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Il est le dernier-né d'une race en voie d'extinction. Mais des siens, il n'a hérité que son appétit vorace et ses instincts féroces. Sa taille quant à elle, est plus proche de celle des hommes que de celle des ogres, d'où son nom : Petit.


Caché par sa mère pour lui éviter la mort et élevé par sa tante, une vieille ogresse philanthrope, Petit est l'héritier d'un peuple dégénéré et affaibli par la consanguinité, un peuple qui, de génération en génération, devient plus petit et plus bête mais dont la cruauté, elle, n'a pas de limites. Sa mère voit en lui l'ultime chance de survie de son espèce. Comme le fondateur, qui a su restaurer la gloire des ogres au moment où ils risquaient de disparaître, Petit a la responsabilité d'engendrer une nouvelle race, plus puissante et plus forte. Mais son éducation humaniste a fait naître en lui une tolérance et une sensibilité pour les humains qui sont en contradiction avec sa mission… Petit trouvera-t-il sa place entre une famille qui l'a rejeté parce qu'il était différent et un monde auquel il n'appartient pas vraiment ?


Quelle merveille !!! Attirée par la couverture brillante, en noir et blanc avec son titre doré, je ne savais pas du tout à quoi m'attendre en ouvrant « Petit », le premier tome des « Ogres-Dieux ». Tout de suite, j'ai été séduite par la rondeur du dessin, ses lignes harmonieuses et délicates. Un trait soigné et agréable, dont la beauté s'accorde tout à fait à l'histoire, imaginée par Hubert et qui nous plonge dans un univers que j'adore : le conte.


A travers les aventures (et mésaventures !) de Petit, l'auteur nous plonge dans l'Histoire des ogres, brossant le portrait sur cinq générations d'une race toute puissante mais qui, à force de mariages consanguins, a perdu peu à peu sa noblesse et sa force. L'histoire est entrecoupée de pages de texte, dans lesquelles on découvre les ancêtres de Petit et le rôle qu'ils ont joué dans leur famille. Des parenthèses passionnantes, qui permettent de développer le conte davantage, sans nuire au rythme du récit.


On découvre ainsi les moeurs d'un peuple terrible et fascinant, aux origines à moitié humaines .Une race qui s'est enrichie de cette mixité avec les hommes, avant de s'enfermer sur elle-même. On apprend comment les ogres se sont élevés au rang de dieux, comment ils se sont mis à manger de la chair humaine et comment leur cruauté et leur folie s'est développée en même temps que leur taille, quelques exceptions au sein de la famille faisant office d'excentriques…


Les personnages quant à eux sont hauts en couleurs, tantôt attachants par leur courage, tantôt effrayants par leur cruauté. Une histoire fascinante, qui mêle savamment amour, drame et violence. Bravo à Bertrand Gatignol pour ses dessins de toute beauté reliés avec soin dans un magnifique livre-objet. Bref « Les Ogres-Dieux » est une bande-dessinée superbe et originale à côté de laquelle il serait vraiment dommage de passer ! Vivement la suite !!!


Un grand merci à Babelio et aux éditions Soleil pour cette découverte !



Challenge Variétés : Une bande-dessinée
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Cette fois-ci je vais commencer par parler du livre, de l'objet en lui même. Ce "détail" qui fait qu'on prend un livre et qu'on le feuillette. Ce "petit" détail qui attire l'oeil.
Magnifique BD de la collection métamorphoses. Couverture cartonnée, mat, douce au toucher (oui oui faut caresser les livres ^^). Toute vêtue de noir et or elle en jette ça c'est sur. Et puis elle pèse son poids, on sent qu'on va en avoir pour notre argent. Un esprit gothique évident, se melant à celui des contes.
Découpage en quelques chapitres, commençant par une page de titre presque enluminé et s'ouvrant sur le récit d'un des ancêtres des ogres-dieux.
Le dessin en noir et blanc, au fond souvent noir au lignes blanches donnant la dimension gothique à un décor qui l'est déjà, est clair simple épuré. En un mot efficace.

