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3,92

sur 2002 notes
Un bon petit thriller. Addictif, la fin est cependant un peu tournificotée. Quelques invraisemblances, quelques questions qui restent sans réponse, mais on passe quand même un bon moment de lecture. Cependant, ce roman ne me laissera pas un souvenir inoubliable...
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Sandra Jones a 23 ans, une petite fille de 4 ans , Clarissa surnommée Ree.
Bien jeune et déjà mariée à Jason Jones, plus âgé qu'elle, Sandra est professeure dans un collège de Boston et son mari journaliste .
Ils ont tous deux des horaires qui s'adaptent à la vie de la petite fille pour ne pas devoir la confier à une personne étrangère.
De ce fait, ils ne se voient presque pas, ils se croisent la plupart du temps.
Un soir, Sandra est seule comme à l'habitude.
Après ses corrections, elle se couche et le lendemain matin, elle a disparu.
Sa petite fille est toujours là dans son lit.
D.D. Warren, jeune dame, commandante de police est chargée de l'enquête et va la mener avec beaucoup de persévérance.
Les soupçons se portent sur le mari, anormalement calme et maître de la situation.
Ensuite, un jeune voisin délinquant sexuel remis en liberté conditionnelle va être inquiété.
On va aussi interroger Ethan Hastings, un jeune élève.
Reviendra du passé et vers la fin le père de Sandra que l'auteure va nous amener à soupçonner.
On s'aperçoit que ce jeune couple, sous des apparences normales cachait de part et d'autre un passé douloureux et trouble ainsi qu'une vie de couple pas classique du tout.
Les chapitres écrits en italique appartiennent aux confidences que nous livrent Sandra sur son passé, sur son couple, sur ses doutes au sujet de Jason, son mari.
La petite Ree est mise en évidence comme témoin. Elle a retenu et entendu beaucoup d'éléments difficilement identifiables car elle est restée cachée dans sa chambre.
Le thriller est admirablement mené. La narration est vraiment agréable à lire jusque la fin. C'est un livre qu'on doit lire à fond car des faits nouveaux se produisent sans arrêt.
Pas question de bâcler la fin : un rebondissement inattendu nous attend.
Un écrit surprenant et haletant !

Challenge pavés 2017 contre l'illettrisme.

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Et hop, on rembobine et on remonte le temps.

Le mois dernier, je vous parlais de Sauver sa peau, premier roman de Lisa Gardner mettant en scène D.D. Warren, commandant de la police municipale de Boston, qu'on pourra suivre pendant 12 tomes. J'avais déjà lu ce livre, les souvenirs me revenant au fur et à mesure de ma lecture. Il ne m'avait pas vraiment marquée, notamment le dernier tiers qui fut une grosse déception au demeurant.

J'avais également déjà lu les deux ou trois tomes suivants, lesquels ne m'étaient pas non plus restés en mémoire.
Je me suis donc saisie du second volume, La maison d'à côté, en espérant que sa relecture me décevrait moins que celle du premier, et j'ai bien fait, car je l'ai davantage apprécié.

L'histoire démarre par un coup de fil que reçoit DD Warren, émanant de son co-équipier Miller: lequel appel dérange un peu D.D., plongée dans ses grandes préoccupations habituelles, à savoir le sexe et la bouffe à volonté.

Il s'avère qu'une jeune femme; Sandra, a disparu de son domicile en pleine nuit.

Sandra est entourée d'un charmant mari (nous avons des détails sur le physique de Jason. C'est le docteur Mamour tout craché. Mais si, vous savez, Derek dans Grey's Anatomy) et d'une adorable petite fille de 4 ans plutôt précoce, qu'on appelle Ree.

Nos détectives arrivent sur les lieux pour trouver un Jason très indifférent aux événements, attitude qu'il adopte en toutes circonstances : visage hermétique et regard éteint, et la petite Ree blottie dans les bras de son papa.

Tout au long du roman, nous allons suivre les actes et pensées de ces personnages, au cours de l'enquête visant à déterminer ce qui a bien pu arriver à Sandra et à la retrouver.

Notre DD Warren a mis un peu d'eau dans son vin et je l'ai trouvée bien plus humaine que dans le premier volume. Elle a notamment arrêté d'aboyer ses ordres et de se montrer particulièrement désagréable.
Elle ne s'est néanmoins pas mise à miauler pour autant, mais pour remédier à cette lacune, l'auteure a ajouté un chat, personnage à part entière.

L'histoire nous est relatée par un narrateur externe, hormis plusieurs passages qui entrecoupent le récit.
En effet, sur plusieurs chapitres, Sandra elle-même intervient pour nous raconter son passé ainsi que celui de sa famille, et ce qui s'est produit dans sa vie les semaines précédant sa disparition.

