Plus tard, peu après avoir commencé le quatrième tableau, il perd l’usage de sa jambe droite et ne peut plus se déplacer qu’avec deux béquilles. Misako reste impassible devant cette évolution, tout comme elle l’a été quand il a commencé à se servir de la première béquille ou quand elle a vu ses premières cicatrices.
Extrait de « Le travail du feu » de Juan José Burzi
Tr. de l'espagnol par Bernard Sigaud