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Androïdes tome 4 sur 12
EAN : 9782302057791
56 pages
Soleil (11/01/2017)
3.7/5   51 notes
Résumé :
Los Angeles - 2037. Mon nom est Kielko, je suis l'androïde domestique des Morgan, une famille épanouie et codifiée ""Important personality"". Je suis à leur service depuis plus d'un an. Les mots émotion et sentiment n'ont de valeur que pour vous, les humains. Pour moi, ce ne sont que des mots, des algorithmes qui déterminent mes actions et réactions. Depuis quelque temps, je ressens quelques perturbations nano-technologiques qui ne figurent dans aucun de mes paramèt... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (12) Voir plus Ajouter une critique
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Un androïde aux services des humains, en qualité d'une sorte de domestique d'une famille au sein de laquelle le mari et père d'un enfant a des comportements humains bien classiques tels que tromper sa conjointe, participer à des séances sado-maso et même aller jusqu'au meurtre.

Le robot, Kielko, observe et comprend bien des choses. Il s'occuper surtout de l'enfant, admire la plastique de la mère, exposée au bord de la piscine et, finalement, protège toute la famille.

Ce tome 4 m'a permis de renouer avec plaisir avec cette série qui commençait à me lasser. Dans cet opus, on a une vraie intrigue familiale, classique certes, mais vue sous l'angle des perceptions de l'androïde. Celles-ci se transforment en émotions, il ressent le besoin de pleurer et la vue du sang le fascine. Il finit par couler pas mal au fil de l'histoire et les larmes de Kielko viendront à la fin.

Une fin originale, peut-être différente de celle qu'un lecteur hétérosexuel aurait souhaitée, un fin sacrificielle qui exalte les plus nobles sentiments humains vécus par un robot, sauver à tout prix l'objet d'un amour.

Les planches sont réussies, belles quelquefois, les corps sensuels, les expressions du robot bien travaillées. Les larmes de Kielko ne font pas pleurer mais transmettent l'émotion ressentie par une machine et de ce point de vue c'est une réussite.
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Los Angeles 2037.

Je m'appelle Kielko. Je suis un androïde au service de la famille Morgan qui comprend une femme, Dorothy, un homme, Grady, et leur enfant, Kylian.

Nous, les androïdes, bénéficions d'emblée de la sympathie des enfants. Nous faisons partie de leur univers.
Je suis très intrigué par les comportements humains et leurs phases émotionnelles. J'aime les observer pour en déduire leurs émotions ou leurs réactions. Je me sens bien (mais puis-je vraiment ressentir ?) lorsque je me trouve au milieu d'une foule des miens et des humains ? le contact de tous ces gens crée une surcharge positive de mes circuits. Assister aux activités humaines est un spectacle de tous les instants, même si les exemples ne manquent pas quant à la fragilité de leur enveloppe corporelle. J'accompagne souvent monsieur Morgan lors de ses sorties. J'apprends beaucoup de choses, par exemple, lorsque Grady s'isole avec une autre femme que la sienne.
Je suis fasciné par le sang…

Critique :

Un livre qui laisse circonspect. Se pourrait-il qu'un jour, un jour prochain, un androïde ou une machine puisse éprouver des sentiments ? A force d'avoir une intelligence artificielle qui apprend par elle-même ne va-t-elle pas finir par découvrir quelque chose qui ressemble à des émotions humaines ?

Le scénario de Jean-Charles Gaudin peut complètement nous désarçonner par le côté très doux de Kielko qui ressemble à un membre de la famille Morgan, même si la même complicité n'existe pas entre l'androïde et Dorothy qui se méfie de cette machine et voudrait préserver son intimité alors que son mari n'éprouve aucune gêne dans les mêmes circonstances. Quant à l'enfant, il ne semble guère faire de différence entre l'androïde et une personne vivante. Pourtant, le robot dans ce récit ne ressemble pas à un humain physiquement même s'il a deux jambes, deux bras, deux yeux, etc. Il conserve sa carcasse métallique et même certains circuits électriques sont visibles.

Mais finalement, le plus « humain » de cette histoire n'est-ce pas Kielko, l'androïde ?

