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Les chasseurs de sève , est un véritable livre univers pas très long mais bien solide de ce point de vue.
Si ce n'était le talent précoce de l'auteur pour brosser des personnages denses . On pourrait affirmer que l'univers est le personnage principal du roman et si on le faisait ; la réponse serrait que : c'est vrai (sourires) .
Mais les aventures des personnages du roman sont incontournables .
Si la dimension tragique et la survie compromise animent la trame narrative et si sa finalité tragique est la survie . Cette trame est avant tout une démarche d'exploration . Des découvertes que font les lecteurs et les principaux personnages qui animent ce texte.Alors oui , il y a du tragique , l'arbre univers immense , situé sur un monde où cet arbre est le grand écosystème local ( pour l'habitat et la nourriture ) . Des Pans entiers de l'arbre se meurent par secteurs et ne donnent plus de sèves ( à l'arbre comme à ses habitants) .
Cette ressource nourricière est indispensable nombreux sont les clans humains qui se perdent en conjectures sur les causalités de cette sorte d'apocalypse lancinante.
Les clans se lancent dans une farouche compétition et nos chers amis , eux se lancent dans une quête exploratoire dangereuse et étonnante.
Le texte est une ballade pour voir du pays avec une curiosité qui est souvent stimulée et sollicitée L'histoire est bien structurée mais elle n'a rien de vraiment fascinant . C'est donc à mon humble avis un roman dédiés aux amateurs d'univers , qui en auront assez pour satisfaire leur désir de dépaysement.Les textes de l'auteur sont souvent dénonciateurs des intérêt coloniaux de grandes entreprises détentrices de vastes monopoles . Dans ce texte où le monde et ses habitants sont bouleversés et menacés de mort , les peuples et les voyageurs sont contraints de faire des impasses sur leurs préjugés et sur la prétention universelle de leurs croyances . Les personnages y parviennent plus ou moins et c'est la matière de ce roman ou la route est étonnante et où la nécessité fait loi .Un univers à la hauteur de ceux de Aldiss ou de Vance , ou encore du roman , La pierre de rêve , sans l'ombre d'un doute.
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Nous avons là une réédition (remaniée et complétée) chez Critic d'un roman publié pour la première fois en 1994. L'auteur a voulu faire une version canonique de son histoire.

Nous suivons Piérig, un arpenteur de gouffre et un sourcier de sève, dont le famil a été entièrement détruit par un clan rival. Il se fait capturer et apprend que c'est pour obtenir son expertise que les Chasseurs de sève l'ont fait prisonnier. En effet, l'arbre se meurt, la sève se tarit et devient un véritable poison par endroits. C'est la fin de leur monde. Mais Piérig a assisté à la destruction des siens et n'a rien à perdre...
L'univers décrit par Genefort est un arbre-monde, avec sa faune, sa flore, ses rivières de sève et ses branches si vastes qu'il faut plusieurs jours pour atteindre le tronc depuis les extrémités.

Je ne conseillerai pas cette lecture à ceux qui n'ont jamais lu de roman de Laurent Genefort, sous peine d'être à jamais dégoûté. Beaucoup de descriptions, beaucoup ! de nombreux mots inventés pour nommer les différentes espèces végétales et animales, (si vous n'êtes pas prêts à rencontrer quinze nouveaux mots par page, laissez tomber). Une intrigue linéaire se composant d'une longue marche vers la vérité. Bref, si vous n'êtes pas familier avec les genres de la science-fiction et de la fantasy, ce roman n'est pas nécessairement la porte d'entrée idéale.

Si au contraire, vous aimez Genefort, si le mystère des Portes de Vangk vous titille, si votre imagination est prête à se représenter un monde qui n'a absolument rien de commun avec ce que vous connaissez, alors lisez ce livre.

