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EAN : 9782130560999
676 pages
Presses Universitaires de France (15/01/2007)
4.12/5   41 notes
Résumé :
« J'accorde une haute valeur à mes expériences. Je ne sais si je suis arrivé à leur rendre pleinement justice. Tout ce que je puis dire, c'est que je n'ai pas épargné la peine pour que ce récit soit fidèle. Décrire la vérité, telle qu'elle m'est apparue, et de la façon exacte dont je l'ai atteinte, voilà quel a été mon effort incessant. À cet exercice mon esprit a puisé une paix ineffable ; car mon espoir bien-aimé a été que les hésitants retrouveraient ici foi en l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Cet ouvrage est une autobiographie, on y trouvera donc le plaisir d'entendre un grand homme parler de lui même.

Gandhi est né de religion hindoue et a toujours respecté les religions qu'il côtoyait,l'islam,le christianisme…Il dira avoir découvert que le renoncement était prôné par toutes, son mode de vie s'en inspirera largement.
Gandhi indien, hindou, il faut s'attendre à découvrir un homme d'une autre culture que nous.
Ainsi, dès le début, nous le voyons marié à 13 ans comme cela se pratique en Inde, puis laisser sa femme à 18 ans pour aller faire ses études de droit en Angleterre. A cette époque, l'Inde est sous domination anglaise et les familles aisées envoient leurs fils faire leurs études en Angleterre.
Il lui faudra s'adapter à ce pays occidental , à son habillement, au couteau et à la fourchette et trouver des restaurants végétariens puisqu'il a fait voeu de ne toucher ni à la viande,ni au lait ,ni aux oeufs.
Lui qui sera un des grands acteurs dans la lutte pour l'indépendance de l'Inde vit pourtant dans le respect du peuple anglais.
De retour en Inde auprès de sa femme retrouvée,il a du mal à travailler car finalement, il connaît peu le droit indien. Il est touchant quand il avoue ses faiblesses :il se trouve poltron et jaloux avec sa femme.Il va trouver du travail en Afrique du Sud où se trouve une importante communauté indienne et laissera à nouveau femme et enfants pour aller travailler. Il va découvrir en Afrique du Sud le racisme dont sont victimes les gens de couleur et s'impliquera totalement dans la défense des gens de son peuple.
Actif infatigable et épris de justice et de liberté, il organise une association pour le respect des Indiens en Afrique du Sud. Il rencontre dans ce combat de nombreuses personnes de toutes religions. Il n'admet pas que seuls les humains, dans ces religions, soient censés avoir une âme, il n'est décidément pas occidental!
Il s'apprête à rentrer en Inde quand des mesures vont être prises en défaveur du droit de vote des Indiens,il ne peut que rester et intervenir. Il restera ainsi des années dans ce pays , trouvant sans cesse des causes pour défendre les Indiens, pour servir son peuple.
A son retour en Inde où il est surpris par la saleté et la paresse de son pays, il retrouve femme et enfants qu'il ne tardera pas à emmener avec lui cette fois pour mener d'autres combats en Afrique du Sud.
On peut le trouver très moderne quand il décide de garder ses enfants auprès de lui à présent , décrétant que tout se joue pour eux dans les premières années de l ‘enfance. Il leur inculquera lui-même ses valeurs, leur donnera la liberté et l'équilibre familial plutôt que l'érudition, il refuse donc de les envoyer dans des pensions loin de lui.(On sait que ses enfants regretteront cette éducation scolaire qu'ils n'ont pas reçue).
Mais il est très engagé dans tous ses combats politiques, il ne rêve que de « servir son pays » et réalise que cela ne lui laisse pas assez de temps pour s'occuper de sa famille : il n'aura donc plus d'enfants, pour cela, un seul moyen, faire voeu de chasteté. Il ne lui semble possible d'avoir de vie sexuelle que si l'on peut en assumer le fruit..(qu'aurait-il pensé de la contraception?). Un renoncement de plus dans la vie de cet homme qui vit très pauvrement. Il a la volonté du renoncement et en a la force : « La pensée doit être soumise à la volonté. La pensée involontaire est une maladie de l'esprit ».
Enfin, s'effectuera son retour définitif en Inde où il va créer une communauté, un ashram, avec l'objectif d'en faire un groupe autonome, autarcique , capable de se nourrir, de fabriquer ses propres vêtements….C'est l'Inde entière qu'il rêve indépendante.
Il ne s'habille plus que d'un linge indien de coton blanc qu'il tisse lui même, organise le boycott des habits et tissus anglais ,se déplace dans tout le pays pour défendre des groupes en détresse, paysans ou ouvriers, ouvre des écoles, principalement pour enseigner la propreté et les manières, utilise la grève non-violente . Nous retrouvons la singularité de Gandhi dans sa pratique du jeûne : quand les ouvriers faiblissent dans la grève, il se prive totalement de nourriture, et les dirigeants, craignant pour sa vie car il est très populaire, trouvent des accords avec les ouvriers.
Il utilisera ainsi le jeûne plusieurs fois pour manifester ou faire pression, par exemple pour exprimer son désaccord avec les conflits que se livrent musulmans et hindous.
« N'ayant jamais aimé vivre pour vivre » , il vit pour servir là où cela lui paraît nécessaire.
Dans son ashram, il impose à ses amis et à sa famille l'accueil d'une famille de la caste des intouchables, il ne tolère pas le sort qui leur est réservé dans la religion hindoue.
De plus en plus convaincu de la nécessité de l'indépendance de l'Inde face à la domination anglaise, il organise la « désobéissance civile » : ainsi va s'effectuer la très célèbre « marche du sel », les Anglais taxant lourdement le sel, cette marche a pour but de déplacer une foule d'Indiens vers la mer pour aller chercher leur propre sel.
Grèves non-violente,manifestations paisibles, grèves de la faim…tels sont les actes de Gandhi qui le mèneront plusieurs fois en prison, 6 années au total de sa vie.
Il veut être en mesure « d'aimer comme soi-même la plus chétive des créatures », »d'être présent partout où s'exprime la vie, y compris en politique » et « de libérer ses actes et ses pensées de toute passion ». Il se sent loin d'y parvenir, c'est pourquoi, dit-il , les compliments qu'on lui fait sont autant de piqûres…
Nous entendons tout au long de cette autobiographie la parole d'un homme politique qui est aussi la parole d'un homme religieux et celle d' un sage.
Il ne sait pas qu'il va être assassiné le 30 janvier 1948 ,peu après la proclamation de l'indépendance de l'Inde en 1947 , par un hindou fanatique lui reprochant sa grande tolérance pour les musulmans.
Gandhi clôt son récit: il sait que sa vie est devenue tellement publique, qu'il n'a plus besoin de la raconter, les journaux le feront pour lui.
Il termine en demandant l'aide du monde pour parvenir à l'humilité.
post scriptum: Vu comme ça, Gandhi était un saint. Mais………..nous savons bien que tout le monde a ses détracteurs! Récemment, un ouvrage est paru aux éditions de l'opportun sous le titre « Les testicules de Jeanne d'Arc ». L'ouvrage veut « démolir » les légendes de l « histoire, dont celle de Jeanne d'Arc, et s'attaque aussi à celle de Gandhi ! Personnellement, je vais m'empresser de le lire !! On verra bien qui était Gandhi, ou le mystère restera à jamais….
D.B.
Lien : http://www.madamedub.com
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Un livre de coeur depuis que j'ai lu pour la première fois vers 13/14 ans.