Après tant de compliments sur la forme parlons un peu du fond.
Une réussite également.
C'est donc l'histoire des Ogres. Grands, à la hauteur de leur cruauté et de leur domination sur les hommes. Malheureusement pour eux, issu d'une même lignée, ils en ont été réduit à se reproduire entre eux. Et qui dit mariage entre frère soeur cousin cousine dit tares génétiques. Non seulement plus les générations passent plus la taille diminue, mais l'intelligence semble également se réduire comme peau de chagrin... tss la consanguinité n'est pas une belle affaire...
C'est alors que va naitre Petit. Presque de la même taille qu'un homme! Ridicule! Aussitot rejeté par sa famille qui ne pensait qu'à en faire un amuse-bouche pour l'apéro il ne doit sa survie qu'à la fibre maternelle... Ou plutot au fait que celle-ci voit en lui l'avenir de sa famille d'ogre dégénéré. Ben oui qui dit taille humaine dit reproduction possible avec femelle humaine... brassage génétique... sang neuf tout ça...

C'est une belle découverte. J'ai aimé découvrir cet univers gothique, voir Petit devenir grand, connaitre cette famille de son fondateur à son dernier représentant. J'ai aimé cette ambiance de conte qui m'a fait penser à mes lectures de Perrault (étant moi petite mais déjà une ogresse en lecture) tout en me proposant quelque chose de nouveau, de neuf. Et de beau!
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Lorsque je trainais dans les rayons d'une de mes bibliothèques habituelles et que je suis tombée sur ce livre, deux mots du synopsis ont pesé pour son emprunt immédiat : "gothique" et "déterminisme familial". Puis, quand j'ai commencé à feuilleter les pages : les dessins en noir et blanc et la mise en page dorée/NB ont achevé de me convaincre!

Petit est l'histoire d'un jeune garçon, rejeté à la naissance par les siens, des ogres avides de chair humaine, à cause de sa petite taille qui l'apparentait trop aux êtres humains. Sa mère, la Reine Emione, le sauve in extremis de l'appétit de ses stupides frères gloutons et de la colère de son mari, le Roi Gabaal. Elle confie alors Petit à sa tante Desdée, une ogresse géante philanthrope, qui l'élève loin des regards.

Ce qui fait l'originalité de l'ouvrage Petit, c'est l'alternance entre les parties en bande dessinée qui nous plonge au coeur de l'histoire et les parties contées avec du texte et une mise en forme très soignée. Cette dernière relate ainsi les biographies des membres les plus éminents de la famille dégénérescente des ogres-dieux. Tout en s'insérant parfaitement dans la bande dessinée, cette partie contée a aussi pour avantage d'éclairer les zones d'ombre sur l'origine de la famille des ogres ou de compléter les connaissances sur les personnages déjà existants ou la trame du récit. le tout donne un ouvrage harmonieux et dynamique.

Néanmoins, Petit est aussi un conte pour adulte car il comporte son lot de scènes violente, âpre et cruelle (il s'agit tout de même d'ogres élevants des humains pour les manger!). Il convient donc de ne pas laisser cet ouvrage à la portée des âmes les plus sensibles. Pour ma part, cela ne m'a pas vraiment dérangé car j'avais le sentiment de sortir des sentiers battus du "politiquement correct" et j'ai tout simplement adoré!

J'ai vu qu'un second tome Demi-sang était également sorti au mois de juin 2016 sur un des personnages présents dans le tome 1, Yuri. Je trouve qu'il s'agit d'une bonne idée car j'avais envie d'en savoir plus sur ce personnage si controversé et j'avais le sentiment d'être un peu restée sur ma faim.
Lien : https://labibliothequedaelin..
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Tout d'abord un grand merci à Babelio et aux éditions Soleil pour ce livre magnifique.
Je ne m'attendais pas à cela, j'avoue. Je n'avais coché que deux livres, dont celui-ci, "récit gothique" dans le résumé m'ayant bien accrochée... Je m'attendais à une bande dessinée classique, alors quelle surprise en ouvrant le paquet ! Rien que la couverture est superbe, noire et or, un vrai beau livre de collection. Et le poids... 152 pages, c'est pas rien.