Ce roman est court et rythmé, il se lit très bien. Mais franchement, si vous souhaitez découvrir l'oeuvre de Laurent Genefort, moi je vous conseille "Omale".
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« Les Chasseurs de Sève » a été initialement publié chez Fleuve Noir. Pour la présente édition, chez Critic, Genefort a remanié le texte afin, comme il le dit dans la postface, d'en « offrir une version canonique ».

Nous y découvrons l'Arche : imaginez un arbre si gigantesque qu'il contient tout un monde, que chaque branche, à dire vrai, contient tout un monde avec ses peuples, langues, cultures, faune et flore. Si la majorité de l'Arche est peuplée d'humains, la Voute (la canopée) est le domaine des antropes (des hominidés entre l'homme et le singe).

Chaque peuple a son mythe pour expliquer comment l'Arche fut créée mais tous s'accordent à dire que sa fonction première et de pourvoir aux besoins des hommes. La sève, qui l'irrigue, est une matière première essentielle dont les clans tirent maintes substances. Ceux qui ont le don de trouver les bons filons sont des êtres particulièrement respectés.

Le récit suit les aventures de Piérig, qui possède ce don et qui, rescapé du massacre de son clan, se voit contraint de collaborer avec les responsables de la tuerie, dans le but de répondre à cette question : pourquoi la sève semble être en train de pourrir ?

Les amateurs de l'oeuvre de Genefort ne manqueront pas de faire la comparaison avec « le Sang des Immortels », pour l'aspect foisonnant et végétal de l'univers proposé et pour le fait que le faire découvrir au lecteur est l'ambition première. Car finalement, c'est bien l'Arche qui est au centre du propos. La quête de Piérig n'est qu'un prétexte pour balader le lecteur en son sein, et même au-delà, sur Ventremonde (là où s'enracine l'Arche).

C'est dommage d'ailleurs, que la seconde partie, qui nous permet d'entrapercevoir ce monde radicalement autre (et qui fournit les réponses aux questions qui se posent) soit si courte. La confrontation entre ces altérités si différentes aurait été intéressante à développer. D'une manière plus générale, je pense que Genefort tenait là la matière à un planet opéra du calibre d'Omale.

Mais au final, il reste une balade sympathique, l'auteur étant assez doué pour imaginer des formes de vie originales mais qui s'assemblent bien dans un tout cohérent. Dommage quand même qu'il ne porte pas autant d'attention à l'ethnologie qu'à l'écologie et à la biologie.
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Je classerais plutôt ce livre dans la catégorie "Fantastique", nous sommes sur un monde résolument hostile peuplé de clans ayant chacun leurs croyances, leurs dieux et surtout leurs vérités érigées en dogmes.
Le monde de Pierig se meurt et il va se retrouver à son corps défendant entraîné dans une quête en sa qualité de sourcier, contraint d'accompagner ses ravisseurs qui n'ont pas hésité à massacrer son clan pour s'attacher ses compétences, il s'agit ni plus ni moins que de savoir pourquoi les dieux les ont semble-t-il abandonnés.
C'est le début d'un long périple, semé de dangers et riche en échanges et confrontations, les différences de cultures et de croyances étant sources de débats et de contradictions, j'emploi le terme de quête, car à l'instar d'un pèlerinage, le voyage remettra bien des choses en questions pour nos quatre voyageurs.
Un bon récit bien maîtrisé, des dialogues intéressants et ma foi un livre qui se laisse lire, j'ai bien aimé l'ensemble.
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J'ai découvert Laurent Genefort avec sa trilogie de Space Opera : Spire. Je suis passé ensuite un petit Planet Opera : Arago. Alors quoi de plus logique de profiter de la réédition chez Critic des Chasseurs de sève pour continuer la découverte de cet écrivain français prolifique... que je ne connaissais pas il y a seulement un an et demi.