L'écriture est fraîche, simple, directe, pas de fioritures ni de lourdeurs, c'est un vrai plaisir à lire. La clarté et la précision de ses souvenirs sont impressionnants. Ce gros pavé se déguste plus vite qu'on ne croirait.

On découvre un jeune homme écrasé de timidité, mais qui finit par s'en faire une raison. Sa force de caractère, son autonomie lui insufflent une dynamique propre d'une intrépidité à toute épreuve. « La passion brûlante de l'accomplissement de l'être » qui l'habite l'amènera peu à peu à vouer sa vie au service des autres et à la fraternité humaine. Il sera inspiré en cela par ses amis théosophes – qui l'incitent à découvrir les traditions spirituelles indiennes – et par ses contacts avec des chrétiens, notamment Tolstoï, qui l'influencera très profondément.

Si l'homme est infiniment têtu et met parfois en pratique ses convictions avec un zèle un peu excessif – notamment en matière de diététique, d'éducation des enfants ou de médecine, il a le mérite de donner de lui-même jusqu'au bout et de toujours chercher à s'améliorer, dans un acte de foi tout entier offert à la vie. On ne peut qu'admirer l'enthousiasme avec lequel il s'adonne aux tâches ménagères, de la cuisine au nettoyage des latrines, considérant qu'aucun domaine n'est étranger au travail spirituel. D'aucuns pourraient s'en inspirer…

Un livre honnête et sans fard, la mise à nu d'un quêteur de connaissance qui savait rire de lui-même tout en assumant ses énormes responsabilités.
Lien : http://versautrechose.fr/blo..
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Le lecteur curieux est invité à lire toute la chronique en suivant le lien du blog.