Ici on est entre récit et bande dessinée, une sorte de roman graphique. Les portraits des différents "rois" sont sous forme de longs textes, très intéressants. L'histoire du conte, qui concerne Petit, dernier né de cette longue généalogie, est sous forme de bande dessinée en noir et blanc, avec des dessins d'une sobriété très classe, mais qui exacerbent le côté glauque de l'histoire.
Ne cherchez ni romantisme ni "tout est bien qui finit bien" ici, vous ne trouverez pas. D'ailleurs ce conte ne s'adresse absolument pas aux enfants, si ce n'est les "grands", ou les vieux, comme moi ! ;-)

C'est vraiment sombre, les ogres sont de vrais ogres, monstrueux, limite dégénérés à la génération précédant Petit. Il nait "petit". Menacé d'être bouffé tout cru par son paternel, sa mère le sauve in extremis et le confie à Tatie Desdée, qui va tenter de lui inculquer un peu de "savoir-vivre" et de respect de la vie.
En grandissant, Petit va se retrouver tiraillé entre son éducation et sa "nature", hésitant d'un côté et de l'autre. Conte philosophique à la morale ambigue, je dois dire que j'ai vraiment beaucoup aimé l'ensemble, équilibré dans la composition, frappant dans le dessin, résolument moderne à tous les niveaux.

C'est un coup de coeur particulier pour une oeuvre particulière, que je n'aurais sans doute jamais achetée de moi-même, mais dont, maintenant, je vais guetter la suite, même si ce livre est clairement un "one-shot" qui peut se lire seul et tel que.
Un superbe cadeau à faire et à se faire !
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Les ogres dieux sont des géants terribles, qui possèdent un royaume où les humains sont à leur service. Les ennemis capturés se reproduisent dans une feme spéciale pour leur fournir de la chair humaine à se mettre sous la dent, mais quand ces géants sont de mauvaise humeur, ennemi ou pas, n'importe qui peut se faire gober. C'est un monde extraordinaire inspiré des contes anciens, avec leur cruauté, les héros pas tout blanc, un monde d'ambition, de laideur et de beauté, de lâcheté et de bravoure. le rapport au conte classique est maîtrisé avec talent, force et ambition. Il y a en parallèle, l'histoire de “Petit”, un géant à peine plus grand que les humains, racontée en BD, et la saga familiale des géants, racontée en prose, ponctuant chaque chapitre d'un intermède historique, avec un style de narration à la manière de Perrault ou Grimm. le graphisme et assez particulier, les trait sont très fins et réguliers, tout est en noir et blanc avec des tons de gris limités, en aplats, (en général une ou deux valeur de gris plus le noir et blanc). Les décors sont plein de détails d'ornementation, donnant à cet univers un aspect grandiose et glacial. L'histoire est assez effroyable, tragique, romantique, et je dirait même wagnérienne. C'est une BD vraiment impressionnante, l'univers fantastique et effrayant du conte, à l'opposé de Disney.
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Attention, conte enchanteur et objet magique envoûtant.
Ouvrir cet album est comme ouvrir un vieux coffret de chêne sombre et patiné par les années qui seules savent donner au vieux bois ce touché soyeux et glacé inimitable capable dans le même temps de piéger et de réfléchir la lumière…
Ainsi, le plat de couverture est fabuleux. En somptueuses lettres d'or, le titre apparaît avec un T central aux allures de coutelas d'ogre et il surplombe un dessin précis et mystérieux comme ciselé par des orfèvres. Cela tombe à pic car d'ogres il est question ici.
La deuxième et la troisième de couverture qui ne sont pas oubliées sont agrémentées d'un contreplat luxueux aussi doux qu'une mousseline de Mossoul et beau comme un damasquin aux motifs tissés venant de Perse ou de Damas… Vous aurez compris que j'adore ce livre !
Mais un livre n'est rien sans le conte qui l'anime. Et les éditions Soleil dans leur collection Métamorphose ont permis à Hubert (scénario) et Bertrand Gatignol (mise en scène et dessins) de donner naissance à une oeuvre majeure.
Une dynastie d'ogres puissants règne sur une vaste contrée. Ils se repaissent de puissance, de terreur, de viande humaine et de sexe et asservissent quelques humains pour les servir, et d'autres pour s'en nourrir.
Mais il y a la grande Desdée qui par amour de la danse se perdit et déshonora sa famille. le Fondateur qui, bien que semblable aux humains, engendra la race des géants. Il y eu Emione qui, épouse et reine, se sentit destinée à sauver sa famille de son funeste destin et le Roi-Dieu, le plus grand des géants, qui se voulut plus grand encore et immortel jusqu'à devenir l'égal des dieux.
Il y eu aussi Coor, l'explorateur, le seul de sa famille à avoir parcouru le vaste monde au point d'atteindre la connaissance, presque la sagesse, et enfin Eliabaal qui fut surnommé le Roi-Philanthrope parce qu'il prônait la tolérance et en perdit le trône car chez ces gens-là, on n'aime bien les humains que pour s'en repaître.
Et il y eu Petit. Petit, parce qu'il était petit…
Voici enfin un conte cruel, immoral et beau comme je les aime.
Et ce n'est que le tome 1 !
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Au royaume des ogres, la consanguinité affaiblit la race à chaque nouvelle génération. A tel point que le dernier rejeton du roi est à la naissance à peine plus grand qu'un bébé humain. Hors de question pour le monarque de laisser en vie un pareil avorton. Pour lui éviter une mort certaine, sa mère le cache et il est élevé par sa tante Desdée, une géante mis au ban de sa communauté car elle refuse de manger de la chair humaine. L'enfant prénommé à juste titre « Petit » grandit loin de la folie et de la violence de la cour mais plus les années passent et plus il lui est difficile de rester dans la clandestinité…