J'ai aimé cette histoire de monde en pleine transformation. Nous sommes loin d'un monde technologique, même s'il est dit (vers la fin) que les humains de cette planète sont des colons « oubliés » là depuis belle lurette. Malgré ce contexte, ce roman relève de la fantasy. Aucune technologie d'un niveau supérieur à l'âge de pierre. Des cultures donc très archaïques. J'ai quand même eu un peu de mal avec cet arbre monde, tellement immense que les habitants d'une branche n'ont pas connaissance de ce qu'il se passe sur une autre. Des branches tellement énormes qu'on y trouve des forêts. Et pourtant la lumière semble y pénétrer largement. Étrange.

Un élément de la narration peut perturber le lecteur : la différence du contexte oblige l'auteur à décrire chaque plante, chaque animal, chaque lieu. du coup, cela donne au récit un air d'encyclopédie. Ce qui ne plaît pas à tous les lecteurs. J'ai pu le noter en lisant certaines chroniques.

En bref : Un court roman racontant une quête : Comprendre ce qui arrive au monde alors qu'on ne le connaît pas, qu'on a des croyances incompatibles avec ce qu'on va découvrir. Un bon moment de lecture que je n'ai malheureusement pas pu faire autrement que d'entre-couper par d'autres.
Lien : http://livres.gloubik.info/s..
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Sur une planète des Confins, des humains ont élu domicile dans l'Arche, un arbre-monde, depuis bien longtemps. La sève constitue une ressource majeure sans laquelle ni l'arbre ni ses habitants ne peuvent survivre. C'est ce qui conduit les différentes communautés, ou famil, à se livrer une guerre sans merci afin d'en posséder l'exclusivité. Dans son famil, Piérig est sourcier. Depuis quelques temps, la mauvaise qualité de la sève le soucie. L'Arche serait-elle en danger ? L'arbre-monde est-il en train de rendre l'âme, menaçant ses habitants ? Un conflit éradique le famil de Piérig qui est capturé. Ses ravisseurs l'obligent à conduire une expédition en compagnie de trois des leurs : Juse, le joueur de flûte, Aksêl, le guerrier et Reva, femme aussi belle que fanatique. Piérig est torturé par un dilemme : venger son famil disparu ou s'allier à l'expédition pour sauver le monde…

J'ai pu lire « Les Chasseurs de sève » grâce à une opération « Masse critique ».

Dans le vaste monde des littératures de l'imaginaire, Laurent Genefort fait figure d'auteur français prolixe et reconnu. « Les Chasseurs de sève » a été édité pour la première fois en 1994. Dans une « note savanturière » qui fait suite au roman, l'auteur donne quelques précisions quant à la genèse de ces « Chasseurs de sève » et souligne que la présente version, séparée de la première par un quart de siècle, a été revue et corrigée.

L'intrigue est constituée par des éléments d'une facture classique : un monde extra-ordinaire, doté de lois et de contraintes propres, abrite en son sein des habitants qui ont dû développer un mode de vie particulier et des croyances, érigées en mythes, afin de survivre. Tout en donnant sens au monde environnant, cette mythologie enferme aussi les hommes en générant des tabous. Quand un problème vient menacer l'existence de l'arbre-monde, ses habitants sont contraints à élargir leur horizon pour survivre, au risque de braver des interdits séculaires.

Malgré une trame classique, on est emporté d'emblée dans cet imaginaire qui fascine : porté par un style brillant, les paysages sont décrits de façon grandiose, des inventions lexicales fabuleuses sur la sève, la flore et la faune ponctuent la quête et le voyage de la mission ; au long de la pérégrination des protagonistes, qui cheminent aux confins du monde connu, à la rencontre de leurs peurs les plus viscérales, l'action et le suspens de la recherche sont bien articulés à l'analyse de leurs relations.

