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4,05

sur 18011 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Ca, c'est un livre que je ne suis pas prête d'oublier! Et pourtant, j'en lis des bouquins! Mais là, les 604 pages, je les ai lues en 2 jours et j'aurais voulu que ça ne se termine pas. Il m'a tout fait, je passais du rire aux larmes à tous moments, et ce n'est pas une façon de parler : j'ai vraiment ris tout fort et vraiment pleuré, souvent. Quand je pense que j'ai failli ne pas l'acheter car j'avais lu quelque part que c'était dégoulinant de bons sentiments, mièvre et tout et tout... Comme quoi, il ne faut pas se fier aux critiques et toujours se forger sa propre opinion.
En tout cas, chapeau Mme Gavalda!
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"Un chouan désarmé, une fée fragile et un garçon taillé dans l'échine"

Ce livre, jadis dévoré par la gente féminine, trônait fièrement dans notre bibliothèque depuis plus de huit ans. Sur la couverture violette et blanche, des pinceaux attendaient tranquillement dans leur bocal qu'un bon samaritain veuille bien les sortir hors de l'eau un moment.

Délaissant mes polars préférés pour quelques jours seulement, j'ouvris le manuscrit, quelque peu jauni par le temps, avec une certaine appréhension. Est-ce un roman à l'eau de rose uniquement écrit par une femme, pour les femmes ? N'est-il un peu tard, voire démodé de lire cet ouvrage datant tout de même de 2004 ? Vais-je retrouver un style pompeux et larmoyant aux antipodes de mes bons polars bien noirs et parfois même violents ?

Eh bien, non… Rien de tout ça…

Si Anna Galvalda avait sorti ce livre en 2013, il aurait fait un tabac ! Dans les journaux, à la radio, on vous explique qu'une femme avec son gosse est expulsée en plein hiver de sa chambre de 4 m², sous les combles, dans Paris. Quand l'actualité rattrape la fiction ! Malheureusement, le problème du logement, surtout en région parisienne, est encore plus criant aujourd'hui sachant que les jeunes restent les premiers touchés par la cherté de l'immobilier.
Dès les premières pages de ce roman, l'excellent film « Les Femmes du 6ème étage » m'est revenu instantanément en mémoire. Ce long métrage de Philippe le Guay, avec Fabrice Luchini et Sandrine Kiberlain, dépeint la vie de bonnes espagnoles vivant au sixième étage d'un immeuble bourgeois parisien dans les années 60. Une vraie bonne découverte pour ceux qui ne l'ont pas encore vu.

Mais revenons un instant à notre roman d'Anna Gavalda

Un trio improbable, Camille, femme de ménage et artiste peintre, Philibert, vendeur de cartes postales et aristocrate fan d'Henry IV, Franck, cuisinier, saucier en chef et collectionneur de motos et de nanas. Durant plus de cinq cent pages, on apprend à connaitre nos trois protagonistes dans différents coins de la capitale ou de province : le métier de technicienne de surface, durant la nuit, dans les bureaux des tours de la Défense, les rendez-vous déprimant avec la mère de Camille, les aller-retour express de Frank le lundi pour rendre visite à sa grand-mère, les scènes de vie quotidiennes dans l'appartement de 400 m² dans Paris appartenant à la famille de Philibert Marquet de la Durbellière …
J'ai adoré bon nombre d'épisodes de ce roman, racontés avec justesse et tendresse par l'auteur, et je souhaitais vous évoquer trois passages marquants :
- le pique-nique improvisé par Philibert et Camille sous les combles, genre Pat et Mat, dessin animé tchèque pour les enfants, disponible dans toutes les médiathèques de France et de Navarre, même à Ancenis j'en suis sûr,
- la journée du 31 décembre, somptueusement décrite par Camille, découvrant l'agitation en cuisine dans le restaurant de Frank et la difficulté du métier de cuisinier, quel que soit le poste,
- ou encore les discussions interminables la nuit avant de dormir, où l'on se confie, comme jamais on ne le ferait à un autre moment de la journée.