Un album SOMPTUEUX ! L'objet-livre en lui-même est superbe, de très grande taille (logique vu son sujet), et la mise en page particulièrement soignée avec une narration alternant les séquences de BD et des intermèdes présentant, au fil de longs et beaux textes à la typographie travaillée, les aïeux de Petit. Graphiquement, Gatignol propose une incroyable galerie de personnages, jouant sur les effets d'échelle et de perspective pour souligner les différences entre les géants et les humains. Il rend à merveille l'immensité du château et la terreur provoquée par ces monstres semblant perpétuellement en quête de chair fraîche à se mettre sous la dent. Les tons de gris renforcent l'aspect sombre et angoissant du récit et offrent relief et texture à l'ensemble. du grand art !

Loin du simple conte, cette histoire aux accents gothiques propose une réflexion profonde sur le déterminisme familial et le libre arbitre. Petit est celui qui peut sauver les siens d'une dégénérescence inéluctable, il est entre deux mondes régis par des rapports de force inégaux et ne sait plus vraiment auquel de ces mondes il souhaite appartenir (celui des ogres sclérosé par des siècles de repli sur soi ou celui des humains, bien plus moderne et culturellement avancé mais pas pour autant moins cruel). Une histoire fascinante à la construction imparable. Il est rare de trouver autant de finesse, d'intelligence et d'originalité sur un thème aussi éculé.

Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Once upon a time, au pays des ogres…

Cette bande dessinée m'avait intriguée, j'aurais aimé en savoir plus et c'est donc pour cela que je l'ai acquise.

Premières impressions ? Les dessins sont superbes, ils me plaisent, les tons en noir et blanc aussi. Allez, vendu et hop, directement à la lecture.