Un autre protagoniste, Aidan, met aussi son grain de sel. Il faut dire qu'il n'habite pas loin, d'où le titre du roman... mais je ne vous en dis pas plus à son sujet.

J'ai bien aimé ce roman. L'écriture est agréable, la construction est nickel, les chapitres habilement mêlés nous gardent sur le qui-vive. Même en l'ayant déjà lu, je n'ai rien vu venir, ou du moins rien ne m'est revenu, et la chute est nettement moins parachutée et précipitée que dans le premier tome.

Bien entendu, il y a un petit bémol, certains passages m'ont semblé un peu longuets, à force de moult détails insignifiants. Mais bon, ça se lit quand même facilement et je ne tarderai pas à m'attaquer au suivant.
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Les romans de Lisa Gardner sont, pour moi, comme une bonne pizza avec un bon rosé , un tiramisu et "café négro" ( non, FX1, ceci n'a aucune connotation raciste).
Un bon moment tout simplement. Ce n'est pas de la grande littérature, elle ne vous remue pas les tripes, juste le plaisir de thrillers bien construits.
Son héroïne récurrente, le commandant DD Warren, belle blonde trentenaire, ( ce qui pour moi n'est pas un handicap) a toujours deux soucis majeurs: manger et faire l'amour.

Mais la disparition subite d'une jeune mère de famille va l'obliger à prolonger ses régimes d'autant plus que la possibilité d'un meurtre s'avère de plus en plus plausible et les suspects forts nombreux.
D'abord le mari, journaliste taciturne, peu coopérant et mentant aussi bien que sarkozy ou holland ( rayez la mention inutile si vous en trouvez une).
Puis le voisin de la maison d'à coté ( d'où le titre, vous suivez?): délinquant sexuel en liberté conditionnelle.
Un élève du collège où la disparue enseignait a l'air aussi d'avoir beaucoup de choses à cacher.
Enfin, il y a le papa , juge, qui déboule de son sud natal , pas très net non plus.

On ne s'ennuie pas une seconde, on se doute assez vite que un des protagonistes cités ci-dessus est coupable mais la fin est vraiment imprévisible!

Un bon thriller qui n'aura pas le prix nobel mais qui comblera bien des affamés de bon polar.

Bien entendu, ceci n'est que mon humble avis.

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Tout ça pour ça ? L'histoire démarre à fond, avec plein de non-dits, de secrets, de comportements étranges puis une disparition !

Pendant 3 jours on va suivre les pensées du mari, du voisin délinquant sexuel, de DD Warren qui, elle, voudrait bien du sexe. Petit à petit des choses se dévoilent au lecteur mais sans pouvoir dire de quoi il est question ; la tension monte, d'autres potentiels coupables se dévoilent.

C'est captivant même si j'ai trouvé un peu long par moment et tout à coup... flop ! Ou splash si vous préférez mais c'est une fin absolument pas à la hauteur de ce que pouvaient promettre ces quelques centaines de pages !

J'avais déjà lu un livre avec DD Warren il y a quelques années et j'en avais un meilleur souvenir !

Challenge PLUME FEMININE 2021
Challenge MAUVAIS GENRE 2021
Challenge PAVES 2021
Challenge ATOUT PRIX 2021
Pioche POLAR mars 2021
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« La maison d'à côté » de Lisa Gardner est un thriller psychologique prenant, bien écrit, dans un style fluide et agréable, rythmé et qui ferait un bon scénario.

Sandra Jones a disparu. Principal suspect ? Son époux Jason Jones. Principal témoin ? Leur fille de quatre ans, Ree Jones.
En scène, un voisin délinquant sexuel, le passé de la famille Jones, une inspectrice têtue un ado amoureux et Internet.

Le début est laborieux mais ensuite le récit trouve son rythme. La
narration alterne la victime, l'inspectrice et les suspects, une technique qui maintient le suspense. L'envie de savoir ce qui est arrivé à cette jeune maman nous fait tourner les pages : on vibre, on compatit. On vit l'angoisse de Jason et sa fille, les tourments de Sandra et le questionnement de D.D. Warren, flic à Boston. L'auteur nous ballade tout le long du roman, avec indices et rebondissements distillés intelligemment, en nous laissant soupçonner tel ou tel personnage, soupçons démolis l'instant d'après par d'autres suppositions.