Selon le passé de chacun, ce livre fait remonter des souvenirs sur les joies, les peines ou les difficultés que l'on a rencontrées avec des proches ou de simples connaissances à un moment de notre vie. Qui plus est, Anna Gavalda a truffé cet ouvrage d'expressions ou de petits mots toujours justes et pleins d'humour.
La seule critique, que je fais, tient au style du roman qui privilégie l'enchainement des scènes de vie, en tout lieu, à tout instant, en multipliant les dialogues sans forcément savoir qui prend la parole. Je trouve ainsi que l'écriture, par moments, est un peu décousue même si, paradoxalement, cette suite de dialogues percutants et drôles s'avère une force indéniable du livre.

Pour conclure, j'ai beaucoup apprécié l'histoire de ces personnages fragilisés, au bord du gouffre, qui se relèvent par des seules béquilles humaines, pourtant déjà chancelantes. Comme beaucoup de lecteurs ou de lectrices surement, le personnage de Camille m'a particulièrement touché, à la fois mystérieuse, indécise, cultivée et terriblement vulnérable. Anna Gavalda nous délivre un hymne à la quête du bonheur, parsemé d'obstacles psychologiques et physiques, surgissant parfois d'une enfance brisée, impossibles à franchir si on est seul contre tous.

Pendant la semaine de lecture, j'ai pris plaisir à poster des expressions ou citations du livre, les plus craquantes les unes que les autres et je terminerai donc par la plus appréciée des lecteurs :

«Elle feuilleta l'exemplaire de démonstration et fut reprise d'une crise d'admirationnite aigue. C'était si beau… si beau.
[…]
Le léger déhanché d'une femme élégante vue de dos ?
En n'employant rien d'autre qu'un peu de couleur noire ?
Comment ce miracle était-il possible ?

Plus les éléments employés sont purs, plus l'oeuvre est pure. En peinture, il y a deux moyens d'expression, la forme et la couleur. Plus les couleurs sont pures, plus pure est la beauté de l'oeuvre.»

Camille

'----------------------------------------------------------------------------------------'
PS : la suite concerne mon avant-critique, éphémère par nature :

En avant-première d' « Ensemble, c'est tout », un roman de 2004…

Je suis toujours en train de lire ce roman d'Anna Gavalda et je suis traversé par un épineux dilemme. Comment choisir ? Comment trancher ? Je dirai même plus comment tailler à la hache dans tous ces... ?
Effectivement, le gros, gros problème avec ce roman, c'est qu'il est un véritable piège à citations. A vrai dire, il est truffé de petites anecdotes, de drôleries ou de tendresses à croquer.
Pour une fois, comme je ne veux et ne peux pas choisir, je vais inverser le processus classique comme le veut la tradition.
Je vais poster mes citations dans un premier temps au compte-goutte pour ensuite seulement coller ma critique, une fois terminé ce roman. Cela rappellera quelques souvenirs aux très nombreux fans (surtout des fanes) de ce récit.
Si la citation, jugée la meilleure selon le vote des babeliautes, n'est pas trop longue, celle-ci figura en bonne place dans le texte de ma critique à titre exceptionnel. A vos clics, partez…

