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EAN : 9782842631529
636 pages
Le Dilettante (11/03/2008)
3.4/5   3962 notes
Résumé :
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent. Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant.
Retourne ensuite vers les autres. Vers la v... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (275) Voir plus Ajouter une critique
3,4

sur 3962 notes
Je connais bien la boite de Pandore et la crise de la cinquantaine, je suis en plein dedans. Ces souvenirs qui vous éclatent en pleine figure, ces faits insignifiants pour d'autres qui sont d'une importance vitale pour vous, cette vie parallèle à la réalité et pourtant c'est votre réalité, cette remise en question qui fait exploser votre routine quotidienne, ce retour vers le passé, c'est pour tout ça que j'ai suivi Charles dans sa quête avec un grand intérêt, que dis-je, avec passion. Ne refermant le livre que pour manger et dormir, impatiente de retourner avec Charles, voir comment il allait s'en sortir…. Ou pas. J'ai fini de lire cette histoire il y a quelques jours et pourtant elle trotte encore dans ma tête comme une petite musique insidieuse, perniceuse. Je suis touchée. J'aime les personnages cassés par la vie d'Anna Gavalda, auteur qui doit souffrir d'empathie…
Lien : http://pyrouette.canalblog.c..
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Charles Balanda approche la cinquantaine.
Archtiecte à Paris, il voyage en Russie pour surveiller des chantiers et nous apparaît surmené. Il emploie très souvent l'expression"Je suis fatigué" pour exprimer sa lassitude mais aussi pour couper court aux questions de son entourage.
Il vit avec Laurence et la fille de celle-ci, Mathilde, une adolescente avec qui il entretient une relation très franche entre le père et le copain.
Lors d'une fête de famille, chez ses parents, il ouvre du courrier qui lui est adressé où il apprend qu'une ancienne voisine, Anouk, mère de son ami d'enfance Alexis est décédée. Cette femme a beaucoup compté pour lui en raison de son côté non conventionnel, son humanité et son affection.
A partir de ce moment Charles va plonger dans ses souvenirs et commence pour lui une période qui semble nécessaire pour retrouver son âme perdue de travailleur acharné qui m'a semblé en plein burn-out, terme non employé au moment de la parution du livre en 2008.
J'ai trouvé cette partie du roman un tantinet trop longue.
Il faut dépasser la page 300 pour voir arriver un changement dans la vie de Charles.
A ce moment, il retrouve le fils de la voisine, Alexis, qui a quitté Paris, vit à la campagne avec sa famille dans un milieu très proche de la nature.
La vie de Charles va changer. Il était temps pour la lectrice que je suis et pour lui...
Le style d'Anna Gavalda est un peu différent du premier livre que j'avais lu d'elle "Ensemble, c'est tout", plus original dans la construction de phrases, moins fluide.
Pas question de passer une ligne car l'auteure change de scène et de personnage en deux temps, trois mouvements. Cette écriture surprenante m'a beaucoup plu.
L'auteur glisse très souvent un humour que j'ai bien apprécié et des références musicales proches de mon registre connu.
Une lecture bien agréable.
Le personnage de Charles est attachant, surtout dans son évolution : c'est une condition indispensable pour que j'aime un livre qui compte quand même 635 pages.
C'est dire si on passe un petit temps ensemble.

Challenge pavés 2018
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C'est un livre dont tout le monde a parlé et depuis longtemps (il est sorti en 2008)
Et c'est un livre finalement plus compliqué que prévu, sur un thème qui apparaissait en réalité assez simple.
Il est compliqué en raison du nombre et de la personnalité des personnages, du style employé et de la structure de l'ouvrage choisie par l'auteur.
Il faut arriver à la seconde moitié du livre pour se dire qu'il y a en fait, un véritable récit, puis comprendre que le style « décomposé » du début a un sens si on le relie au sujet.
Cette lecture n'est pas vraiment évidente immédiatement et cela peut décourager (mais j'ai horreur d'abandonner un livre en cours de lecture – Cela n'a du m'arriver que deux fois, et j'en ai toujours été culpabilisé…)

Sans entrer dans le détail, l'histoire conte le destin de Charles Ballandra , quarante sept ans, architecte doué et bourreau de travail, un peu sous la coupe de son associé, et dont la vie professionnelle et sociale correspondent à son statut officiel, qui va après quelques infos qui l'obligent à remonter dans ses souvenirs, se trouver déstabilisé.
Il rencontrera une Anglaise, plus jeune, un peu écolo, baba-cool, qui s'est retirée à la campagne avec plein d'enfants et d'animaux.