Le récit n'est pas fait pour les petits enfants : nous sommes au pays des ogres, ils vivent dans un château et sont cannibales. Donc, en tant qu'être humain, faites gaffe à vos miches, vous pourriez bien finir dans leur assiette, ou en amuse-gueule, comme nous grignoterions une carotte devant la télé. Sauf que la carotte, elle n'est pas vivante !

Dans cette famille de géant, au fur et à mesure du temps qui passe, les géants naissent de moins en moins grands, la consanguinité les rend aussi un peu tarés et la seule à ne pas être cannibale est l'ancêtre, Desdée, celle qui va prendre Petit sous son aile et le laisser grandir dans un environnement plus sécurisé, son père voulant le bouffer pour cause de petite taille.

Oui, chez eux, la taille est importante !

Cette bédé nous plonge dans un monde cruel, gore, horrible, gothique, un monde où la loi du plus fort est toujours la meilleure et où il faut manger pour ne pas être mangé.

Dans cette bédé, les dessins, les expressions, sont tout aussi importantes que les textes et je me suis régalée, me demandant où tout cela allait nous mener et surtout, quel rôle Petit allait pouvoir jouer, lui qui est tout de même plus grand que les humains, plus petit que le plus petit des ogres, qui ne mange pas d'humains, mais qui refuse de se reproduire.

Ce conte de fée est violent, sans concession, comme l'étaient à l'origine les contes de fées (oublions les mièvreries faites par Disney), il met en scène un enfant qui va devoir grandir dans le secret et ensuite, trouver sa voie, sauf qu'il ne veut pas de celle qu'on lui trace et qu'il va devoir trouver sa propre voie et surtout, se défaire de ses frères dégénérés qui veulent le bouffer (et son père aussi).

Un conte de fées cruel, mais excellent ! Il me tarde de pouvoir lire la suite.

PS : l'ouvrage est plus grand qu'une bédé ordinaire et ce premier tome fait 174 pages… Oui, c'est lourd à tenir dans ses mains !

Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Tout commence avec la naissance de Petit, issu d'une famille d'ogres gigantesques autoproclamés dieux. Sa petite taille le rendant ridicule et faible aux yeux des autres ogres qui ne veulent en faire qu'une bouchée, sa mère le sauve in-extremis et le cache aux yeux de tous afin de l'élever dans le secret, car elle voit en lui le sauveur de leur race qui dégénère un peu plus à chaque nouvelle génération.

Attirée par cette couverture sombre dominée par une personnage impressionnant, voire effrayant, j'ai tout de suite adhéré au style du dessinateur. Les dessins sont beaux, les grands applats sombres frappent le regard à chaque page et renforcent l'impression de gigantisme et de mégalomanie de cette race d'ogres. L'histoire, intriguante, s'avère vite passionnante car tout pique la curiosité.

Les pages de BD sont parfois entrecoupées de pages de texte biographique contant l'histoire et le destin de quelques personnages-clé, et qui nous permettent de mieux comprendre comment d'un monde d'Hommes nous sommes passés à une société dominée par ces brutes dégénérées élevées au rang de dieux, et qui ne pensent qu'à se goinfrer de chair humaine.

Je continue cette série avec plaisir en espérant que la même qualité graphique et narrative soit au rendez-vous.


Challenge multi-défis 2019
Challenge BD 2019
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Dans la même journée, j'enchaîne sur un autre Hubert.. après Peau d'homme, me voici ainsi mangeant avec voracité ce Petit d'une autre collaboration. Petit ? Pas par sa taille ni son épaisseur et encore moins, son impact.

Pouah, c'est quand même une sacrée claque que j'ai pris avec cet énorme volume. de l'imagination sans limite combinée à un art noir et blanc si pointu et sombre ! Vraiment génial et je ne regrette pas du tout d'avoir emprunté le second tome que je vais m'empresser de lire. Alternant entre la bande dessinée et le texte, on découvre les aïeux des Ogres-Dieux et l'histoire de Petit, cet enfant d'Ogre inattendu et extraordinaire.
Je m'arrête là, je vais lire la suite :D
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