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Critique de Lucas2
Faut jamais briser le rêve des enfants...
Peter, dit "la mouche" est un p'tit bonhomme un tantinet rejeté dans son village de Salicorne.
C'est "l'autre, le différent, la victime rêvée". Père inconnu, mère impotente et acariâtre, on le surnomme aisément "le bâtard".
Çà, la petite bande de monstres emmenée par "blaireau" ne se prive pas pour l'enfoncer dès qu'ils le peuvent.
Heureusement, il y a Julie. Eux deux, ils se comprennent, et ont un plan pour échapper à la noirceur de leur vie.
Ils ont amassé un petit pécule, et c'est bientôt la nuit des rameaux.
Ils ont un coeur pur, donc nul doute que la fée va se pencher sur leurs problèmes pour les résoudre. Ils pourront enfin partir de ce maudit village...
Mais la veille, Blaireau est retrouvé mort. Noyé.
Cette nuit s'annonce décidément sous de mauvais hospices, et va s'avérer bien longue...
Un bon Gabrion, dont "l'homme de Java" m'était apparu plus que transcendant dans ma jeunesse.
On a ici un peu le même esprit que dans le premier opus de sa série phare, un p'tit gars pas gâté par la vie, on sent monter la tension de cette situation, et on a des surprises. Heureuses ou surtout malheureuses.
Le final est aussi plus que correct, lui qui nous laisse un gout amer dans la bouche. On se dit c'est dommage d'en arriver là.
Donc plutôt pas mal, cette BD probablement oubliée dans quelques trop peu nombreux placards, depuis le temps.
Peter, dit "la mouche" est un p'tit bonhomme un tantinet rejeté dans son village de Salicorne.
C'est "l'autre, le différent, la victime rêvée". Père inconnu, mère impotente et acariâtre, on le surnomme aisément "le bâtard".
Çà, la petite bande de monstres emmenée par "blaireau" ne se prive pas pour l'enfoncer dès qu'ils le peuvent.
Heureusement, il y a Julie. Eux deux, ils se comprennent, et ont un plan pour échapper à la noirceur de leur vie.
Ils ont amassé un petit pécule, et c'est bientôt la nuit des rameaux.
Ils ont un coeur pur, donc nul doute que la fée va se pencher sur leurs problèmes pour les résoudre. Ils pourront enfin partir de ce maudit village...
Mais la veille, Blaireau est retrouvé mort. Noyé.
Cette nuit s'annonce décidément sous de mauvais hospices, et va s'avérer bien longue...
Un bon Gabrion, dont "l'homme de Java" m'était apparu plus que transcendant dans ma jeunesse.
On a ici un peu le même esprit que dans le premier opus de sa série phare, un p'tit gars pas gâté par la vie, on sent monter la tension de cette situation, et on a des surprises. Heureuses ou surtout malheureuses.
Le final est aussi plus que correct, lui qui nous laisse un gout amer dans la bouche. On se dit c'est dommage d'en arriver là.
Donc plutôt pas mal, cette BD probablement oubliée dans quelques trop peu nombreux placards, depuis le temps.
