Avec la série Seuls, on ne s'ennuie jamais, c'est facile à lire, détendant et en même temps très intéressant. Autant j'avais eu un peu de mal avec les 4 premiers tomes, je trouvais ça un peu trop pour petit, autant depuis la fin du premier cycle, la série à franchi un cap.
Ce septième tome continue donc sur ce qui a été mis en place depuis le tome 5. Les choses sérieuses ont vraiment commencées, et même si l'humour est toujours présent, les gamineries ont presque disparues, ce qui n'est pas plus mal.
L'apparition de la mystérieuse brume, des zombies et la ville qui s'enfonce permet de nombreuses scènes d'action, certaines un peu flippantes par moment, avec l'homme des miroirs.
Sans être scotché pendant la lecture, je dois avouer que je prend de plus en plus de plaisir et j'espère que l'auteur sait ou il va, car les mystères sont nombreux, mais les résolutions, ou les explications, sont elles bien plus rarissime.
Allez, j'enchaine sur le tome 8 !
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Ouais, là, ça commence vraiment à devenir de plus en plus zarb' mais j'aime bien. Ici, les deux clans ont enfin compris qu'ils devaient unir leur force si ils ne voulaient pas mourir une deuxième fois et passer de l'autre côté de la barrière et pour tout dire, il y a comme une certaine urgence car ils se retrouvent coincés en plein coeur de la ville avec devinez quoi cette fois-ci...des enfants zombifiés ! Comment le sont-ils devenus ? le lecteur l'ignore encore et y a -t-il un moyen de les faire redevenir tout simplement morts ? Aucune idée ! Ce que les enfants survivants (enfin si l'on peut dire cela comme ça, disons ceux qui n'ont pas encore été contaminés) doivent à tout prix rejoindre l'autre côté de la barricade ! Un gros problème, cependant, celle-ci devient de plus en plus haute et à partir d'une certaine limite, plus aucune onde ne passe et les autos n'avancent plus !
Saul et Dodji vont-ils arriver à mettre leur hostilité de côté pour réussir à s'allier et tenter de sauver les membres de leurs anciens clans ?
Un graphisme toujours aussi bien travaillé et une histoire, qui, je dois le reconnaître, tient encore la route et donne envie d'en savoir toujours plus ! A découvrir !
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Avec ce tome 7, j'ai envie de dire qu'on rentre dans le vif du sujet !
Finie la petite guéguerre entre clans, il va falloir s'unir pour affronter des dangers bien plus terribles que ceux imaginés par ces chers ados..
La zone rouge s'étend et avec elle, de mystérieux changements apparaissent.
Un album, un peu flippant, qui donne à cette série un caractère beaucoup plus "science-fiction" que les autres et un peu moins "bon enfant".
Cette BD pour la jeunesse a le mérite de me tenir en haleine. Elle se lit facilement et se distingue par son rythme trépidant et par son mélange subtil de suspense et d'humour.
La fin du tome 7 marque indéniablement un tournant certain dans le scénario. Espérons que ce dernier ne s'englue pas trop dans de sombres limbes ...
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Ce septième album (déjà...) fait honneur à la série qui parvient à se renouveler autour d'un scénario solide. Cette fois, la frontière entre les deux clans d'enfants bouge et se déplace entre un groupe touché par une mystérieuse "maladie" qui les transforme en zombies et ceux qui tentent de résister à cette épidémie (mon dieu, comme c'est d'actualité...) en tentant de fuir la zone rouge. Cette fuite n'est cependant pas sans mal puisque cette dernière s'enfonce dans le sol et se retrouve cernée d'imposantes falaises. On sent que l'immeuble noir est le l'épicentre du phénomène sans savoir pour autant le rôle qu'il joue vraiment. le mystère des familles même si la fin de l'album avec ces enfants qui ressemblent à des adeptes d'une secte menée par un petit Napoléon laisse à penser que nous en apprendrons plus prochainement. Chez les enfants, les rivalités s'affirment entre Saul et Dodji, même s'ils font alliance pour els circonstances. Les rapprochements s'opèrent aussi entre filles et garçons.
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Refusant les schémas classiques habituels, Seuls a choisi une voie que d’autres séries à grands succès tels que Harry Potter ont récemment empruntée: accompagner une génération de lecteurs en leur proposant des héros évoluant au même rythme qu’eux.
Lire la critique sur le site : BDGest
Le scénario extrêmement sombre renvoie à la fragilité de la vie et de l'amitié. Le dessin joyeux de Gazzotti, typique des gros nez de l'Ecole belge, est noirci par la sauvagerie primitive du récit de Vehlmann.
Lire la critique sur le site : LeSoir
Une intrigue qui traîne un peu en longueur, attention à ne pas perdre des lecteurs en route ! Une consolation néanmoins, Seuls reste un petit bonheur graphique.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
Ce septième tome n'est pas mauvais et continue d'intriguer ce qui est bien là le principal. Mais il ne faudrait pas que Fabien Vehlmann s'enfonce dans un scénario trop alambiqué qui prendrait alors une tournure qui pourrait virer au ridicule.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Un tome qui se révèle être encore une fois une très bonne surprise et qui ravira sans problèmes les fans de la première heure.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Lointainement inspiré par Sa majesté des mouches de William Golding, cette bande dessinée fantastique est riche de méandres psychologiques surprenants. Le tome 7 qui vient de paraître est particulièrement angoissant : il fait honneur à cette série qui ne faiblit pas !!!
Lire la critique sur le site : Actualitte
Un petit goût de too much dans la 7e livraison de Seuls. L’intrigue balance entre plusieurs pistes et joue la carte des scènes de bravoure à répétition. Mais la mécanique tient bien la route : les personnages, notamment les filles, gardent tout leur charisme, et les joutes entre enfants sonnent justes dans ce contexte.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
- Tu sais, la physique quantique, c’est là où il y a cette expérience avec un chat dans une boite, et à la fin, le chat est ni vraiment mort ni vraiment vivant !
- Un chat ni mort, ni vivant ?!
- Un peu comme nous, quoi ! C’est une bonne piste à suivre non ?
- Donc on serait comme des chats zombies télépathes perdu dans la quatrième dimension et demie ?
- Euh…si tu veux…
- Finalement, j’aurais mieux fait de rien te demander.
-Donc, on serait comme des chats zombies télépathes perdus dans la quatrième dimansion et demie ?
-Euh... si tu veux.
-Finalement, j'aurais mieux fait de ne rien te demander.
- Donc, on serait comme des chats zombies télépathes perdus dans la quatrième dimension et demie ?
- Euh... si tu veux.
Je venais souvent jouer dans ce square quand j'étais petite.
- Et alors, , c'est émouvant de revenir ici après toutes ces années ?
- Ma foi... mis à part l'ambiance un peu plus gothique et les enfants zombies cachés dans la brume, non, rien n'a changé, Yvan.
"_J'ai donc un paradoxe temporel à résoudre...mais à l'échelle quantique, certains processus semblent pouvoir "remonter le temps", donc je me dis que...
_A l'échelle quoi ? ...J'te suis plus, là !
_Mais si, tu sais, la physique quantique, c'est là où il y a cette expérience avec un chat dans une boîte, et à la fin est ni vraiment mort ni vraiment vivant !
_Un chat ni mort ni vivant ?
_Un peu comme nous, quoi ! C'est plutôt une bonne piste à suivre, non .
_Donc, on serait comme des chats zombies télépathes perdus dans la quatrième dimension et demi ?
_Euh...si tu veux."