AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Verdure35



« Eux sur la photo » et « l'Odeur de la forêt » m'avaient convaincue de lire ce dernier petit livre qui vient de paraître.
Le vertige est ressenti par l'auteur lors de l'émerveillement de l'amour, puis par le désamour souterrain , puis par les ruptures et la séparation.
La Séparation est un très court texte en fin de roman...que de la littérature.
L'auteur raconte sa rupture d'avec un américain , qui en fait n'était pas libre d'aimer ailleurs : »Une passion qui s'est terminée comme se terminent tous les adultères qui n'ont pas le courage des choix assumés : mal . » Tout est dit.
J'ai lu des pages sublimes sur la souffrance d'amour ,et en fait , la thérapie est venue par l'écriture, il n'y a plus rien à raconter à un psy quelconque.
Mais, texte superbe certes, je n'ai pas pleuré sur le sort de l'infortunée, je n'ai pas été touchée, j'ai simplement lu(et c'est déjà beaucoup) un beau morceau de littérature.
Dans le livre , H.Gestern fait allusion à Annie Ernaux, oui, effectivement , on peut y penser. D'autre part, dans cette histoire , et c'est vrai, l'auteur pense parfois également à la souffrance ressentie et provoquée par l'amant, mais il ne s'agissait pas là que d'un duo, mais de deux couples ; et là aucun écho. Mais ce n'était pas là le sujet du livre.
Commenter  J’apprécie          75



Ont apprécié cette critique (7)voir plus




{* *}