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EAN : 9791041410996
288 pages
Points (18/08/2023)
3.42/5   880 notes
Résumé :
Lorsque le narrateur décide de questionner ses parents sur leur pays d’origine, le Liban, il ne sait pas très bien ce qu’il cherche. La vie de ses parents ? De son père, poète-journaliste tombé amoureux des yeux de sa femme des années auparavant ? Ou bien de la vie de son pays, ravagé par des années de guerre civile ?
Alors qu’en 1975 ses parents décident de vivre à Paris pendant deux ans, le Liban sombre dans un conflit sans fin. Comment vivre au milieu d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (136) Voir plus Ajouter une critique
3,42

sur 880 notes
Ghoussoub , auteur franco-libanais, nous revient dans son dernier livre avec un récit lumineux et drôle, prix Goncourt des Lycéens 2022. C'est l'histoire de ses parents couplée de sa propre quête d'identité. Les parents quittent le Liban pour Paris en septembre 1975 uniquement pour deux ans, le père voulant passer son doctorat de théâtre et de langue arabe à la Sorbonne. Mais c'est la veille de la guerre au Liban, ils n'y retourneront jamais y vivre. Ainsi l'auteur naîtra à Paris , mais ce qu'il en dit est touchant « Je suis né à Beyrouth dans une rue à Paris. »

J'avais déjà bien aimé son livre « Beyrouth entre parenthèses », et je retrouve ici de même un récit fin, brillant, léger, émouvant, pour un sujet complexe qui incorpore l'exil, le déracinement et ce qui en suit, la quête d'identité plurielle.
Le père est un journaliste couplé d'un poète, qui aime les cafés miteux où il aime siroter un café parmi «  les petits gens que nous sommes et que nous resterons en France » . Comme son père c'est dans cet environnement qu'il se sentira lui aussi le plus à l'aise. le tragique de l'exil disparaît souvent sous l'humour qui finalement reste l'élément essentiel pour bien vivre, vu les aléas de la vie. Il n'y lésine même pas quand il dresse aussi les portraits de ses parents, « l'espion et la prostitué » ou sa soeur , miss «  All Eyes on Me » 😊! Je dois avouer c'est spécial, mais vu qu'il y a aucun malice c'est plutôt avec tendresse qu'il assouplie l'honnêteté qui peut s'avérer crue 😊!
Bref une belle histoire personnelle, une histoire libanaise, simplement libanaise, même si une bonne partie s'est déroulée en France ! Je pense personnellement dans ce monde multiculturel où l'immigration si contestée , la plupart du temps forcée, est devenu la bête noire des sociétés occidentales , ce livre nous tend l'envers du miroir de l'exil, l'image d'une personne ou des personnes qui viennent d'ailleurs mais qui conserveront éternellement la nostalgie de leurs origines , « Mes références viennent d'ailleurs et beaucoup du monde arabe, pourtant j'ai grandi en France. J'ai alors l'impression bancale d'avoir grandi ailleurs tout en ayant grandi ici. »
Beaucoup aimé !


« « Until the philosophy / Which hold one race superior and another / Inferior / Is finally / And permanently / Discredited / And abandoned / Everywhere is war / Me say war »
( Bob Marley)
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« Mes parents voulaient que je naisse à Beyrouth. (…) Ils pensaient que la guerre se terminerait et qu'ils rentreraient enfin. Ils ne voulaient pas que je naisse à Paris, alors pendant toute leur vie ils ont recréé sans s'en apercevoir Beyrouth à la maison. Je suis né à Beyrouth dans une rue de Paris. »


Lorsqu'ils sont arrivés à Paris en 1975, au moment où la guerre éclatait au Liban, les parents de Sabyl Ghoussoub ne pensaient y rester que deux ans, le temps d'y achever leurs études. Plus d'un demi-siècle plus tard, leur fils, finalement né en France et désormais trentenaire, entreprend de les interroger sur leur histoire, manière pour lui, incidemment, de réfléchir à son propre rapport au Liban.


C'est avec une émotion palpable qu'à partir de leur évocation, dans le désordre et souvent dans la contradiction, de leurs souvenirs les plus prégnants, l'auteur se fait une idée de ce qu'ont pu vivre ses parents, depuis leur départ du Liban pour ce qu'ils ignoraient alors un exil définitif. Peu à peu, pour nous comme en autant d'émouvantes séquences de vieux films Super 8, pour eux en une suite de bouffées d'émotions venant crever la surface de leur mémoire, émerge du passé leur réalité, passée au crible de leurs ressentis et de leur subjectivité.