J'ai regretté le dénouement qui, sans être vraiment décevant, est livré de manière brutale, il aurait mérité un peu plus d'épaisseur. Des sujets délicats sont abordés, avec originalité, comme l'évolution des enfants maltraités, le fichage des délinquants sexuels, les sombres secrets de famille.

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Louche cette affaire ! Disparue, enlevée, Sandra est absente quand Jason rentre de son boulot, la nuit, il est journaliste. La petite Ree dort dans sa chambre, le chat, M. Smith, sur le lit, à ses pieds.
Le mari a pris son temps pour prévenir les flics. Cela en fait-il un suspect ? Faut voir !
Drôle de bonhomme le mari, pas accablé, absent, les yeux autre part, dans les nuages, la petite endormie dans ses bras. Pas de doute il sait plus qu'il ne veut en dire pense D.D. Warren, commandant de police judiciaire à Boston, chargée de l'enquête.
Faut fouiller et on fouille, poubelles, ordinateur, I.Pod, console de jeu, etc. enfin tout ce qui a une puce et dans lequel on peut cacher des données, on en a vu d'autres, on maîtrise. Pas tant que ça, en fait. Oh, certes on découvre quelques trucs, Sandra est enceinte, elle avait, peut-être une liaison, avec un mineur, avec un flic ?
Non, m'dame, je ne sais pas, dit le mari.
Cela ne nous avance pas tout ça. Heureusement le voisin a des choses à dire, c'est certain, ancien tôlard emprisonné pour viol sur mineure, c'est sûr, on le tient ! Coupable ? Hmmm !
Le grand-père qui débarque en force : j'veux voir ma petite fille ! Non dit Jason. Non ? Non ! On verra !
Et il obtient, papy, un droit de visite au grand dam du père abattu, mort de fatigue, déboussolé, protégeant sa fille de tout ce brouhaha, ce remue-ménage, ces journalistes, ces flics et, en plus, la petite qui réclame sa mère, jusqu'à vouloir participer à une battue. On craquerait pour moins, s'pas ?
Il y a quelque chose qui ne va pas. On accumule les mensonges, les uns après les autres, qui dit la vérité, qui ment ? le temps passe, c'est sûr la mère est morte, trop d'incertitude, de doutes ; pas de corps, pas de demande de rançon, la mer si proche, alors ?
Eurêka, l'ordi du Monsieur, à poil l'ordi ! Dont acte...
Dans cette plongée au coeur d'une famille sans histoire, avec autant d'éclaboussures qu'un éléphant sautant dans une piscine, car elle en laisse des traces la D.D., indélébiles pour certains, elle bouscule, rouleau compresseur, pas le temps de tergiverser, oh que non, le temps c'est de la vie, fissa, jamais elle se pose, elle bouge et veut comprendre, tempête dans un crâne, y arrivera, y arrivera pas, Gardner nous sort une écriture à trois voix.
Une petite en italique pour la maman. On part de loin et on ira au bout.
Une autre à la première personne du singulier, celle d'un homme aux abois, un type vivant mais mort depuis un bout de temps dans sa tête et qui s'accroche à l'air qu'il respire, pour qui, pour quoi, à quoi bon. Impuissant devant ce qu'il est devenu et devant ce qu'il représente aux yeux des autres.
La dernière, celle de l'intrigue, de l'histoire, des flics, des journaleux, du père, Jason, du grand-père, Max, à la troisième personne. Là on voit, on est informé, on sait, on suit et on essaie de comprendre, de deviner, pour autant que l'on puisse car elle ne fait pas dans le simple la D.D., torturée qu'elle est par ses rêves de bouffe et son absence de sexe, bref la brasse coulée.
Chaque voix, chapitre après chapitre suit son chemin et de trois lignes parfaitement parallèles au début du bouquin, elles commencent à se rejoindre au fil de l'avancée dans l'histoire pour terminer en une seule et même ligne où le dénouement, la vérité, la vraie nous est révélée à la dernière page.
Cette intelligence d'écriture n'est certes pas une première, elle a, cependant, ici, le mérite de donner une intensité supplémentaire à l'intrigue, une dimension surprenante dans la découverte des destins et du passé des personnages. Ce stratagème ajoute du suspense au suspense généré par le récit lui-même. le lecteur acquiert, avec l'avancée de sa lecture, une crainte quant-à ce qu'il lit, ne sachant si on ne le trimballe pas, comme un bateau dans une tempête, d'un côté et de l'autre de la vérité.
Tu acceptes le récit à la troisième personne, l'italique te le percute pleine tête, tu sais plus, plus du tout et c'est fichtrement malin et bien joué de la part de Gardner !
Livre plein de rebondissements et d'incertitudes, obligeant le lecteur à faire travailler ses méninges, ce que je n'aime pas, suis pas flic moi, au dénouement dit et accepté, avalé et digéré par D.D et autrement révélé. Bel ouvrage, belle écriture simple, ronde, lisse, efficace, du dialogue policé (dommage quelquefois, un peu de muscle aurait pas été mal) et riche, beau travail de recherche, bref que demande le peuple ?
Qu'est-ce qu'on dit ? Merci Lisa.
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une nouvelle histoire pour cette semaine: un thriller!
J'avais oublié depuis le temps que j'adorais littéralement ce genre ! j'ai passé une très bonne semaine accompagné par ce livre que je trouve très bon. Je suis vite rentrée dans l'histoire haletante de cette disparition, à la vivre au jour le jour avec D.D.
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Sandra Jones, une jeune maîtresse d'école et mère modèle disparaît au beau milieu de la nuit de sa maison d'une banlieue résidentielle de Boston.
Seul témoin : sa fille de quatre ans.
Principal suspect : son mari, Jason Jones, qui refuse de répondre aux questions de la police et s'enferme dans une indifférence des plus suspectes.
Et lorsque D.D. Warren, commandant chargé de l'enquête, pénètre dans la maison, elle sent tout de suite que quelque chose ne va pas.
Tout y est trop juste : propre comme il faut, négligé comme il faut.
Et surtout, les fenêtres sont munies de barreaux et les portes de verrous, cette maison est aussi protégée qu'un fort de haute sécurité.

