Alors qu'Aragon avait jugé ces images populistes, Cendrars, lui, adhère immédiatement à ces photographies anti-académiques qui ne ressemblent pas à celles des autres.
Le monde qu'il entend montrer est finalement "un monde ... où les gens seraient aimables, où je trouverai la tendresse que je souhaite recevoir. Mes photos étaient comme une preuve que ce monde peut exister ... Au fond il n'y a rien de plus subjectif que l'objectif, nous ne montrons pas le monde tel qu'il existe vraiment".