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L'Assassin royal (bd) tome 2 sur 10

Robin Hobb (Antécédent bibliographique)
EAN : 9782302004788
45 pages
Soleil (25/03/2009)
3.63/5   71 notes
Résumé :
" Où que tu ailles, tu resteras le bâtard de la chevalerie. Tu es l'otage de ta propre lignée. "
Que lire après L'Assassin royal, Tome 2 : L'Art (BD)Voir plus
Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Deuxième tome de l'adaptation en bande dessinée de la saga monumentale de Robin Hobb, L'Assassin Royal, "L'Art" poursuit les aventures de FitzChevalerie.

Les tomes de cette série sont, il est vrai, plutôt beaux à regarder (on paye les bandes dessinées souvent pour ça, quand même...) et leur intérêt est sûrement présent. Toutefois, de but en blanc, je perçois déjà deux énormes critiques à l'égard de la série et surtout de ce tome-ci. Tout d'abord, quand on a lu et adoré L'Assassin Royal, il doit être difficile de se conformer aux représentations parfois originales, mais peut-être étonnantes, de certaines personnages. D'un autre côté, aborder l'oeuvre de référence de Robin Hobb que constitue L'Assassin Royal (elle se dispute sûrement la pôle avec Les Aventuriers de la Mer selon certains) est ô combien dangereux si on veut tenter le coup avec cette bande dessinée.
Je sais de quoi je parle, car moi-même je n'ai pas lu l'oeuvre de Robin Hobb (pas assez de temps pour le moment, malheureusement, à part quelques nouvelles tout au plus), mais cette adaptation me tendait les bras : j'aurais dû me méfier dès ma première vision de ces tomes quand le nom de Robin Hobb apparaissait en gros mais pas en tant qu'auteur... Ce tome 2 sur l'Art, élément central de la saga L'Assassin Royal, est le plus symptomatique de ce problème. En effet, impossible de bien cerner l'intérêt d' "artiser" (je ne suis déjà pas bien sûr de bien utiliser ces termes, c'est pour dire !) sans un récit décrit et argumenté pour nous le faire comprendre ; et de même pour la différence entre l'Art et le Vif !

Difficile donc de critiquer le contenu même puisque l'intrigue part d'une oeuvre depuis longtemps établie dans les mémoires, par contre l'édition (peut-être bien sans consultation de Robin Hobb elle-même) fait chuter l'intérêt pour cette série à un niveau incroyablement bas ! Bien dommage car ce que je vois et ce que je lis dans ce tome-ci ne me donnerait aucune envie de poursuivre l'aventure si je n'avais pas quelques connaissances annexes sur Robin Hobb et son oeuvre.
Un pâle représentant du monde de Robin Hobb que cette BD !
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Fantasy. Fitz, le bâtard, fils du prince assassiné, est un homme lige : il est directement au service du roi Subtil.
Avec une dizaine d'autres jeunes, on le met en contact avec un « professeur d'art », un homme qui est capable de percer les pensées des gens, même à distance. Ce professeur est très exigeant. Les épreuves sont terribles.
Un des buts fixés à Fitz est d'entrer dans le cerveau des capitaines de drakkars pilleurs, et de les détourner pour se fracasser sur les rochers.
Comme dans le premier tome, le beau et sombre graphisme nous aide bien à nous faufiler avec Fitz dans cette histoire moyen-âgeuse 😊
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Après un premier album un peu décevant, ce second volume des aventures de Fitz Chevalerie en bande-dessinée continue sur la même lancée. L'histoire suit à nouveau à la lettre celle des fameux romans de Robin Hobb. On retrouve ainsi notre protagoniste en plein apprentissage de son nouveau métier d'assassin personnel du roi et surtout on assiste au commencement de sa formation à l'Art, pouvoir magique exceptionnel dont les descendants de la famille Loinvoyant ont hérité de façon plus ou moins marquée. La question du Vif, autre type de pouvoir mais cette fois illégal car permettant aux hommes de communiquer avec les animaux voire même de s'incarner en eux, est également abordée plus en détail, mais là encore on ne retrouve évidemment pas toute la richesse et la complexité présentes dans les romans. C'est malgré tout avec un certain plaisir et un petit pincement qu'on se replonge dans les aventures de cet attachant bâtard qui n'a pas fini d'en voir de toutes les couleurs.