PS2 : je commence dès maintenant par un extrait du livre, bien loin de la caricature comme vous pourriez le penser, qui me rappelle une anecdote bien réelle. Durant mon service militaire (comme scientifique du contingent à l'époque), le premier jour, mon camarade de chambre sort son plumier et écrit avec une facilité déconcertante à la plume, en plein et délié je m'excuse, son nom à double particule (je me souviens parfaitement de son nom mais je préfère taire son titre de noblesse, par respect pour sa personne). Pour ne pas paraitre trop ridicule à coté de cette prouesse venue d'ailleurs (je ne m'en remettrai jamais, je crois), j'avais écrit instinctivement au stylo bille noir sur l'étiquette de mon lit : Jérôme … de Pontaniou (le lieu où nous résidions à l'époque, connu des bretons peut-être). Fièrement, j'ai été appelé ainsi durant près d'une année, à la suite d'une simple rébellion envers la noblesse française ! Incroyable mais véridique.
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Ce livre me faisait de l'oeil depuis longtemps. Je n'en voyais que des avis positifs, et ma mère m'a convaincu de le lire car il lui avait vraiment plu. Pourtant je ne l'ai pas acheté, la quatrième de couverture ne me tentait pas trop, l'histoire ne me paraissait pas extraordinaire car en plus de ça, c'est un pavé ! Je n'avais pas vraiment envie d'investir dans un livre que je n'étais pas sûre d'aimer, d'autant plus que je n'ai jamais lu de livre d'Anna Gavalda. Alors quand je l'ai vu dans les rayons de ma médiathèque, autant dire que je me suis jetée dessus ! Et quel livre ! Quel chef d'oeuvre ! Je n'ai pas été déçue du tout.

Je ne saurai pas raconter l'histoire, car il n'y en a pas vraiment. On va dire que c'est le destin de quatre personnes qui se croisent, qui se détruisent, s'aident, se détestent et s'aiment. Ce livre aborde des sujets fréquents : famille, amitié, solidarité, sentiments et amour qu'on refuse d'admettre. le récit est parfaitement mené, on ne s'ennuie pas une minute.

Les quatre personnages principaux sont très attachants, et encore, le mot est faible.
Camille, écorchée vive, pleine de doutes. Elle est un peu paumée, son travail ne l'enchante pas vraiment et elle voue un culte immense à sa passion : le dessin, la peinture. Elle s'interdit de ressentir des sentiments, elle est jeune et pourtant elle paraît blasé par la vie. Sa personnalité m'a touché, et je me suis sentie proche d'elle.
Franck, grossier, blasé, qui croit avoir tout vécu. Il est cuisinier, et il semble n'aimer personne hormis Paulette sa grand-mère. C'est un homme à femmes, qui n'hésite pas à se servir d'elles pour assouvir ses besoins masculins. Pourtant, derrière cette carapace, nous découvrons un personnage plein de sensibilité, de peur et de questions, et c'est ce qui fait son charme bien qu'il nous agace parfois.
Philibert, maladroit et gauche, rempli de rêves et d'espérance. Il bégaie, il s'habille et parle de façon « ringarde » mais on l'aime comme ça. Il est tellement bon, tellement gentil, on ne peut que l'apprécier, sans pour autant avoir pitié de lui. C'est ce que j'ai aimé dans ce personnage : ses défauts ne sont pas exagérés, tout est décrit avec justesse pour éviter au lecteur de s'apitoyer sur son sort. Nous découvrons aussi au fil de la lecture qu'il est heureux, et que c'est bien ça qui compte dans la vie : être heureux.
Et puis, il y Paulette, mal-aimée et pleine de peurs. C'est une vieille dame placée en maison de retraite car elle est trop « faible », elle ne peut plus s'occuper d'elle et pourtant elle as un fort caractère sans passer pour une méchante. Elle veut vivre, elle veut aimer et passer ses derniers jours dans ce qu'elle a de plus cher au monde : son jardin.

604 pages ? Même pas peur. On ne les voit pas filer, en quelques jours ce roman est avalé, dévoré, englouti. Tout ça parce-qu'on se demande où cette histoire va bien pouvoir nous mené, on se pose des questions même si on devine la fin, pas totalement, mais un petit peu.

Le style d'écriture d'Anna Gavalda est absolument divin, plein de richesses, d'humour et d'originalité. Seul point négatif, bien qu'il soit minime : durant certains dialogues, nous avons du mal à savoir qui parle. le récit manque d'incises, et j'ai trouvé ça dommage.