De leur affolement et de leur désarroi de se voir toujours plus indéfiniment séparés de proches restés au coeur d'une tourmente si complexe que plus personne ne finit par plus rien y comprendre, à leur impossibilité de prendre parti quand ceux qu'ils aiment se transforment parfois de victimes en bourreaux, en passant par leur horreur quand la guerre au Liban les pourchasse jusque sur le sol français au travers d'une série d'attentats qui les frôlent d'ailleurs à plusieurs reprises, se met ainsi en place une histoire dont l'auteur s'approprie l'héritage, en une sorte de mythologie personnelle qui lui fera déclarer lors d'une interview : « Cette autofiction m'a permis de me construire une mémoire écrite, qui est en soi totalement fausse et qui est l'histoire que je me raconte. C'est mon Liban à moi. »


Peinture vibrante et fantasmée d'un Liban toujours plus martyrisé que sa diaspora recrée dans le quotidien de foyers reconstruits dans l'exil comme autant de minuscules parcelles détachées de la terre-mère et au travers de vastes communautés en ligne, ce livre est aussi pour l'auteur un cheminement très personnel, une réflexion existentielle sur ses origines, son identité et son appartenance. On le referme le coeur serré pour tous les Libanais dont l'actualité ne finit plus de prolonger le calvaire, et plein d'affection pour ses si humains personnages.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Quand l'idée d'écrire ce récit a germé, Sabyl Ghoussoub a voulu enregistrer son père. Pas facile !
« Il n'arrête pas de jouer avec son micro. L'idée d'être enregistré lui déplait mais pour son fils, il est prêt à faire un effort »
C'est un regard bienveillant et amusé que l'auteur pose sur ses parents, Kaïssar et Hanane. Installés à Paris, ils espèrent toujours revenir à Beyrouth mais se heurtent à l'impossibilité d'un retour dans un Liban déchiré. Alors, en attendant ce jour qui ne viendra jamais, ils recréaient à leur manière le Liban et sa culture dans leur appartement étroit.
Malgré l'éloignement et les deuils, la vie reste gaie et la famille éparpillée est l'ancrage qui remplace un pays disparu.
Il y a les oncles, Elias et Habib et puis Amine pas forcément dans le même camp mais tous ont toujours le sens de la famille.
A travers ce récit de sa famille, l'auteur raconte aussi l'exil et la perte d'un pays déchiré par la guerre civile et des luttes fratricides. Pourtant, dans les albums de famille, ce sont les moments heureux qu'on veut conserver.
L'histoire du pays de ses parents, sa violence, il la découvre à travers des reportages, des témoignages, comme le massacre de Sabra et Chatila et il se pose des questions. Se pourrait-il qu'un membre de la famille y ait participé ?
Sabyl Ghoussoub, « né à Beyrouth dans une rue à Paris «, a tenté de retourner au Liban pour s'y installer. En vain. Il sera toujours écartelé entre deux pays, deux cultures. Il nous explique les oppositions entre clans, les personnalités politiques, les assassinats et la corruption. On se perd un peu parmi tous ces personnages et ces dates d'évènements qui ponctuent l'histoire du Liban. Je me suis embrouillée dans cette géopolitique du Liban.
Le style de l'auteur est direct et frise parfois la candeur comme s'il redevenait petit garçon en racontant ses parents.
C'est un sujet grave que l'auteur a choisi de traiter avec humour et dérision mais il n'est pas arrivé à maintenir mon intérêt jusqu'à la dernière page et je me suis ennuyée dans ce récit que j'ai trouvé parfois superficiel.