En ce qui concerne le thème, on est en pleine exploration de la crise de la cibnquantaine (Il parait qu'elle exxiste !) avec des souvenirs qui nous ramènent à des films comme « le lauréat (1967 de Mike Nichols) et en lisant certains passages on n'est pas loin d'entendre Simon and Garfunkel chanter « Mrs Robinson »
Ces souvenirs, chez Charles Ballandra vont conditionner la seconde partie du récit, avec une rencontre qui va aider chacun à se rassurer sur sa capacité à plaire, puis se transformer en véritable rencontre amoureuse, qui change une vie et remet en cause tout un passé.

Quant au style, alors là il y a beaucoup à dire . J'avoue que quand j'ai jeté un oeil à mes notes à la fin de ma lecture, 90% d'entre-elles étaient relatives au syle de l'auteur.
Pour le moins, le début du livre est déroutant. On ne sait jamais de quel personnage on parle, on saute de l'un à l'autre, d'une époque à une autre, sans indication. Il n'y a pas de pronoms (Il, elle….).
Les verbes, quand ils existent, n'ont pas de sujets…
Si, dans nos écoles, nous avions écrit comme cela, le résultat aurait été cuisant ...
Mais on comprend peu à peu que le style choisi accompagne l'époque relatée.
On a en gros 300 pages d'exposé du problème et de la déstabilisation de Charles, puis 300 pages d'ébauche de solution, d'évolution vers des équilibrages avec leurs difficultés ou leurs plaisirs associés.

Les gens qui parlent de ce roman, varient dans le choix de leurs qualificatifs de « Magnifique » à « déstabilisant », « décousu », voire « lourd ».
C'est bien le signe d'un livre qui ne laisse pas indifférent.
J'avais tant aimé les nouvelles de « Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part », que j'ai eu du mal à aborder ce roman. Cependant je suis loin d'être dégoutté de Gavalda et j'en lirai certainement d'autres.
Je sors pourtant de cette lecture avec un sentiment mitigé, et je me dis que tous les qualificatifs employés par les lecteurs sont en effet justifiables.

Et il est bien intéressant que certains auteurs prennent des risques en faisant des essais d'écriture nouvelle.
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J'aime passionnément, viscéralement, tout ce que j'ai lu d'Anna Gavalda à ce jour. Et la consolante, que j'ai mis tant de temps à ouvrir ne viendra pas démentir cette phrase-étendard.
J'avais tellement peur d'être déçue que je ne l'avais pas encore lu et je tournais d'autres pages en passant régulièrement devant. La couverture me déplaisait, sa couleur me déplaisait et les avis mitigés de lecteurs avec lesquels j'avais tant partagé sur Ensemble c'est tout, me déplaisaient également. Donc, je restais neutre : pas lu, pas déçue.
Une attitude qui me permettait de ne pas rentrer dans ce grand débat sur tout ce qu'ils pouvaient montrer du doigt en frappant du poing sur la table : « Mais c'est quoi ce style ? », « Ils sont passés où les pronoms personnels, les sujets ? », « C'est quoi ce délire ? », « Et cette ménagerie ? », ... et également (on ne peut pas gagner sur tous les fronts) sur tout ce qui les laissait « baba » devant la Gavalda. Anna c'est ça aussi...

Alors, avec 7 ans de retard, je peux prendre part au débat et affirmer que :

- Oui, c'est déstabilisant tous ces verbes sans sujet : On vient buter dessus comme sur une coquille dans le corps du texte, on s'y fait quand ils s'enchaînent et rebelote après quelques pages de sevrage, (et il n'y en a pas beaucoup... de pages de sevrage), c'est reparti, ça bloque... alors on s'habitue car on a cerné Charles et on comprend mieux l'absence de ces deux petites lettres : « IL » et on trouve cela un rien « chiadé » !
- Et bien si, une ménagerie pareille ça peut exister dans une vie ! Ce n'est pas pour rien, que j'ai mis quinze ans à prendre un malheureux matou...
- Si vous n'avez pas encore rencontré votre Anouk, bah, j'y suis pour rien, moi ! La mienne dort en paix...
- ... Par contre une assistante sociale comme cela, je pense pas... (Dîtes-moi que je me trompe, cela me fera tellement de bien)
- Et cette dédicace...

Des Charles, Laurence et Corinne, il y en a des tonnes, sans compter les Alexis... Combien de vies, nous faudrait-il pour les rencontrer tous ? Je ne sais... mais une chose, est sûre, on en a tous croisé certains et beaucoup de situations ont cet arrière goût de vécu, en mieux, en pire, en couleurs ou sans, mais elles ont cette petite chose qui fait qu'on peut se dire, « Moi aussi »...
Dire cela, c'est si peu faire oeuvre de critique littéraire constructive.
Dire cela, c'est tellement réducteur, nombriliste, universellement pansement guimauve et... et à la fois, tellement ça !