Avec cette histoire à suspense, Lisa Gardner possédait tous les ingrédients pour une recette à succès.
Pourtant, la sauce n'a pas totalement prise.
Est-ce parce que j'ai lu un certain nombre de livres dits de suspense que je ne suis plus surprise par certaines ficelles ?
Je me doutais depuis le début de la fin du livre, de ce qu'il était advenu de Sandra Jones.
D'ailleurs l'auteur ne s'en cachait pas tellement puisqu'elle livrait régulièrement des chapitres en italique écrits du point de vue de Sandra.
Au même titre que j'avais bien envisagé les relations entre Sandra et son père.
Heureusement, j'ai eu quelques surprises tout de même au cours de ma lecture, ce qui a su maintenir un intérêt pour ce livre.
Du point de vue de l'histoire, il n'y a rien à redire.
Lisa Gardner plante un décor et un suspense qui ne se relâchent pas tout au fil de l'histoire.
En utilisant le principe d'une narration à trois voix, elle a donné de la fluidité à son récit et a su garder l'attention du lecteur.
L'utilisation qu'elle a fait d'internet et du monde de l'informatique l'est de façon simple, compréhensible par tous et non rébarbative.
Elle a ancré son histoire dans la thématique des apparences, qui sont souvent trompeuses et peuvent cacher un passé lourd que les personnes cherchent à oublier. C'est un thème intéressant et bien traité à travers ce récit.
L'autre atout de son livre, ce sont ses personnages, plus particulièrement le commandant D.D. Warren.
Elle se révèle très attachante, avec ses frustrations, et surtout plutôt maligne et accrocheuse, ce qui donne du piment à l'histoire, et puis elle est surprenante, ce qui est rafraîchissant.

Hormis quelques ficelles faciles à deviner, je reprocherai à ce livre une mauvaise traduction par moment.
Certains passages sont difficiles à comprendre car écrits en mauvais français, j'en ai donc déduit qu'ils avaient été mal traduits.
Ou alors cela est lié à l'édition (France Loisirs) dans laquelle j'ai lu ce livre, mais j'ai été déroutée par cet aspect.
Je suis toujours étonnée de voir de grosses fautes d'orthographe, ou des phrases maladroites, cela aurait tendance à confirmer que les livres ne sont même pas relus avant impression.

"La maison d'à côté" de Lisa Gardner est un bon livre de suspense, malgré quelques ficelles facilement devinables par les amateurs du genre, avec une intrigue à rebondissements bien menée du début à la fin du livre.
J'ai pris du plaisir à le lire et une fois commencé il est difficile de s'arrêter, d'autant que le style fluide de l'auteur rend la lecture facile.
Avec ce livre je découvrais également Lisa Gardner, je lirai d'autres livres de cette auteur qui maîtrise plutôt bien son sujet et crée des histoires prenantes.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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J'ai été déçue par " le saut de l'ange" mais cette "maison d'à côté" m'a réconcilié avec Lisa Gardner.
Un excellent page turner, des personnages mystérieux, je retrouve aussi avec plaisir ma pote le commandant DD Warren. Un très bon roman que j'ai adoré.
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