Touchant ! Surprenant par son écriture simpliste, et répétitive (sachant qu'Emil Ajar était quelqu'un d'érudit.) Par la répétition, il nous transmet cette angoisse de l'âge de la vieillesse, de tomber dans l'oubli absolu. Pour cela, le roi Salomon garde les cartes postales de gens qui sont tombés dans l'oubli. C'est un livre curieux, plein de tendresse pour tout le monde (même pour le concierge qui est un roi des cons.)
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