Pour être honnête ce n'est pas mon roman préféré. La religion et la morale (qui inspirent cette femme de pasteur) sont presque un peu trop pesantes contrairement à ses autres romans. En même temps, le sujet s'y prête. Quelle voie de secours pour une femme "déchue" (bref qui a eu une aventure et un enfant hors mariage) dans cette société victorienne pleine de préjugés...?
Ruth trouvera son salut à travers sa foi et son dévouement à son fils et aux plus démunis.
Ruth, par son jeune âge et sa "faute", rappelle Tess (l'héroine de Hardy) mais la comparaison s'arrête là. E.
Gaskell croit à la rédemption mais pas Th. Hardy.
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