AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,36

sur 80 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
D'une gouaille sans pareille, Gauz nous invite à revisiter l'histoire de France et du colonialisme. Charmé par ses inventions linguistiques, ça fuse dans tous les sens.

Mais le style devient vite lourd, empâté. Ça part dans les sens et on n'y comprend plus rien.

Son écriture originale et son discours engagé avait fait mouche avec son "vis ma vie de vigile immigré" dans "debout-payé", personnellement, ils retombent comme un soufflet avec "Camarade papa". Dommage.

Abandonné en octobre 2018.
Commenter  J’apprécie          1057
J'ai trop été déconcerté par ces histoires intercalées dans le temps, dans les lieux. J'y reviendrai peut être un jour.
Commenter  J’apprécie          20
Grosse déception de mon côté, alors que j'avais tant aimé #deboutpayé et que je me faisais une joie de découvrir celui-là.
Son style est certainement plus abouti, sauf que ça n'a pas du tout pris avec moi. J'ai trouvé ça long, arriver au bout a été laborieux même si les jeux de mots et de langage dans la bouche d'un de ses personnages sont délicieux... au début.
Bref, j'en attendais tant que je suis très déçue. .
Commenter  J’apprécie          00
« Camarade papa » de Gauz, dont j'avais beaucoup apprécié le premier ouvrage «  debout , payé » pour sa facture et son style bien personnels, m'attendait dans ma pile..plaisir en vue !!

Les premières pages m'ont emplie de joie.. l'histoire, racontée à sa façon me plaît, tout est parfait, le premier chapitre, celui du petit garçon à la peau claire avec un papa noir et une maman marron, qui disparaît du jour au lendemain, me parle !!
Sa copine Yolanda aussi dans une vitrine d'Amsterdam, on le comprend vite, tout autant !
Le discours communiste de la maman, du papa et les propos enfantins et pleins de fraîcheur du gamin me réjouissent, l'inventivité du vocabulaire et des tournures de l'auteur m'impressionne, tout me plaît..on avance !

Et puis, sans crier gare, nous voilà au milieu du siècle dernier dans une famille en deuil..et tout change : le style, les personnages..
et encore une autre fois, au sein d'une tribu dont la langue est ici encore traduite du mieux possible, vocabulaire et tournures adéquates, parfois très difficiles à comprendre !

Sans oublier les contes et légendes de grand Bassam en Cote d'ivoire, passionnants et revigorants !

Bref, même après avoir lu la quatrième de couverture qui parlait bien d'une reconstruction de la colonisation à deux voix , à deux voies bien sur, je n'ai pas reconnu l'histoire, ni L Histoire : ce livre est sans doute trop travaillé pour moi, l'art de Gauz, loin du mien, son univers également sans aucun doute, mais j'ai eu beau prendre, reprendre, lire et relire certains passages.. rien n'y a fait, je ne suis pas entrée dans ce récit ! Dommage sans doute !

Ceci dit j'ai appris de nombreux détails sur la vie des Agny, «  la transmission du pouvoir est avunculaire. On hérite de son oncle, le frère utérin de sa mère. » «  la justice Agny n'est pas pénale, elle est compensatoire. Dans un meurtre, le clan coupable peut être condamné à donner un enfant, une femme ou un homme jeune à la famille de la victime.. » Peine que j'ai vu également appliquée chez les indiens d'Amérique.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (205) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3175 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}