L'écriture soignée de l'auteur, ourlée de nombreuses métaphores végétales et animales, donne à l'arbre-monde une poésie et une ampleur particulière. Et quand, quittant le gouffre vert, Piérig s'enfonce vers ventremonde, c'est une nouvelle ère qui s'ouvre…

« Les Chasseurs de sève » offre l'occasion d'un extraordinaire voyage sur une planète des Confins, à hauteur d'hommes.
Je tiens à remercier Babelio et les éditions Critic de m'avoir offert ce très beau périple.
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Mon avis :
La science-fiction est un domaine qu'on a parfois du mal à définir, tant il est riche de sous-genres… Les classements d'aujourd'hui ne simplifient pas le tri. Pour certains livres, le mot science paraît même abusif, tant le thème abordé en est dépourvu.
Avec Les chasseurs de sève, nous sommes tout à fait dans ce cas de figure : l'auteur nous emmène dans un monde inconnu, une planète lointaine où nos repères habituels n'ont plus leur place. C'est un univers où la technique est réduite à sa plus simple expression et ne sert pas le récit. Nous sommes plus proches de l'heroic fantasy que de la S.F. ! Plus proche d'un Terry Pratchett que d'un Arthur C. Clarke. Nous sommes en plein dans la littérature de l'imaginaire.
J'ai souvent croisé des lecteurs qui fuient ce genre d'écrits. Ils ont besoin de réel, de concret, et tout ce qui sort de la réalité telle qu'ils la connaissent les effraie. Personnellement, je trouve qu'ils perdent quelque chose, à se détourner de cette forme d'expression littéraire. Les mondes oniriques où nous invitent des auteurs comme Laurent Genefort sont autant de paraboles pour nous permettre de mieux appréhender notre société, et ne sont finalement que les descendants des contes de fées de notre enfance. La littérature de l'imaginaire existait bien avant qu'on la nomme « Science-fiction ». Les voyages de Gulliver en était déjà, et bien avant, Lucien de Samosate ou Cyrano de Bergerac ont fait le récit de voyages interplanétaires (il s'agissait dans ces deux cas de récits satiriques, mais cela ne change rien).
Dans son arbre-monde, l'auteur décrit une catastrophe naturelle et, à travers des personnages qu'on pourrait considérer comme primitifs, il explore l'influence de nos croyances sur la façon dont on fait face à une situation extrême. Pour cela, il entraîne le lecteur dans une quête où les pièges sont nombreux et le danger omniprésent. Pour nous décrire ce monde imaginaire, plutôt que d'user de noms compliqués sortis de nulle part, Laurent Genefort choisit d'utiliser des consonances proches de ce que nous connaissons, ce qui rend la lecture plus fluide grâce à une mémorisation plus aisée de l'appellation des éléments (objets, végétaux, animaux, etc) qui le forment.
Les multiples rebondissements et la richesse de cet univers font de cette aventure un agréable moment de lecture, auquel vient s'ajouter la saveur d'un fond véritablement engagé. N'oublions pas que ce livre a été écrit au début des années 90, dans une période où les mouvements extrémistes multipliaient leurs actions, en Europe comme en Afrique du Nord. La question de la confrontation des croyances est toujours d'actualité, ce livre aussi, par la force des choses.
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--- Un roman, vous êtes sûr ? Plutôt une encyclopédie ! ---

Ce fut le plus gros point noir de cette lecture : les détails sur l'univers. Celui-ci est incroyablement riche, extraordinairement dense grâce aux efforts répétés de l'auteur. Pour moi, la priorité de ce dernier était d'en décrire chaque particularité (les espèces végétales et animales, les différentes essences de sève et leurs propriétés, les us et coutumes des clans…).

En consultant la liste des ouvrages écrits par Laurent Genefort, je me suis aperçue qu'il se considérait avant tout comme un auteur de science-fiction. Or, pour moi, Les chasseurs de sève s'apparente davantage à de la fantasy. Cependant, les inclinaisons de l'écrivain sont clairement visibles ; il a développé son univers avec une méticulosité qui confine à l'obsession. Il a notamment inventé quantité de mots pour décrire les diverses sortes de sève et autres éléments naturels. Malheureusement, ce flot d'informations, pour le moins indigeste, m'a perdue. Pire, il m'a ennuyée !

