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Paul Couturiau (Traducteur)Ian Fleming (Antécédent bibliographique)
EAN : 9782268015101
Les Editions du Rocher (13/05/1993)
1.75/5   2 notes
Résumé :
Qui aurait cru que le vieux Joël Penderek, ce paisible retraité du New Jersey rescapé des camps de la mort, n'était autre que le bourreau nazi, Josif Vorontsov, responsable du massacre de la population juive de Kiev ? C'est du moins ce que prétendent ses ravisseurs, membres d'une organisation terroriste russe nommée la Balance de la Justice, dans un étonnant communiqué adressé au Kremlin : de hauts dignitaires seront exécutés si le gouvernement n'organise pas le pro... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Informaticien, pilote de chasse et désormais cameraman : James Bond, aura, grâce à John Gardner, eu l'occasion d'essayer plusieurs métiers différents pour la bonne cause. Cette fois-ci il s'agit de réaliser une mission qui peine à convaincre. Après un démarrage sur les chapeaux de roue, L'homme de Barbarossa ne cesse de décevoir.

James Bond subit ici l'intrigue, se laisse porter. Il faudra attendre les derniers chapitres pour le voir jouer un rôle actif et tenter de renverser une situation de manière piètrement prévisible. Tout cela arrive de manière bien tardive, au terme d'un retournement de situation qui frise le ridicule. D'ailleurs la facilité semble ici être devenue la règle. le scénario est franchement nébuleux et pour être franc sans réel intérêt malgré un potentiel évident. Les raccourcis pris à de nombreuses reprises s'additionnent aux longueurs superfétatoires.

Deux créatures de rêve peuplent ce roman. Leur présence en fera sourire plus d'un, tant les personnages secondaires féminins sont ici relégués au simple rang de distraction, voir de diversion. Un titre devrait leur être accordé, car en arriver là, franchement… il fallait l'oser ! Les personnages secondaires attirent davantage l'attention. Les relations entre tout ce beau monde là tient une place importante, et franchement trop prépondérante.

Pour son dernier 007 traduit en français John Gardner nous a concocté une sorte d'Opération brise-glace bis bien peu inspirée. C'est un constat bien douloureux que de voir autant de promesses et de potentiel bâclés de la sorte.
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Mission n°31 :

« The Man from Barbarossa » débarque en 1991 de manière originale avec une intrigue trouvant ses origines durant la Seconde Guerre Mondiale. Des décennies plus tard, un groupuscule mystérieux exige le procès public d'un ancien collaborateur du régime nazi, coupable d'atrocités dans les camps de concentration.

Un point de départ étrange qui questionne sur l'implication de Bond et de son service. Mais il n'est pas le seul puisque qu'une collaboration plus ou moins étroite rassemble 007, le Mossad ainsi que les services français et russes.

Peu à peu le véritable mobile se dévoile sans jamais que l'on sache vers où nous mène l'auteur. Paradoxalement, si cela est vrai de l'intrigue globale, c'est tout le contraire en ce qui concerne les rebondissements qui font hausser les yeux au ciel.

Une intrigue enfumée qui rate son développement et se permet un redondant jeu de trahisons. Pour qui suit l'auteur dans la chronologie de ses Bond, on se lasse des personnages féminins objectalisés qui ne sont souvent présents que dans un but de double voire triple jeu et de faux semblants. Certes, c'est un roman d'espionnage mais nous ressortir la même typologie à chaque fois n'aide pas les fameux rebondissements qui se repèrent à des kilomètres.

D'ailleurs, c'est un roman d'espionnage et on s'exaspère face à un vieux de la vieille comme M qui se prend un mur en pleine face parce qu'il n'a même pas idée de vérifier et contre-vérifier une information par ses propres services, préférant une confiance aveugle dans les services russes, provisoirement alliés. Ça me rappelle, deux tomes plus tôt, un James Bond qui ne pense même pas à la possibilité d'être sur écoute. Je ne suis pas espion et pourtant c'était d'une évidence… C'est dire si le niveau baisse !

Il ne me reste que quatre romans de cet auteur avant de passer à l'ère de Raymond Benson. Dire que j'ai hâte d'avancer dans mon intégrale est un euphémisme.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Il n'est rien de tel qu'une dame ; rien de pire qu'une dame.
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