J'ai ris, j'ai pleuré, impossible de lâcher ce bouquin une fois qu'on l'a commencé. Je tire mon chapeau à Anna Gavalda, qui manie l'art des émotions avec un talent hors du commun. J'ai hâte de voir l'adaptation cinématographique, j'espère ne pas être déçue.
Un pur délice, à lire obligatoirement, car au fond, ce n'est pas un livre, c'est une ôde à la vie.
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C'était
Quatre êtres qui tentaient de s'extraire
De leur vaseuse existence vide
Dans un immeuble parisien.

C'était
Une spirale d' affinités amicales
Qui se tissaient peu à peu dans
Ces écorchures de vie pour
Les combler de solidarité joyeuse.

Toucher le sublime
pour s'y nourrir,
pour s' y installer,
pour s'y complaire,
pour s'y apaiser pour l'éternité.

Ils s'apprivoiseront au fil du temps ,
Partageant les joies de cette alliance consentit,
pour effleurer le bonheur d'une amitié choisie.

Il suffisait juste de :
Sortir de leur tour pour entendre
Ces rimes spontanées de la vie,
Dans cette fraternité qui s'éparpille dans l'instant
En accostant les rivages du délicat sentiment de partage.

Camille, écorchée vive ,bleuit seule
ses blessures pour ne plus ressentir…
Pourtant le destin facétieux éclaire son chemin
de précieuse rencontre flamboyant le présent
de rire, de partage, de douceur, d'amour.

Philibert, bégaie ses blessures d'antan,
Dérivant dans 400 m2 d'indifférence
De son appartement parisien
qui révèle l'antre de ses maladresses et
qui le rendent pourtant si touchant .

Franck, révolté par la vie,
Accepte pourtant de s'ouvrir à
Ces pépites d'amitiés naissantes pour
Attendrir son cœur d'homme blasé et blessé.

Et puis, il y Paulette…^^
Cette adorable grand-mère
Qui s'échappe de son destin contraint
Pour vivre et aimer.

Il suffisait juste pour ces
Quatre âmes errantes
De se rencontrer,
De s'apprécier,
De s'apprivoiser,
De se respecter,
De partager,
De se soutenir,