Pourtant, ç'aurait pu être passionnant de suivre Piérig dans sa mission de sauvetage. Non, plus exactement, ça l'était à certains moments, mais ces moments étaient bien trop rares.

Je me rends compte que ce constat est assez ironique ; d'habitude, je déplore le manque d'approfondissement de l'univers dans mes lectures. Or, ici, c'est l'exact contraire…

--- La différence au coeur du récit ---

Même si je n'ai pas apprécié cette lecture, je lui reconnais un message profond sur l'acceptation de la différence. En effet, vivent dans l'Arbre-Monde de nombreux clans qui, tous, ont leurs propres croyances, leur propre interprétation du monde.

Lorsque Piérig échange avec ses ravisseurs, il constate qu'il est en désaccord sur des préceptes qui constituent le fondement même de son existence. Toutefois, il est suffisamment intelligent pour se poser les bonnes questions et comprendre ce qui les réunit : leur humanité. Son évolution fut ainsi spectaculaire, et j'ai trouvé cet aspect de l'histoire totalement fascinant.

En outre, Laurent Genefort a un talent certain pour creuser ses personnages en très peu de pages. Il faut dire que ceux-ci n'étaient pas nombreux. Malheureusement, mon intérêt ayant progressivement diminué, je ne me suis attachée à aucun d'eux, pas même à Piérig qui tente, malgré tout, de sauver sa vie et celle de l'Arbre-Monde.

--- Une fin intéressante ? ---

À ma plus grande surprise, j'ai lu les derniers chapitres avec avidité. Alors que le rythme était lent suite aux précisions interminables de l'auteur, voilà que l'intrigue se met en branle, que Piérig affronte l'inconnu en dépit de ses peurs.

Pour autant, ce dénouement captivant n'a pas suffi à me faire changer d'avis. Même si je reconnais les qualités de ce one-shot, je n'ai pas su l'apprécier à sa juste valeur pour toutes les raisons évoquées ci-dessus. J'espère néanmoins que d'autres lecteurs y parviendront !
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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Un livre qui m'a déstabilisé.



Avec ce livre, je pense que je suis sortie de ma zone de confort de lecture. Et à la fin de ma lecture, je suis bien incapable de dire si j'ai aimé ou pas aimé. Et même plusieurs jours après, avec le recul, je ne sais toujours pas.



Nous découvrons un univers incroyable, un arbre-univers, où toute vie est liée à cet arbre. Et dans cet arbre, y vivent des populations très diverses et des créatures plus ou moins sympathiques.

L'histoire nous entraine dans un groupe de personnage qui, plus ou moins contraint, recherche les raisons de la dégradation de leur univers.



Je pense que le point fort de ce roman, c'est cet arbre univers. J'ai été scotché de découvrir le monde que l'auteur a créé ! Plus qu'un récit d'aventures, c'est presque un récit de voyage d'un explorateur qui chemine dans son univers, mais dans un monde inconnu où il n'a jamais mis les pieds. Et avec cette exploration, c'est tout l'univers mental du ou des héros qui en prend un coup, avec des découvertes en opposition avec leurs croyances.



Les personnages sont bien construits, avec des personnalités fortes. le petit point négatif serait qu'il n'y a qu'un personnage féminin, mais on fera remarquer qu'elle est la cheffe du groupe et qu'elle ne manque pas de trempe.





Un moment de lecture perturbant, atypique pour moi, mais que je ne regrette pas.

À découvrir pour les amateurs de livres univers.
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Fan de Laurent Genefort, je trouve ce roman nettement en retrait. Si vous voulez vous faire une opinion sur cet auteur et que vous le découvrez, surtout ne commencez pas par ça. On pardonne a ceux qu'on aime, mais il faut les connaitre avant de découvrir leurs faiblesses ...
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