Il n'y a que peu d'auteurs avec lesquels j'ai vraiment l'impression d'être « connectée » : Annie Saumont, Anna Gavalda en font parties. Je ne sais pas expliquer pourquoi, - et je m'en fous royalement -, mais ce que je sais, c'est que ces deux femmes sont capables de me faire passer du rire aux larmes en moins de temps qu'il me faut pour tourner une page et à chaque fois qu'un nouveau livre pointe le bout de son nez sur les rayons de ma bibliothèque, j'ai les boyaux qui se tordent, le coeur qui palpite et l'angoisse qui fait son nid, tellement j'ai peur que cette fois-là ! Ce ne soit pas le cas...
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Mon avis : Il y a déjà pas mal de temps que j'ai lu ce livre puisqu'il m'avait été prêté par une amie peu après sa parution. L'année d'avant, j'avais lu et beaucoup apprécié "Ensemble c'est tout" ; je m'étais attachée à ses quatre personnages et à leur histoire, j'étais donc bien décidée à faire un petit bout de chemin avec Anna Gavalda. "La consolante", un titre comme une promesse, à mes yeux en tous cas. Pourtant, le début de ma lecture m'a paru fastidieux, je n'arrivais pas à suivre, j'avais l'impression de ne pas parvenir à accrocher, ni même de comprendre où Charles Balanda voulait me mener... J'accroche, j'accroche pas ? Je continue, je continue pas ? Et bien, croyez-moi si vous voulez, au moment où je fermais le roman pour le ranger, je n'ai pas pu : j'avais dû lire une phrase de trop, peut-être un seul mot de trop, et je ne pouvais plus quitter le personnage torturé dont je venais de faire la connaissance... Aucun regret, si ce n'est celui du mot fin, et pourtant je ne suis pas une adepte des trilogies (voir plus)... peut-être par peur d'être déçue par le tome deux d'une histoire que j'ai particulièrement aimée, pire encore, par peur de ne pas retrouver le lien qui m'unissait aux personnages. C'est de cela que je voulais témoigner aujourd'hui... si vous êtes un peu désarçonné au début, vous trouverez peut-être cette fameuse phrase clé qui fait que, quatre ans après, je me souviens encore précisément des sensations de cette lecture.
Public : roman pour les adultes.
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critiques presse (1)
LaCroix
02 juin 2017
Dans son nouveau recueil de nouvelles, l’auteur de « La Consolante » est la messagère de personnages désemparés qui remontent la pente en quelques heures.
Lire la critique sur le site : LaCroix
Citations et extraits (246) Voir plus Ajouter une citation
J'ai beaucoup de facilité à parler des livres que j'aime, mais il en est pour lesquels je reste plutôt muette tant ils font partie intégrante de moi, tant j'ai de pudeur à les exposer pour éviter qu'ils soient écorchés, raillés, abimés par d'autres. Il y en a peu. La Consolante de Anna Gavalda en fait partie. Je le garde près de mon lit, jalousement, je ne le prête jamais, mais je l'offre.
Comment parler de ce livre sans évoquer le fil à plomb, celui qu'on utilise pour descendre tout au fond de soi, pour mieux se connaitre et s'introspecter ? Mon compagnon cherche à savoir pourquoi ce livre, pourquoi cette histoire bancale m'a autant prise, autant touchée. Je cherche aussi. Dans ma seconde lecture assidue, je suis confirmée dans mes pensées intimes : ce livre c'est moi sans que je ne sois encore parvenue à savoir pourquoi. Suis-je Charles, ce quinquagénaire qui a pris la mauvaise direction de sa vie, abandonnant la Madone de son enfance à la vieillesse et à la solitude ? Suis-je Anouk, la Madone, celle qui aime tant qu'elle finit par se détruire et mourir abandonnée de tous ? Suis-je au contraire cette nouvelle vie qui se dessine pour Charles lorsqu'enfin il fait le choix de réapprendre à vivre en s'écoutant vraiment ? Peut-être un peu de tout ça en même temps... Le style est haché, parfois difficile à suivre, il faut entrer dans les méandres de la pensée de Charles pour s'en dépatouiller, c'est bourré de tas de clins d'oeil aux années 70, les phrases ont souvent oublié les pronoms ou les sujets mais on s'en fout, c'est remarquablement bien écrit, original, sans égal dans la littérature contemporaine que j'affectionne particulièrement.
La Consolante c'est le livre d'une vie d'amour fou entre Anouk, une femme-enfant et deux garçons : le sien, Alexis, qu'elle élève seule comme elle peut, et le petit voisin, Charles qui grandit avec eux et partage leur quotidien, fuyant sa propre famille rigide et convenue. Lorsque des années plus tard, Charles mène une vie d'architecte où aucune place n'est laissée au plaisir et au bonheur, il reçoit un message sibyllin l'informant qu'Anouk est morte. Et c'est à partir de ce moment que sa vie va prendre une tout autre tournure. Il va rembobiner l'histoire, se la repasser en boucle jusqu'à ce qu'elle la mène devant l'entrée d'un jardin d'Eden...
Finalement, en écrivant ces mots, je me dis que nous avons tous droit à une seconde chance, à rattraper le temps perdu, à retrouver notre véritable chemin, celui de nos rêves d'enfant ou tout au moins ce qui s'en approche le plus. Ce qui nous manque le plus souvent c'est le courage pour y parvenir...
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[...] A quoi ca sert de faire des mômes s'ils n'ont pas le droit de te parler de leurs amours quand ils sont grands, hein ? (...) Hein ? Et qu'est ce qu'il reste alors ? Qu'est ce qui nous reste si on ne parle pas d'amour ou de plaisir ? Nos feuilles de paye ? La météo ? (...) Les enfants, c'est la vie, merde ! Et c'est parce qu'on a baisé nous aussi qu'ils sont là, non ? Et qu'est ce qu'on s'en fout des papiers du sexe de l'autre ? Deux garçons, deux filles, trois garçons, une pute, un gode, une poupée, deux fouets, trois menottes, milles fantasmes, il est où, le problème, là ? Il est où ? C'est la nuit, non ? Et la nuit, il fait noir ! C'est sacré, la nuit ! Et même le jour, c'est... C'est bien aussi...

