AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur Le livre des lunes, tome 1 : 16 Lunes (161)

"Je ne t'ai jamais aimée autant qu'en cet instant. Et je ne t'aimerai jamais moins qu'en cet instant."
Commenter  J’apprécie          970
-"Trois hommes peuvent garder un secret si deux d'entre eux sont morts"
- Benjamin Franklin
Commenter  J’apprécie          460
Seize lunes, seize années,
Seize de tes pires peurs,
Seize songes de mes pleurs,
Tombent, tombent les années...
Commenter  J’apprécie          420
Il arrive un moment où l'on s'est enfoncé si loin dans la rivière des emmerdements qu'on n'a plus d'autre choix que de continuer à patauger en espérant réussir à gagner la berge opposée.
Commenter  J’apprécie          390
Je voulais que tu comprennes ce qu'est le vrai courage ...
C'est savoir que tu pars battu d'avance et, malgré ça, agir quand même et tenir jusqu'au bout.
Commenter  J’apprécie          360
Il n'y avait que deux types de citoyens dans notre ville. "Les bouchés et les bornés", selon l'affectueuse expression de mon père pour qualifier nos voisins. "Les trop bêtes pour partir et les condamnés à rester. Les autres finissent toujours par trouver une façon de s'en aller." La catégorie à laquelle lui-même appartenait avait beau être évidente, je n'avais jamais eu le courage de l'interroger à ce sujet.
Commenter  J’apprécie          350
ce qui est bien et ce qui est facile sont rarement la même chose.
Commenter  J’apprécie          340
Retenant un sourire, j'ai jeté un coup d'oeil en direction du parking tout en tirant mon panier suivant. J'ai aperçu de longs cheveux noirs derrière le volant d'une longue voiture noire.
Un corbillard.
Je me suis figé.
Elle a tourné la tête et, par la vitre ouverte, je l'ai distinguée qui me fixait des yeux. […]
Le mauvais présage n'était pas seulement un corbillard. C'était une fille.
Commenter  J’apprécie          330
Encore un baiser, encore une étreinte. L'embrasser était comme respirer. Vital. C'était plus fort que moi. J'ai pressé mon corps contre le sien. J'ai écouté le souffle de sa respiration, perçu la chamade de son coeur. Mon système nerveux s'est embrasé. Mes poils se sont hérissés. Sa chevelure a submergé mes mains, et elle s'est détendue. Le moindre effleurement de ses boucles déclenchait une décharge électrique. J'attendais ce moment depuis notre première rencontre, depuis le premier rêve.
C'était comme la foudre. Nous ne formions qu'un.
Commenter  J’apprécie          322
Les objets anciens sont mieux que les neufs parce qu'ils racontent des histoires.
Commenter  J’apprécie          291






    Lecteurs (8638) Voir plus




    {* *}