Bonjour tout le monde! Je viens de lire les dernières lignes du livre «
Nos âmes pures » de
Jean-Christophe Galiègue. Je suis bouleversé.e par la beauté de ce livre.
C'est grâce à
Dominique Faure qui a mis ce livre entre mes mains il y a quelques mois, que j'ai connu cet auteur. Merci, merci Dominique.
La plume de
Jean-Christophe Galiègue est simplement magnifique. Après avoir lu les 20 premières pages à peu près, ma réaction immédiate a été de dire « c'est le Mozart littéraire » car la douceur de son écriture me rappelait la douceur du compositeur.
Chaque page contient des mots qui ne sont plus des mots : ce sont des caresses, du velours, du satin soyeux où il fait bon reposer ses yeux, et qui transportent bien au-delà de leur signification. J'ai pleuré, j'ai souri, j'ai retenu mon souffle, j'ai enfin respiré pleinement.
J'ai ressenti une joie folle pendant l'enfance de Roméo, à en pleurer. J'ai ressenti mon coeur s'engouffrer dans un froid immense pendant l'enfance de Tristan, à en pleurer.
Et puis j'ai retrouvé ma propre enfance avec la tendresse des pâquerettes que j'aimais tant cueillir et offrir à ma maman ou ma nounou.
Et puis j'ai aimé tant de phrases dans ce livre, telle « Le vent désespère de soulever le poids du monde ».
Le livre de
Jean-Christophe Galiègue m'a profondément ému. Les mots qu'il a écrits ne reflèteront jamais les sensations que j'ai éprouvées. L'amour est partout dans ce livre, du début à la fin.
Une autre belle phrase : « Les sentiments les plus forts restent sans paroles ».
Il a raison.