Comme je ne tiens pas à divulguer l'intrigue du récit, histoire de ne pas finir lapidé, crucifié ou balancé dans le canal les pieds pris dans un bloc de béton, je vous invite à découvrir l'aventure par vous-mêmes en mentionnant toutefois qu'il y a un côté polar sentimental affirmé.

Le dessin de l'Italien Viska est tout à fait convaincant, d'autant qu'il s'accompagne d'une mise en couleurs très douce effectuée par Bertrand Benoît et Digikore Studios (immense studio de dessin et de coloriage situé en Inde).
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Je ne sais pas trop quoi penser de cette bd. Cette série compte 4 tomes qui ne se suivent pas mais dont le point commun, le thème central est l'androïde.
Ici il est question de l'artificialité de l'androïde confronté aux sentiments humains, intimement liés dans une réflexion qui taraude le personnage principal Kielko, dont on devine les intentions dès les premières lignes. Ces humains qui le passionnent et qui l'intriguent en même temps est un modèle pour lui. Il les étudie afin de devenir l'un d'eux. En début de tome, Jean Charles Gaudin nous rappelle que : " un robot n'est pas tout à fait une machine. Un robot est une machine fabriquée pour imiter de son mieux l'être humain." Cette phrase d'Isaac Asimov prend tout son sens dans cette bd et le scénariste va même plus loin, puisque le dit robot ne se contente pas seulement de nous ressembler. je n'en dirai pas plus sous peine de dévoiler toute l'intrigue.
Il est intéressant de noter le parti pris de l'auteur. En effet cet androïde, complètement artificiel même s'il est doté d'un système d'interfaces et d'un niveau "d'intelligence" suffisant lui permettant de "considérer" les sentiments humains, de les analyser et de les "intégrer" à son propre système, observe les êtres humains, les êtres vivants, que ce soit dans leur vie, ou leur mort ( il note la fragilité de nos enveloppes charnelles) et se pose comme un étudiant. Mais ces êtres humains observés ( un couple et un enfant) sont présentés dans leur quotidien comme des êtres pratiquement artificiel. Il est difficile de croire en leur état vivant, naturel, tellement leur vie n'est qu'en réalité un vaste mensonge, une supercherie, un ersatz de vie humaine. Tout est dans le paraître. l'auteur va même jusqu'à faire du personnage principal un peintre, qui vit de ses expositions. Quant à sa compagne, on ne sait d'elle si ce n'est qu'elle voyage pas mal, qu'elle s'absente du domicile régulièrement. L'artificialité de leur vie ne pouvait qu'aboutir à ce que l'on devine, le mari trompe régulièrement sa femme pour satisafaire ses pulsions. C'est plutôt convenu mais cela prendra tout son sens dans le dernier acte de la bd. En effet, l'androïde, dans sa quête d'humanité ira jusqu'à protéger son modèle et même se faire son complice, jusqu'au drame final. .
J'ai du mal à comprendre le dénouement et la position de l'auteur, et je n'ai su me positionner moi même tant il n'est pas clair. La dernière scène montre bien à quel point le parallèle artificiel/ sentiments est traité, et qu'il est bien le sujet du récit, mais c'est dans sa résolution que quelque chose me gêne.
Sur le fond comme sur la forme, cette bd est tout de même bien foutue mais je doute que le sujet traité n'intéresse plus que cela, les amateurs de sf.
La note est à l'image de mon avis... incertain...
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Quel beau projet des éditions Soleil ! Quatre équipes d'auteurs, quatre récits complets, un seul thème : l'androïde.
Une belle épigraphe d'Isaac Asimov, commune aux quatre tomes, sur les trois lois de la robotique…
Une superbe collection de BD dans laquelle je me suis plongée avec grand intérêt. Dans l'univers des intelligences artificielles, l'androïde est la seule machine à forme humaine, construite à l'image de l'homme avec un physique et des caractéristiques apparentées…

Le quatrième et dernier tome de la série nous plonge dans le ressenti d'un androïde et dans la manière dont il voit et considère les humains, ses propriétaires. le titre de cet album de Jean-Charles Gaudin et Viska, Les Larmes de Kielko, annonce déjà une humanisation de la machine, les manifestations d'une émotion…

