieur des pierres et qui leur enlève toute personnalité – si tant est qu'ils en aient une. William est bien gentil, mais il tourne à la mièvrerie. Où est l'intérêt d'un personnage comme Cinnamon ? J'aurais préféré qu'on ne retrouve pas Amaranthus tant elle est insignifiante. Je ne vois pas ce que vient faire Hal dans l'histoire. On se serait passés de la petite Agnes. Certains personnages jouent un rôle, si tant que l'on puisse utiliser ce terme, si épisodique, qu'on se demande pourquoi l'auteur a perdu son temps à les inventer. Je ne parviens pas à débrouiller la foule innombrable des soldats, officiers, métayers, pêcheurs, Indiens, insurgés, confédérés, loyalistes.

Les nouveaux personnages, c'est une chose, mais la façon dont tournent nos anciennes connaissances laisse parfois songeur. Prenez Lord John, ses apparitions me laissent de plus en plus perplexe, entre la vacuité de ses interventions et les méandres où il se perd. Certes un auteur se laisse guider par ses personnages, et non l‘inverse, je suis bien placée pour le savoir, mais que dois-je déduire face à ce personnage qui tourne à l'insipidité et subit des évènements avec une passivité déconcertante ?
Ah, que je regrette Dougal, Colum, Angus, Rupert, Murtagh, et même Geilis !
(même s'ils font un clin d'oeil dans le tome 8)

La vacuité des dialogues (nombreux) bat des records. Des pages et des pages sur la façon de tailler les poutres ou de pincer le bout d'un sein, sur la descendance de la truie blanche ou la disparition du chat, et j'en passe, moi ça m'ennuie à mourir. Quelques pages ça va, on peut comprendre, mais quand on en est à des milliers de pages de descriptions insipides, on ressent une certaine lassitude.

Certes la volonté de l'auteur est une description sans faille et la plus rigoureusement exacte de la vie quotidienne dans l'Amérique (et un peu dans l'Ecosse) du XVIIIème siècle). du matin au soir, le dur labeur, les soins hasardeux, au milieu d‘une nature hostile à discipliner, d'un monde à créer, des défis à relever. On vit au milieu des bêtes, domestiques et sauvages, on lutte, on fait feu de tout bois, et au final dans cette nature vierge et intacte, on jouit d'une vraie liberté, on est son propre maître – cf mes remarques sur le tome 7.
Mais il faut quand même se donner quelques limites. J'ai eu quelques haut-le coeur en découvrant des souris mortes dans les poches de Jem, ou en voyant le chien se rouler dans les viscères d'un oppossum étripé avant cuisson. Et était-ce indispensable que quand Jaimie accouche une vache, il se trompe d'orifice, ressorte le bras plein d'excréments, et s'essuie sur sa seule chemise à peu près propre ? J'en passe d'autres du même acabit, d'ailleurs concernant le même Jaimie, lui reste-t-il sur le corps un seul centimètre carré de peau qui ne soit recousu mille fois, vu l'acharnement de l'auteur sur son personnage… Les temps sont durs, mais quand même…
Et puis les scènes de baise (moins torrides vu l'âge des héros), de fractures à réduire et de plaies à recoudre, je sature.

Et toujours mon éternel regret…
Mon éternel regret, mon éternelle frustration dans cette saga qui de roman un peu fantastique au départ, se transforme en pur roman historique. Pourquoi pas, c'est le choix de l'auteur, mais si tel est le choix, on évite de parler des pierres et des voyages dans le temps.
L'absence de confrontation entre les deux époques devient de plus en plus regrettable avec les derniers voyages de Roger, Brianna et leur progéniture.
J'avais déjà partagé mon incompréhension suite à l'apparition de Buck, qui, lui, sans aucune préparation fait le voyage en sens inverse. Un individu du XVIIIème siècle brutalement balancé au XXème, et qui trouve normal de déboucher sur une nationale où vrombissent voitures et camions, de faire jaillir la lumière en tournant un bouton, de téléphoner et de fermer son jean avec une fermeture éclair, et dont on ne sait rien des états d'âme, moi ça m'avait déjà gênée dans le tome précédent.
J'avoue avoir ressenti un regain d'intérêt grâce à Buck.
Mais Roger et Briana qui reviennent dans leur siècle de naissance et qui reprennent pied dans la vie quotidienne on ne sait pas comment, ni avec quelles ressources, financières et administratives. Moi j'aurais bien aimé savoir comment ils s'en tirent, pas vous ? Retrouver l'oncle Joe aussi, qui ne fait qu'une rapide et insuffisante apparition.
Et les histoires de Brianna avec le nouveau méchant qui veut la violer sans y mettre le style de Stephen Bonnet, là aussi j'ai du mal à suivre.