On redécouvre ainsi avec un certain enthousiasme quelques uns des épisodes marquants qui ont fait le succès de la série : la première mission de Fitz hors du château, son entraînement intensif auprès du maître d'Art, les humiliations constantes du prince Royal, son amour naissant pour Molly.... Au nombre des déceptions notons encore une fois les graphismes qui, malheureusement, collent toujours assez mal à l'histoire (le traitement graphique du personnage de Fitz est notamment perturbant et m'a, en ce qui me concerne, un peu gâché le plaisir de lecture). En ce qui concerne les personnages, il est également dommage de voir des personnalités aussi complexes que celles de Fitz, Molly, Burich et surtout du Fou réduites ici à presque rien. Encore une fois, si les amateurs des romans de Robin Hobb pourront toujours trouver agréable de se replonger dans l'univers des Six Duchés, j'ai bien peur que ceux désireux de se lancer dans la bande dessinée sans rien connaître de l'univers ou des personnages ne trouvent que peu d'intérêt à cette lecture.
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Avec sa couverture aguicheuse, L'art, donne envie d'être lu. Les promesses ne sont pas toutes tenues mais nous laissent néanmoins avec un album de facture moyenne qui accordera un moment d'évasion.

Comme avec le bâtard, la plus grande déception reste les dessins. Si le bénéfice du doute reste permis (s'agit-il d'hésitations ou de traits définitifs ?), la présentation des personnages est toujours aussi peu satisfaisante. A certains moments, toutefois l'on peut noter un effort, mais celui-ci est contrebalancé par d'autres scènes (notamment celles consacrées aux forgisés ou au sommet de la tour). La comparaison avec le style manga est à peine exagérée, tant les postures sont peu crédibles. Sujet principal de cet album, la magie de l'art n'en sort pas vraiment grandie. L'on en attendait bien davantage…

Le scénario poursuit sur sa lancée et suit le fil imposé par les romans. de nouveaux personnages apparaissent, notamment Patience, d'autres déjà croisés prennent une importance nouvelle. Ces jalons permettent d'amorcer la suite. Même si la formation de Fitz à l'art est un thème important, celle-ci tient davantage aux relations avec Gallen et l'apprentissage donne l'impression d'être passé au second plan.

Beaucoup de non-dits pourront gêner les non initiés. Cette impression de manque est par ailleurs renforcée par l'impression assez déroutante que Fitz grandit sans le lecteur et que nombre de passages sont passés sous silence, alors que l'on nous offre des allusions et des références à ces moments-là (notamment les rapports avec le Fou).

Assurément, titre et première de couverture sont mal choisis pour cet album qui s'attache davantage à la formation de l'assassin. Il fait donc partie d'un ensemble débuté avec le premier tome. Son dénouement, assez inquiétant, annonce des perspectives bien différentes.
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Fitz rencontre par hasard Dame Patience, la femme de son père. Elle va prendre son apprentissage en main en lui apprenant musique et poésie. Mais c'est également grâce à elle qu'il va commencer un plus rude apprentissage: celui de l'Art, à savoir comment communiquer par l'esprit.

Dans ce tome on continue donc l'apprentissage de Fitz, centré sur celui de l'Art avec un maitre, Galen, qui ne l'aime pas. Ce trouve que l'Art n'est pas très bien rendu dans ce tome, mais je pense que ça ne doit pas être facile de faire comprendre quelque chose d'un peu abstrait. Fitz est doué, puis ne l'est plus, dans cette discipline. Sans que l'on comprenne vraiment d'où vient le problème.
C'est dans ce tome que le lien, très important pour la suite, entre Fitz et le prince Vérité, va se nouer.
Un second tome qui ne s'envole pas. On a toujours l'impression d'être dans une introduction. Mais on peut louer les efforts des auteurs pour leur volonté de coller au récit de Robin Hobb.
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Citations et extraits (6) Voir plus Ajouter une citation
--Bâtard ! Meurs !

...Surpris en pleine transe, j'étais incapable de me défendre...

-- Prenez tous garde ! C'est ainsi que je traiterai tous ceux qui céderont aux plaisirs de l'art !
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-Quand ton père l'a rencontré, elle était à peine plus qu'une enfant. Son esprit et sa langue voletaient d'un sujet à l'autre. Elle était fatigante, mais ton père, lui s'en émerveillait... Chevalerie était pourtant sollicité par de biens meilleurs partis, mais il finit par choisir Patience. Il n'avait pourtant rien à y gagner...
-Sauf qu'il a fait ce dont il avait envie!
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Bâtard ou pas, tu aurais pu être le digne fils de Chevalerie, mais tu as tout gâché pour un chien.

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- Etes-vous ivre ?
- Pas complètement...
- ... je me suis trouvé à court d'argent !
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- Les gens ne parlent que de ça ...
... on a forcément du souci à se faire avec les forgisés qui se promènent dans le pays ...
... On dit même qu'ils attaquent les voyageurs ...
- Je crois plutôt que se sont des voleurs ...
... les forgisés seraient bien incapables de s'organiser en bandes.
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