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En découvrant ce livre , je l'avoue , j'ai immédiatement pensé au sublime " Mayrig " de Verneuil et je me suis précipité sans aucune hésitation . Une famille libanaise réfugiée en France allait sûrement m'émouvoir et m'aider à comprendre , une fois de plus , cette terrible épreuve de l'émigration dans un pays qui n'est pas le sien , cette atroce douleur de quitter les siens , la douceur perdue d'une vie ancestrale , la famille , les beautés , les odeurs , la chaleur unique d'un pays perdu pour se réfugier dans un univers gris , dans l'indifférence d'une capitale comme Paris , ville lumière dont le rayonnement est devenu bien terne au point même qu' il existe désormais un phénomène connu sous le nom de " syndrome de Paris " . Un livre salué par le Goncourt des lycéens , public averti et grandement crédible qui m'a touché...mais pas coulé . Pour illustrer mon avis , c'est cet extrait relevé page 185 qui a ouvert la voie à ma réflexion . Je cite:.".La vie de mes parents , c'est comme la guerre au Liban . Plus je m'y plonge , moins j'y comprends quelque chose . J'arrive à situer les protagonistes , quelques moments marquants me restent , puis , ensuite , je me perds . Trop de dates , d'évènements , de trous , de silences , de contradictions .Je me demande si cela m'intéresse vraiment d'y comprendre quelque chose . Finalement , à quoi bon ? Est - ce que cela m'apporterait de tout savoir , tout comprendre , tout analyser ? Rien , je crois fondamentalement que je n'y gagnerais rien , à la limite , je perdrais mon temps ."
Aveu terrible , non ? . Les parents ne veulent rien dire de leur calvaire d'avoir quitté un pays adoré , et c'est trés respectable . Alors pourquoi vouloir absolument ècrire un livre sur leurs non - dits ? Je ne suis pas du tout convaincu sur une démarche qui accumule des dates , des évènements que l'auteur reconnaît ne pas comprendre , des sentiments bien timides ...J'avoue avoir " pataugé ".
il conviendrait , dans un tel contexte , de " se laisser aller " , d'assumer , de faire participer les lecteurs .Je n'ai pas laché ce roman mais j'ai attendu vainement cette étincelle qui m'aurait touché , fait vibrer , révolté . C'est bien écrit , facile à lire mais jamais , non jamais je n'ai senti la moindre émotion . J'en suis vraiment désolé .Je n'ai vraiment pas compris - les parents non plus , apparemment - la nécessité de raconter ce qui a été un drame , de façon aussi banale .
L'histoire du Liban me reste toujours aussi obscure ( je ne suis qu'un lecteur ) mais si ceux qui l'ont vécue n'en savent pas plus que moi ...
Allez , les amis et amies , à demain pour un prochain rendez - vous .Si vous voulez bien .Moi , je serai là avec ....Bon , on verra bien ceux qui restent . Bonne nuit .
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Paris 2020, à l'âge de 31 ans , Sabyl ne connaît rien du passé de ses parents, de leur arrivée à paris, de leur guerre du Liban, de la souffrance qu'a été l'exil pour eux. Il ne sait même pas les métiers qu'ils ont exercés. Il a le projet de les interroger afin d'écrire un livre inspiré de leur vie.
À partir de leurs témoignages, de cartes postales, de photos, de lettres, de notes, de poèmes ou d'articles rédigés par son père, Sabyl Ghoussoub nous raconte l'histoire d'un exil, celui de ses parents et à travers eux ce beau pays aux gens charmants et généreux, un pays ravagé par les guerres, les attentats, un peuple éparpillés aux quatre coins du monde, triste de voir leur pays se décomposer peu à peu. Plus qu'un roman, un témoignage sur l'immigration, sur le retour impossible. Un travail de mémoire.
J'ai eu de la difficulté à lire ce récit, le sujet est intéressant mais il manque l'émotion, le souffle romanesque. Les années se mêlent et s'entremêlent, il n'y a aucune chronologie, l'ensemble m'a semblé un peu brouillon.