Donc ils repartent. Sinon que par inadvertance, dysfonctionnement du réseau des pierres ou autre, ils se retrouvent en 1739, et en ordre dispersé. Que devient Buck dans ce fouillis ? Il repart, et si oui, où ? Que devient le père de Roger, tant cherché et si vite disparu ? Et toute la famille une fois rassemblée, la décision est prise de rester au XVIIIème siècle, quelques dizaines d'années plus tard, en retrouvant la Caroline du Nord au prix d'un voyage chaotique à travers l'Atlantique. Cela nous vaut une jolie scène de trois lignes entre Roger et Jenny, mais encore ?
Comment en arrivent-ils à cette décision, mesurant bien les conséquences pour eux et surtout pour leurs enfants ? Rejoindre les grands-parents c'est bien, quoiqu'en ces temps fragiles tout peut arriver. Mais au-delà de la présence des grands-parents, pourquoi et comment ces parents attentionnés choisissent-ils de faire vivre leurs enfants au XVIIIème siècle plutôt qu'au XXème ? Quelques paragraphes de discussion entre Brianna et Roger auraient été les bienvenus, mieux venus en tous cas que tous les insipides dialogues où je me perds d'ennui.
On revient pour de bon, disent-ils. OK, c'est leur choix. Là encore j'aurais bien aimé quelques pages sur les difficultés de leur retour, après deux années passées au XXème siècle. On ne se réhabitue pas d'un claquement de doigts à une vie sans confort, sans commodités, sans chauffage central ni téléphone ni ciné ni rien, même s'il s'agit d'un choix en connaissance de cause.

Jem, lui, est déjà grand. Que devient ce gamin, à part enfouir des souris mortes dans ses poches ? Va-t-il à l'école, que pense-t-il de sa nouvelle (et définitive) vie ? Comment cache-t-il – ou pas – à ses potes, ce qu'il a vécu au XXème siècle ? C'est dur pour un gamin de cet âge de tenir sa langue.
Pour Mandy, vu son âge, ça pose moins de difficultés.

Quant à Claire, quand les jeunes reviennent, ça fait quand même plus de dix ans qu'elle a quitté le XXème siècle. Et on a tous en tête les multiples changements intervenus entre 1970 et 1980. Claire fait preuve d'un singulier manque de curiosité à l'égard de ces changements car on ne la voit guère poser des questions à ses jeunes pour savoir comment le monde a évolué depuis qu'elle a quitté son époque. Certes elle a définitivement tourné la page, mais moi j'aurais bien aimé partager ses états d'âme…
Car au-delà des lave-linge, des sorties au ciné, et des blocs opératoires dernier cri, mon interrogation suprême est de comprendre comment une femme grandie dans un monde où races, sexes, croyances, appartenances politiques, orientations sexuelles etc, sont traités (ou supposés traités, hélas, l'actualité le démontre chaque jour) de manière égale, comment cette femme accepte de vivre à une époque où la notion même d'égalité est inexistante, où la vie humaine ne compte pas, où l'esclavage bat son plein, où la démocratie ne veut rien dire…

Pour finir cet interminable réquisitoire aussi long qu'un dialogue entre Claire et Jaimie, je reviens sur l'effet salutaire de cette saga et les réflexions qu'elle engendre sur le choix de vivre à une époque plutôt qu'à une autre ? Certes un XVIIIème siècle moins sécure à tous points de vue (santé, sûreté…), où les idées des Lumières ont encore du mal à se frayer un chemin, mais où l'être humain s'éclate dans une nature que ses activités n'ont pas encore massacrée, vit en accord avec le climat, utilise sans rien perdre ni gâcher toutes les ressources à sa disposition…

Le tome qui reste, annoncé comme le dernier par l'auteur, je crois que je le lirai quand même !

