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Critique de Hebephrenie
Un jour, par hasard, j'ai découvert Billie Holiday. Je ne connais(sais) rien au jazz, à part quelques noms glanés par-ci par-là. C'était "I'm a fool to want you". Choc auditif... alors, comme toujours, j'ai voulu en apprendre plus sur cette chanteuse à la voix si... éraillée...
J'ai donc découvert Lady Day, un roman dont l'auteur clame sur la quatrième du livre l'inexactitude du propos. Ce n'est pas une véritable biographie, mais on en apprend quand même beaucoup sur Eleanora Fagan, sur sa difficile enfance, ses errances, ses traumatismes. Et puis, grandie, la découverte de la musique, les premiers engagements, les mauvaises rencontres. Jusqu'au bout, la bataille contre une vie parsemée de tristesse, les refuges dans les substances... Une vie de solitude, où se dégage l'impossibilité d'être en confiance.
Intéressant donc ce roman, puisqu'il se lit avec grand plaisir, qu'on y apprend beaucoup tout en écoutant, au fur et à mesure, les plus grands succès de Lady Day, de Strange fruit à Don't explain ... I've got those Monday blues straight through Sunday blues...
J'ai donc découvert Lady Day, un roman dont l'auteur clame sur la quatrième du livre l'inexactitude du propos. Ce n'est pas une véritable biographie, mais on en apprend quand même beaucoup sur Eleanora Fagan, sur sa difficile enfance, ses errances, ses traumatismes. Et puis, grandie, la découverte de la musique, les premiers engagements, les mauvaises rencontres. Jusqu'au bout, la bataille contre une vie parsemée de tristesse, les refuges dans les substances... Une vie de solitude, où se dégage l'impossibilité d'être en confiance.
Intéressant donc ce roman, puisqu'il se lit avec grand plaisir, qu'on y apprend beaucoup tout en écoutant, au fur et à mesure, les plus grands succès de Lady Day, de Strange fruit à Don't explain ... I've got those Monday blues straight through Sunday blues...