D'emblée, ce tome m'a plu par la qualité du texte et la beauté des graphismes. le contraste est saisissant entre les planches dans les tons gris bleuté où le robot est seul en scènes et celles, beaucoup plus colorées, où évoluent les humains.
Kielko observe et raisonne tandis que le couple qui l'utilise ne voit de lui qu'un objet utilitaire, un « super ordinateur sur pattes » ; il se comporte pourtant et réagit presque mieux qu'un être humain tant il est empathique, discret, pédagogue, prévenant et responsable. Ses émotions, codifiées par des algorithmes, sont souvent plus vraies que nature. À ses côtés, l'humain paraît bien superficiel avec ses travers, ses trahisons, ses désirs, sa course après la réussite, ses pulsions non maîtrisées.
Kielko est cependant une I.A. hors normes, capable de se documenter par lui-même et de profiter des microfailles de son système de programmation pour combler des « vides structurels », braver les interdits et se créer une forme d'âme.

Le JE de Kielko devient de plus en plus éloquent ; les expériences vécues s'ajoutent automatiquement à ses données et diversifient sa programmation et il voit et analyse tout ce qui se passe autour de lui dans la famille de ses propriétaires, un couple et un garçonnet, que nous suivons dans toute son intimité et au-delà.
Puis le déroulement du récit se complique comme si un narrateur omniscient amenait son propre point de vue plus distancié ; une enquête policière est menée de façon plutôt classique.
Quand Kielko reprend enfin la parole, pour le dénouement, c'est pour une belle montée en puissance tant narrative que graphique.

Un magnifique album !

https://www.facebook.com/piratedespal/

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Je publie des chroniques littéraires sur lavisqteam.fr et celle de cette BD est présente au lien suivant : http://www.lavisqteam.fr/?p=31000

J'ai mis la note de : 18/20

Mon avis : Quatrième volume de la série Androïdes des éditions Soleil Anticipation, Les larmes de Kielko touche, surprend, choque et nous montre une toute autre facette des robots intelligents, une nouvelle vision qui diffère totalement des trois autres.

Dans cet univers qui n'est pas très éloigné temporellement du nôtre, les androïdes font partie intégrante de notre environnement. Ils sont très utiles et permettent aux gens de se décharger d'énormément de tâches. le rêve, quoi ! On suit très vite une famille, les Morgan, qui se servent de leur androïde pour cuisiner, surveiller leur enfant unique, s'occuper de lui, gérer quelques tâches de gestion de la maison et se souvenir de toutes informations importantes.

Différemment aux autres volumes, l'androïde est décrit ici comme un réel utilitaire. Physiquement, même s'il est humanoïde, il n'y a pas d'effort particulier pour cacher ses circuits électroniques et le fait qu'il ne soit pas fait de chair. Régulièrement, il doit être rechargé pour fonctionner et a donc des états de veille comme les machines que nous connaissons.

De plus, au même titre que les trois lois de la robotique, les androïdes comme Kielko apprennent diverses normes sur les humains et se doivent de les respecter si ce n'est de les comprendre. La BD nous en fait part à de multiples reprises et permettent au personnage principal de nous partager ses réflexions sur l'être humain qu'il admire par-dessus tout et qui diffère totalement de ce qu'il est. Par exemple, à la page 3, Kielko essaie de comprendre les passions amoureuses et détaille « l'annexe à la nomenclature d'accès 1-A [qui] parle d'attraction, de passion ou de désir ». Ces passages nous aident également à mieux cerner ce que l'auteur entend par « androïde ». Sa réflexion est intéressante et pertinente. Toute la BD est portée par ces idées, par les sensations de Kielko et sa fascination pour l'être humain. Une machine peut-elle ressentir de l'amour, des sensations ? Ces choses peuvent-elles s'apprendre même via le biais d'une intelligence artificielle de haute volée ? La fin de ce tome étonne et répond à ces questions d'une manière plus complexe que prévue et que l'on ne voit pas forcément arriver.

