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Critique de Barnegat
Cheryl, la coiffeuse de la rue Popincourt, Paris , 11e arrondissement, quartier de la Roquette, abandonne son salon pour une semaine à Saint-Bonnet-du-Gard, chez ses parents qui ont jeté leur dévolu sur une maison en bordure de la RN 86.
A Saint-Bonnet, un meurtre odieux. Un commis de ferme algérien a été tué et dépecé. Cheryl va s'intéresser à l'affaire, croiser un Mickey Bazza, qui n'est pas un avatar bonehead malgré les apparences ni le crétin du village. Elle croise également Vickie Michalon, une étudiante en médecine et bientôt interne dans l'hôpital de Nîmes.
L'amorce, l'ouverture de ce roman de 139 pages aux très courts chapitres, promet beaucoup de choses. Hélas, peu à peu , cela s'enlise sous le ciel du Gard, jusqu'à une conclusion qui manque de piquant. La conclusion est pâlichonne.
Très bonne écriture et une histoire en dessous des meilleures de la saga.
A Saint-Bonnet, un meurtre odieux. Un commis de ferme algérien a été tué et dépecé. Cheryl va s'intéresser à l'affaire, croiser un Mickey Bazza, qui n'est pas un avatar bonehead malgré les apparences ni le crétin du village. Elle croise également Vickie Michalon, une étudiante en médecine et bientôt interne dans l'hôpital de Nîmes.
L'amorce, l'ouverture de ce roman de 139 pages aux très courts chapitres, promet beaucoup de choses. Hélas, peu à peu , cela s'enlise sous le ciel du Gard, jusqu'à une conclusion qui manque de piquant. La conclusion est pâlichonne.
Très bonne écriture et une histoire en dessous des meilleures de la saga.