Emprisonné en mars 1922, Mohandas Karamchand Gandhi commence l'écriture de ses mémoires. Relâché le 7 février 1924, il se plaint de ne pas avoir encore eu le temps de les finir mais continue de s'y atteler. L'exercice est particulier car il juge que « l'autobiographie est une coutume typiquement occidentale ». Il s'y soumet néanmoins, non pas pour se mettre en avant, mais pour écrire sa vérité pour qu'elle puisse guider ses lecteurs futurs.
Lien : https://thomasspok.blogspot...
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Le Sheth Abdoulla me fit mon certificat, que je soumis dûment au conseil de la Société juridique. Il se déclara satisfait. Mais la Société se garda d'en faire autant. Elle fit opposition à ma candidature devant la Cour Suprême – qui écarta cette opposition sans même demander à Mr Escombe d'y répondre. Le président de la Cour déclara en substance :

– L'objection selon laquelle le candidat n'a pas joint l'original de son diplôme est sans fondement. S'il a fait une fausse déclaration sous la foi du serment, rien ne s'oppose à ce qu'on le poursuive et à ce que son nom soit alors rayé des registres du Barreau, à condition que l'on prouve sa culpabilité. La loi ne fait aucune distinction entre blancs et gens de couleur. La Cour n'a donc aucun droit d'empêcher Mr Gandhi de s'inscrire au Barreau. Nous acceptons son inscription. Vous pouvez dès à présent prêter le serment d'usage, Mr Gandhi.

Je me levai et prêtai serment devant le greffier. Sitôt cette formalité remplie, le président, s'adressant à moi, reprit :

– Il faut maintenant que vous ôtiez votre turban, Mr Gandhi. Vous devez vous soumettre au règlement de la Cour sur le costume des avocats en exercice.

Je compris que je ne pouvais demander plus. Le turban que j'avais tenu à conserver au Tribunal du District, je le retirai par soumission à l'ordre de la Cour Suprême. Non que, si j'eusse refusé d'obéir, je n'eusse pu justifier ce refus ; mais je préférais garder mes forces pour de plus grands combats. A quoi bon user mes talents de lutteur à m'entêter dans cette histoire de turban ? Mon habileté méritait mieux que cela.

Le Sheth Abdoulla et d'autres amis ne furent pas contents de ma soumission (ou faut-il dire faiblesse ?). Ils trouvaient que je n'aurais pas dû démordre de mon droit au port du turban dans l'exercice de ma profession près la Cour. J'essayai de les raisonner, de les pénétrer de la vérité de cette maxime : « A Rome, conduis-toi en Romain. »

– J'aurais raison, leur expliquai-je, de refuser d'obéir, si aux Indes un fonctionnaire ou un juge anglais m'ordonnait de retirer mon turban ; mais dans la mesure où je remplis un office près la Cour, c'eût été malvenu, de ma part, que de mépriser une coutume en vigueur dans la province de Natal.

