Etranger à cet univers des chevaux, j'ai lu
l'écuyer mirobolant avec envie d'y entrer, comme un monde particulier. Il y a dans ce livre les ingrédients des blessures d'un monde révolu. Les codes de la cavalerie, les valeurs du cavalier humble et du cheval naturel. Ce roman est beau et bien écrit, d'une langue douce et précise. J'ai pourtant eu du mal à me laisser entraîner aux côtés du capitaine Beudant dans les déserts du Maghreb. Comme s'il manquait quelque chose, cette énergie mystérieuse des chevaux de Delacroix.
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