Elle essayait de sourire et se resservait à boire entre chaque point d'interrogation. [...]
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C'était... Il aurait bien été incapable de l'expliquer... Comme une lumière... Comme si la certitude de savoir qu'elle existait, même loin de lui, même en dehors de lui, suffisait à l'apaiser. Bien sûr, nourrissait des pensées plus... incarnées quelques fois, mais pas tant que ça... Fanfaronnait quand il rêvait de jouer aux Petits Beurres avec elle. En vérité, se sentait... comment dire... impressionné peut-être... Oui, allez... va pour impressed. Elle avait eu beau tout faire pour n'en être pas tributaire, transpirer, roter, l'envoyer chier en levant sa bague, bouder, râler, jurer, se moucher dans sa manche, boire like a fish, violer l'Education nationale, baiser les services sociaux, fustiger ses rondeurs, ses mains, son orgueil, se dénigrer souvent et l'abandonner sans le moindre adieu, cet adjectif lui allait bien.

C'était idiot, c'était dommage, c'était inhibant, mais c'était ainsi. Quand il pensait à elle, concevait un monde, plutôt qu'une femme cicatrisée en étoile.
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Voilà 15 ans que l'on m'expliquait, deux jardins plus loin, que la vie n'était qu'une succession de devoirs et de flagellations en tout genre. Que rien n'était acquis, que tout se méritait, et que le mérite, parlons-en !était devenu une notion bien hasardeuse dans une société qui ne respectait plus rien, pas même la peine de mort. Alors que vous. Vous... Je souriais parce que votre frigo toujours vide, votre porte toujours ouverte, vos psychodrames, vos combines à la noix, votre philosophie de barbare, cette certitude qu'il n'y avait rien à thésauriser ici-bas et que le bonheur , c'était ici et maintenant, devant une assiette de n'importe quoi du moment qu'elle fût attaquée de bon coeur, me prouvaient exactement le contraire.
Pour Anouk, notre seul mérite, c'était de n'être ni mort ni malade, le reste n'avait aucune importance. Le reste suivrait. Mangez les garçons, mangez, et toi Alexis, arrête deux minutes de nous casser les oreilles avec tes couverts, tu as toute la vie pour faire du bruit.
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- Mais tu l'aimais d'amour ? avait-elle fini par lui demander.
Et, comme il n'avait pas répondu immédiatement, cherchant un autre mot, plus juste plus précis moins compromettant, entendit son grognement désabusé lui donner la baffe qu'il attendait depuis plus de vingt ans pour pouvoir revenir à lui :
- Ben oui, j'suis conne, moi... De quoi d'autre peut-on peut aimer ?
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Bande Annonce du film, Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (2020), adaptation du roman d'Anna Gavalda.
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