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J'adore cette série de livre que je lis depuis mes 16 ans. Cela fait donc 22 ans que je partage la vie de ces personnages hauts en couleur. Cette histoire m'a toujours fait penser à une toile d'araignée qui s'étends. Les premiers livres sont très centré sur claire et Jamie mais les personnages secondaires de prime abord prennent de l'ampleur, notament la famille Grey et on a toujours un immense plaisir à la retrouver. Que ce soit John, Willy ou Hall. Et puis la famille fraser qui ne cesse de s'agrandir. Alors cela a été un vrai bonheur pour moi de les retrouver et de continuer à partager leur vie, comme de retrouver une famille. Mais….. je dois dire quand même que le livre 9 n'est pour moi pas à la hauteur. Je comprends très bien que tous les livres ne peuvent pas être excellent et que l'auteur peut avoir des problèmes personnels qui l'empêche d'être au top. Diana nous explique qu'elle écrit des chapitres et qu'après elle les mets bout à bout pour faire un ensemble. Malheureusement je trouve que pour le tome 9 ça ne marche pas trop. En tous cas j'ai été sur ma faim à presque chaque chapitre car j'avais l'impression que la situation racontée s'arrête abruptement alors qu'on aurait voulu en savoir plus sur le ressentis des personnages. le tome 9.1 était très lent et on se demandait quand cela allait démarré, mais la fin du tome 9.2 est précipité et j'ai un sentiment de baclage. Il se passe beaucoup de choses importantes mais on à des trous de plusieurs mois.
Attention Spoiler :
On attendait tous avec impatiente la rencontre entre william et Bree et on passe rapidement dessus. Ils se quittent comme cela sans se reparler. On ne voit pas William rencontrer les enfants (ce que j'attendais) et d'ailleurs on voit pratiquement plus les enfants alors que Jem et Mandy avait pris de l'importance dans le Tome 8. On passe rapidement sur la grossesse de Bree, et elle à déjà accouché puis on est repartis vers la guerre etc… Jamie est à peine blessé qu'il est opéré et revenu à une vie quasi normale. On a pas vu Boby et Sylvia se rapprocher. On apprend la nouvelle grossesse de rachel que par les pensées de Jamie et on voit très peu ce premier fils arrivée avec eux. On ne vois plus le déscendant de Rollo alors que j'étais très contente de ce nouveau « loup », soit dans la vie de Petit Ian et pour Fergus et Marsali c'est pareil ils disparaissent et réapparaissent comme ça
Enfin c'est vrai qu'il y a maintenant beaucoup de personnages et peut-être que cela devient un peu difficile de leur consacré beaucoup de chapitre à chacun mais j'ai une impression de raté sur la fin quoi qu'on en dit.
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La fin de cette deuxième partie du neuvième tome nous laisse sur une probable suite et je m'en réjouis à l'avance. Ce roman-feuilleton, depuis le début, me tient bien accrochée, grâce à ses personnages, devenus aussi familiers que de proches parents, et dont l'évolution à travers l'espace-temps fascine. le voyage temporel, comme trame de fond, procure aussi son petit effet magique, un fil narratif toujours présent derrière les dialogues et les événements du quotidien.
Les combats pour l'indépendance des colonies américaines se poursuivent autour du domaine de Fraser's Ridge, contraignant Jamie à former sa propre milice afin de veiller à la sécurité de ses protégés. Entre les troupes loyalistes et celles des rebelles menées par Washington, évoluent Claire et sa famille élargie vaquant à leurs occupations journalières. On est loin du tourbillon des premiers tomes et cependant, rien ne peut essouffler mon envie d'avoir des nouvelles de tous ceux qui peuplent l'univers particulier créé par Diana Gabaldon. Comme une incorrigible convertie, j'accorde donc mes sempiternelles quatre étoiles à cet énième volet, dont je n'espère pas la fin de sitôt.

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J'ai enfin terminé la deuxième partie de l'adieu aux abeilles de Diana Gabaldon.

Après mon grand coup de gueule concernant la première partie qui était inintéressant au possible, d'une longueur démesurée sans action ou presque, je me suis sentie bien plus à l'aise avec cette partie-là.

DG nous entraine dans le sillage des personnages principaux qui sont bien plus nomades dans cette partie que la précédente, et il se passe enfin beaucoup des choses. Il est aussi très intéressant de retrouver des personnages des romans précédents qui ont toute leur place.
En particulier, l'arrivée, le retour, bref avec ces voyages dans le temps on ne sait pas trop, d'un vrai méchant !!! Après Randall et Bonnet, on tient le prochain, mais je vous laisse le découvrir sans spoiler si vous ne l'avez pas encore lu et j'ai trouvé ça agréable. Après, je me dis que c'est un peu du réchauffé quand même et que la saga s'essouffle depuis quelques tomes, en fait les trois derniers.

Vous le savez peut-être DG est en train de plancher sur son suivant qui n'a pas encore de nom. Ce tome était annoncé comme étant le dernier de la saga et bien je vous l'annonce sans guillemet : ce n'est pas impossible que ce ne soit pas le dernier ... dft007 Non, non, non, je sais que le business est juteux : 18.90 euros le roman mais là il va falloir s'arrêter un moment où un autre.

Même si j'aime beaucoup, toujours, mais un peu moins quand même Jamie et Claire, ils ont mérité d'être en paix dans ma mémoire. Bon j'avoue quand même avoir tremblé dans cette partie pour Jamie, et je ne peux m'empêcher de me rappeler et de compter le nombre de fois où il aurait du mourir : sept fois avait dit la bohémienne. On en est pas loin du tout maintenant.

alors me direz-vous, pourquoi j'attends encore la suite ... Et bien ce qui me donne encore envie ce sont les dernières révélations de Mandy, la fille de Roger et Brianna à la fin de ce tome, qui me turlupine, qui me chagrine, me laissant perplexe sur la fin de cette saga. Et vous ?
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Après avoir lu les 12 livres qui composent la saga Outlander, je suis assez partagée. Les premiers tomes, jusqu'au 4, sont absolument fantastiques. Diana Gabaldon nous emporte avec elle et nous fait voyager loin, très très loin. Puis, à partir du tome 5, on tourbillonne moins, on voyage moins, notre coeur palpite moins. Est-ce dû à l'âge que prennent les personnages ? C'est possible.
Malgré, quelques fois, l'ennui (même si c'est un grand mot) que j'ai pu ressentir, Outlander reste ma saga préférée. En attente du 10e tome !!
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
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