De s'aimer

Simplement.
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J'ai su dés les premières lignes, qu'Anna Gavalda et moi, on allait bien s'entendre ! Parce que c'est ça , un écrivain, quelqu'un qui a un style unique, et cette auteure , elle est magique, lumineuse, poétique, malicieuse. La même phrase peut être extrêmement naïve et immensément lucide, employer des mots de tous les jours et en même temps ( grâce à un personnage) , te renvoyer au XIX ° siècle. Un curieux cocktail un curieux ensemble , et puis c'est tout !
j'avais vu le film, il y a quelques années , et rarement casting fut aussi parfait.
Camille c'est Audrey Tautou... Petit oiseau tombé du nid, une enfance difficile et un don incroyable pour le dessin, dont elle ne vit pas. Camille , elle fait des ménages ... . Maigre, malade , elle fait connaissance d'un curieux voisin, Philibert, qui l'hébergera dans son grand appartement. Lui aussi, est "bancal", aristocrate, vivant dans le XIX° siècle, venant d'une famille, aussi grande, que réfrigérante, il bégaie et n'est pas vraiment heureux. Il cohabite avec un autre oiseau (ronchon et fatigué, celui-là ) , Franck, un cuisinier qui ne compte pas ses heures ( de l'esclavage dit-il..). Et lui, il s'inquiète pour sa grand- mère, celle qui l'a élevé et qui, elle, est tombée bien bas, dans le grand âge... Tout seuls, ils sont malheureux, incomplets , mais ensemble, ça ira mieux. La preuve en 604 pages de pur bonheur .
Une grande leçon d'entraide, de solidarité intergénérationnelle, d'amitiés bizarres mais évidentes, d'amour, que donne Miss Gavalda.
Une auteure , un livre, et une lectrice comblée : ensemble , c'est tout ! ;-)
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C'est un peu l'âme en peine que j'ai achevé ce long roman d'Anna Gavalda parce que je m'étais drôlement attachée à ces personnages paumés mais vraiment touchants qui se rencontrent et forment une vraie famille !
C'est un très beau moment de vie que nous offre une nouvelle fois Anna Gavalda !
Le ton est juste, l'écriture fluide...rien à redire un vrai plaisir à le lire !
à conseiller....
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Vous ne pouvez pas imaginer le bien que ce livre m'a fait. Une histoire de vrais gens, avec des vraies galères, des vrais défauts et des vrais bonheurs. Une histoire de gens, tout simplement. Qui ne se comprennent pas toujours, mais qui s'aiment et finissent par s'apprivoiser. Une histoire qui te dit que rien n'est jamais perdu, quelque soit le quota de problèmes et de drames avec lequel tu es parti dans la vie.
Au début, j'avais du mal à accrocher mais après, impossible de le lâcher. Tout sonne tellement juste, on ne peut s'empêcher d'y croire du premier au dernier mot. J'ai vécu les mêmes émotions que les personnages, je les ai aimés et détestés. C'est un livre qui donne de l'espoir, du bonheur en barre. Il recèle la chose la plus importante à mes yeux : la simplicité. Il fourmille de preuves que le bonheur peut nous tomber dessus à n'importe quel moment, qu'il suffit de trouver les bonnes personnes avec qui le partager.
Bref, j'ai adoré, je le conseille à tout le monde. J'avais la larme à l'oeil en le lisant, chose qui m'arrive extrêmement rarement. du coup, je ne perds pas mon temps à chercher des points négatifs. Ce roman a su me remonter le moral un jour de déprime, et c'est tout ce que je lui demandais.

Lien : http://lantredemesreves.blog..
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Peut-être mon roman fétiche avec la consolante d'Anna. J'aime la plume de cette romancière, sensible, écorchée, douce, tendre, séduisante.
J'ai bien entendu aimé les quelques personnages de ce roman, avec leurs failles, leurs peurs, leurs espoirs surtout. Et c'est cela qui est tout bon avec Anna : l'espoir n'est jamais loin, même s'il faut en baver un peu avant, même s'il faut comprendre avant, même s'il faut digérer et puis oser.
J'adore comment les personnages sont triturés dans tous les sens, dans ce qu'ils ont de meilleur ou pas, bref tels qu'ils sont. Je m'attache, je fonds, je transpire leur solitude et leurs difficultés. Car comme souvent avec Anna, c'est un peu de nous qu'elle dévoile.
Un très beau roman bien plus mature que le film, les mots sont justes et beaux. Tout ce que j'aime.
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Camille Fauque vivote, entre son studio au sommet d'un immeuble et son travail de technicienne de surface. Elle ne dessine plus, se nourrit peu et forcément tombe malade. Une curieuse bonne fée sous la forme d'un jeune homme un peu bizarre, Philibert vient à son secours. le colocataire de ce dernier, cuisinier, n'est pas facile, facile, il a même un caractère de cochon. Camille et lui se tapent vite sur les nerfs.
Des personnages différents, qui apprennent à vivre ensemble avec leurs fêlures, c'est drôle et émouvant. Les personnages sont inoubliables.
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4 protagonistes, Camille, Philibert, Franck et Paulette. 4 vies brinquebalantes, qui vont, gräce à leur rencontre, trouver un équilibre et retrouver l'espoir.
J'ai adoré ce livre, c'est même l'un des rares qu'il m'arrive de relire avec plaisir.
Les personnages sont touchants, attachants et on a envie de les suivre, de voir leur évolution, c'est difficile de reposer ce roman, qui pèse quand même son poids !
C'est parfois triste, parfois drôle, toujours émouvant .
On sort de cette lecture le coeur léger, avec le sourire aux lèvres.

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