La BD tourne rapidement au thriller avec des meurtres qui s'enchaînent. La famille Morgan traîne dans des affaires louches et malsaines. Tout est fait pour nous mener là où l'auteur le veut et cela est très bien monté. On ne se rend compte de rien et on est tenus en haleine tout le long de la lecture. Les planches montrent le minimum, nous laissant nous imaginer la suite, et ne donnant pas de détails superflus. Une fixette est marquée sur la personne de Madame Morgan, nous la montrant sans cesse à travers les yeux de Kielko. Perversion, crimes, tromperies, ce volume décrypte l'âme humaine et le coeur d'une machine d'une façon prenante et captivante. On s'attache malgré nous à cet androïde.

La fin est surprenante, même si certains lecteurs vont la sentir venir. Elle est très bien menée et est réellement touchante. Elle nous amène à réfléchir sur plusieurs aspects de la technologie et des sensations qui empêchent la raison de s'affirmer, chez l'humain comme chez la machine. le titre est d'ailleurs assez équivoque et n'est compris qu'à la toute fin. Les fameuses lois de la robotique sont ici décryptées avec soin et nous font nous poser de multiples questions.

Les dessins, comme pour les autres volumes, sont magnifiques et nous font voyager et rêver. On est vite embarqués dans ce monde étrange où les nouvelles technologies foisonnent. La BD commence en 2037, à Los Angeles et l'on peine à croire que dans 20 ans nous en serons là où le scénariste le pense. Cependant, les inventions ne sont pas exagérées, et ne nous montrent pas un futur totalement surréaliste, ce qui nous permet une meilleure immersion et donne une meilleure crédibilité.

La frontière entre l'Homme et la machine n'a jamais été aussi ténue que dans ce tome-ci qui clôt la série avec succès. La science-fiction et les questions sur l'androïde sont souvent au cours des débats et passionnent les foules.

Cette BD se lit vite malgré le nombre de pages excédant le total habituel (56 au lieu de 48). L'histoire est complète, complexe, la psychologie des personnages est détaillée suffisamment pour nous plonger dans les aventures de Kielko. On ne s'ennuie pas et on en redemande !
Lien : http://www.lavisqteam.fr/?p=..
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critiques presse (1)
Sceneario
02 juin 2017
Un quatrième volet particulièrement abouti qui fait conjuguer admirablement technologie avec sentiment.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
Selon mes codifications référentielles, les humains passent par différentes phases sentimentales au cours de leur vie. Pour un couple, quelques blessures apparaissent au fil des années. Cette expression reste encore obscure pour moi. L'annexe SE352 parle d'un manque de stabilité, d'une sorte de lassitude égrainée par le temps...
Commenter  J’apprécie          273
-Le français est une belle langue. Tes parents tiennent à ce que tu la maitrises...
-Tout passe par la parole, maintenant! Ca ne sert à rien d'écrire!
-Il faut conserver l'écrit, Kylian. C'est ton identité. Si tu l'oublies, c'est une part de toi que tu abandonnes.
Commenter  J’apprécie          50
Tu sais que les hommes mélancoliques me font craquer...
Commenter  J’apprécie          180
- Mon émotion est codifiée ! La tienne est naturelle. Elle découle de ton ressenti, de ce que tu éprouves devant un film, par exemple, ou devant une mauvaise note. Les mots "émotion" et "sentiment" n'ont de valeur que pour vous, les humains.
Commenter  J’apprécie          20
Une nomenclature de niveau 3 dit que l'immortalité rassure ou intrigue dans les mêmes proportions... Un choix émotionnel qui dépend donc du facteur humain.
Commenter  J’apprécie          30

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Videos de Jean-Charles Gaudin (7) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Jean-Charles Gaudin
Terence Nichols est chasseur de primes. le colt rouge qu'il porte depuis la guerre de sécession lui a valu son surnom. Un personnage torturé par son passé, et une série entre western et thriller. 1866, sur le chantier du Transcontinental, plus grand tracé ferroviaire des États-Unis, est à nouveau découvert le corps d'une prostituée. Décision est prise de faire appel à Terence Nichols, surnommé Red Gun, pour la couleur de son colt, persuadé que ces meurtres sont liés à la guerre de Sécession. Il va mener l'enquête et se confronter aux fantômes de son passé.
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