Grâce à cet argument et à d'autres semblables, je parvins à apaiser tant soit peu mes amis ; mais je ne crois pas les avoir convaincu entièrement, en l'occurrence, de la valeur de ce principe qui veut que des circonstances différentes imposent, pour le même fait, des façons de voir différentes. Et cependant, durant toute ma vie, le culte opiniâtre de la vérité m'a appris à mesurer toute la beauté du compromis. La suite de ma vie m'a montré que cet état d'esprit entrait pour une part essentielle dans le Satyâgraha. Souvent cela m'a valu de mettre ma vie en péril et d'encourir le mécontentement de mes amis. Mais la vérité a la dureté du diamant et la tendresse d'une jeune fleur.
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«  Je m’oppose à la violence parce que lorsqu’elle semble produire le bien, le bien qui en résulte n’est que transitoire, tandis que le mal produit est permanent . »
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L’homme et ses actes sont deux choses distinctes. Alors qu’une bonne action doit amener l’approbation, et une mauvaise, la réprobation, le fauteur de l’acte, qu’il soit bon ou mauvais, mérite toujours respect ou pitié, selon le cas. « Hais le péché, non le pêcheur » — c’est là un précepte que l’on applique rarement, s’il est aisé à comprendre : et c’est pourquoi le venin de la haine se répand si vite dans le monde. […]
S’opposer à un système, l’attaquer, c’est bien ; mais s’opposer à son auteur, et l’attaquer, cela revient à s’opposer à soi-même, à devenir son propre assaillant.
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«  La civilisation ne consiste pas à multiplier les besoins mais à les réduire volontairement , délibérément.
Cela seul amène le vrai bonheur » …
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«  La règle d’or de la conduite est la tolérance mutuelle, car nous ne penserons jamais tous de la même façon , nous ne verrons qu’une partie de la vérité et sous des angles différents » …
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Video de Mahatma Gandhi (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mahatma Gandhi
Gandhi ou la quête de la vérité (1973 / Les samedis de France Culture). Diffusion sur France Culture le 30 juin 1973. Par Nadine Lefebure. Réalisation : Georges Peyrou. Photographie : Mohandas Karamchand Gandhi à Londres, en septembre 1931. Avec Olivier Clément, Roger Maria, Lanza del Vasto, Max Olivier-Lacamp et Olivier Lacombe. Extraits lus de “Autobiographie ou mes expériences de vérité” de Gandhi, ainsi que des textes de Tolstoï et Romain Rolland. En 1973, dans le cadre des "Samedis de France Culture", Nadine Lefébure avait consacré une longue émission à Gandhi, 25 ans après son assassinat à New Delhi. Il y est question de son nationalisme, de sa non-violence, ou plutôt "non-nuisance", de la lutte des Indiens contre le nationalisme britannique et le poids de cet Empire britannique, maître des mers. Une puissance spirituelle qui le dépassait lui-même, et pourtant une très grande humilité. Sa pensée : un humanisme ouvert. Son combat : un échec partiel, puisqu'il aboutit à la partition de l'Inde. Une émission consacrée à Gandhi, ce symbole de la non-violence. Dès l'enfance, la quête de vérité. On ne peut comprendre Gandhi et son destin sans connaître les dominantes de son enfance - il insiste d'ailleurs lui-même sur cette période dans son "Autobiographie". Ce qui est surtout frappant dans le récit de cette enfance, c'est de constater que dès son plus jeune âge, c'est la recherche de la vérité qui anime Gandhi. L'Angleterre et l'Afrique du Sud : un militant en devenir. Gandhi décide à 19 ans de partir en Angleterre, contre l'avis du chef de sa caste, qui le condamne alors à être traité en paria jusqu'à la fin de ses jours. Il voulait finir ses études de droit, certes, mais surtout aller au centre de cet Empire prestigieux, découvrir quel était le secret de cette puissance. Il s'y rend compte que le dominateur n'est pas si terrible que ça : l'Anglais est un personnage plutôt sympathique, qui a ses timidités et ses craintes. Gandhi, qui ne s'intéresse pour l'instant pas du tout à la religion, s'imprègne alors du sens anglais de la loi, du rationalisme, et du thème de l'innocent injustement condamné - des figures comme celles de Socrate ou de Jésus étant centrales au sein de la culture occidentale européenne. Après l'Angleterre, Gandhi se rend en Afrique du Sud. C'est là qu'il devient véritablement un militant, lui qui s'engage pour sensibiliser les gens sur la situation des Indiens au Natal. Il s'embarque dans une véritable aventure politique, qui sera son école de préparation à la lutte mondiale qu'il mènera ensuite dans son propre pays. Marqué par le profond respect qu'il a des Anglais et de leur Empire, le nationalisme que développe Gandhi à cette époque n'est pas encore revendicatif de l'indépendance : il réclame seulement le respect de la dignité, des droits et des coutumes d'une population par un maître reconnu comme tel. Lutte pour l'indépendance de l'Inde. Gandhi poursuit sa propagande de militant en faveur des Indiens. Il se rend à Londres, et rencontre des anarchistes indiens notoires, dont la violence et le courage l'émerveillent et l'épouvantent tout à la fois. C'est à cette époque qu'il en vient à l'indépendance, notamment économique. Le grand tournant se situe en juillet 1914. Embarqué pour les Indes via Londres, Gandhi est accueilli dans son pays comme un héros national. Il appelle alors à la grève générale : on compte 125 000 grévistes à Bombay en 1919, et 200 grèves dans toute l'Inde en 1920. Les choses s'accélèrent : en octobre 1920 est adopté le principe de l'indépendance, ou self-government dans le cadre de l'Empire, ainsi que le principe de non-coopération. En janvier 1930, le rapport proclamant l'indépendance de l'Inde est présenté par Jawaharlal Nehru, président de la commission des résolutions. En mars de cette même année a lieu la fameuse marche contre la taxe de sel, qui a entraîné une prise de conscience prodigieuse et massive de la part des Indiens, puisque c'est un sujet qui les touche tous. La désobéissance civile prend fin en mars 1931, avec la signature du "Gandhi-Irwin Pact" à la suite de négociations avec le Parti travailliste anglais au pouvoir depuis 2 ans, et qui sympathisait avec la cause indienne. Pourtant, la partition de l'Inde après la Seconde guerre mondiale laisse à l'œuvre de Gandhi, qui sera assassiné le 30 janvier 1948, un goût d'inachevé. Mais Gandhi n'est pas mort désespéré, et n'a pas désespéré de sa mission. Il demeure un symbole, une réponse exceptionnelle à une structure nouvelle dans l'histoire de la violence.
Source : France Culture
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