Ma première rencontre avec
Daniel F. Galouye remonte à «
Simulacron3 », un roman qui m'a laissé perplexe. Je ne pensais pas relire un autre de ses textes jusqu'à… l'excellent « L'asile » dans le recueil « Histoires de mutants ». J'ai décidé de laisser une autre chance à
Daniel F. Galouye.
Suite à une catastrophe – probablement atomique, non évoqué, mais l'auteur parle de Radiation – les hommes ont due retourner vivre dans les cavernes. Certains sont restés proche de la surface (Survivants), d'autres se sont enterrés plus loin dans les profondeurs (les Ziveurs). Là où ça devient intéressant, c'est que l'on découvre ces gens après plusieurs générations. Ainsi, leur métabolisme ont évolué. Les sens inexploités se sont développés et la vue est devenu secondaire.
Toutefois, la tentation est grande. Celle de remonter à la surface.
Le thème est riche et l'écriture est belle. Toutefois, je n'ai jamais réussi à rentrer dans l'histoire. J'ai lutté pour arracher quelques pages. Bien que le livre soit assez court (environ 220 pages), j'ai définitivement abandonné à 80 pages de l'arrivée. Je n'ai pris aucun plaisir à la lecture. Je suis peut-être passé à côté de quelque chose.
Je n'ai pas aimé les longues phrases et l'histoire de rivalité entre les deux peuples. Je note une bonne réalisation et un bon sujet, mais manque quelque chose pour me captiver.