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critiques presse (5)
LeMonde
02 janvier 2023
Dans son deuxième roman, le journaliste franco-libanais de 34 ans propose une réflexion sur la famille et l'immigration.
Lire la critique sur le site : LeMonde
LePoint
02 janvier 2023
L'ecrivain Sabyl Ghoussoub est couronne pour un roman tres personnel sur la question des origines. Un voyage entre tendresse, humour et vague a l'ame.
Lire la critique sur le site : LePoint
Culturebox
02 décembre 2022
Avec des phrases courtes, percutantes, Sabyl Ghoussoub vise juste à chaque fois. Beyrouth-sur-Seine est un livre profond et léger à la fois, un livre écrit avec le cœur. Lumineux.
Lire la critique sur le site : Culturebox
RadioFranceInternationale
12 octobre 2022
Un livre plein d'humour et d'amour. Une réflexion tendre et acerbe sur la famille, les identités multiples et l'immigration où beaucoup peuvent se retrouver au-delà de la réalité libanaise.
Lire la critique sur le site : RadioFranceInternationale
LeFigaro
06 octobre 2022
Beyrouth-sur-Seine a le mérite de poser la topographie de ce récit autobiographique éminemment romanesque, drôle, émouvant.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (148) Voir plus Ajouter une citation
Cette fois-ci, direction Axa pour son assurance décès, une entrevue qui fut assez surréaliste dans un bureau en travaux où l’assureur expliquait à mon père que, s’il mourait après soixante-quinze ans, ma mère ne pourrait rien toucher de ce qu’il avait mis de côté pendant des années. Mon père, médusé, lui avait proposé alors de se suicider la veille de ses soixante-quinze ans. « Faites comme vous le sentez » lui avait répondu l’assureur. Mon père se retournait vers moi (j’avais préféré rester debout au fond du bureau), il me demandait mon avis sur la date de son futur décès ou s’il pouvait compter sur moi pour le tuer avant d’arriver à l’âge limite.
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Ma mère, elle, se moque bien de juger les Joumblatt à travers leur politique, elle ne voit pas les choses ainsi. D’ailleurs, elle se moque éperdument de la politique et des positions de chacun, elle déteste ça et j’admire ce trait de caractère chez elle. Elle ne comprend pas et elle n’a jamais supporté l’engagement aveugle des gens pour une cause ou une autre. Elle déteste se retrouver au milieu d’une discussion politique et, dans ces cas-là, elle se recroqueville telle une tortue dans sa carapace, elle se tait et se met à jouer sur son iPhone. Elle aime les gens, les hommes et les femmes, peu importe leurs convictions, « je m’en fous et je m’en contrefous » me répète-t-elle, me faisant promettre de rester ma vie entière comme elle.
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Mes parents voulaient que je naisse à Beyrouth. Ils m’ont dit après des heures d’entretiens qu’ils avaient attendu si longtemps entre Yala et moi pour me concevoir. Ils pensaient que la guerre se terminerait et qu’ils rentreraient enfin. Ils ne voulaient pas que je naisse à Paris, alors pendant toute leur vie ils ont recréé sans s’en apercevoir Beyrouth à la maison.
Je suis né à Beyrouth dans une rue de Paris.
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J’interroge mes parents une à deux fois par semaine, je tiens un bon rythme, je les questionne individuellement. Ensemble, ils sont toujours très drôles mais c’est intenable, je n’avance pas, ils se contredisent constamment. Ils ne sont jamais d’accord sur la date, le lieu, l’événement, à croire que la réalité est toujours la fiction qu’on se raconte.
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– Où étiez-vous au moment de l’explosion du 4 août 2020 ?
– Comment avez-vous vécu les jours d’après ?
– Qu’est-ce que le Liban pour vous dans les prochaines années ?
Après avoir répondu facilement aux deux premières, j’avais un discours rodé autour de l’explosion, mon deuxième roman Beyrouth entre parenthèses étant sorti quelques jours après ce drame, j’avais été interrogé par de nombreux journalistes sur le sujet, sur la troisième, j’ai été submergé par l’émotion. J’ai d’abord gardé mon air léger et dit : « Je pense y retourner pour donner des cours ou travailler dans un journal, même si parfois je me dis que je préfère garder de la distance pour pouvoir écrire sur ce pays. » Puis j’ai relevé la tête et j’ai fondu en larmes : « En fait, le Liban, c’est mes parents. Je ne sais pas ce que représentera pour moi ce pays après la mort de mes parents. Peut-être qu’il disparaîtra avec eux. Quand je passe les voir dans leur appartement parisien, j’atterris au Liban… Dans leurs yeux, je vois ce pays. D’ailleurs, je ne peux plus voir mes parents pleurer à cause de ce pays. À chaque fois que le Liban est touché par un attentat, une explosion ou une guerre, j’ai l’impression que l’on vise mes parents et ça, je ne le supporte plus. »
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Videos de Sabyl Ghoussoub (19) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Sabyl Ghoussoub
Écrire des livres permet parfois de rendre justice, de remettre un peu d'ordre dans la vie : Sabyl Ghoussoub et Xavier le Clerc sont des enfants de la guerre (du Liban pour l'un, de l'Algérie pour l'autre) et de l'exil familial. Ils ont choisi de raconter la vie de leurs parents fuyant la fureur et la misère, abandonnant leur famille pour cette France qui intègre si bien leurs enfants.
Dans Beyrouth-sur-Seine, Sabyl Ghoussoub interroge les souvenirs de son père, poète de PMU qui trimbale son passé dans des sacs plastique, et de sa mère, prêtresse WhatsApp du Liban familial.
Dans Un homme sans titre, Xavier le Clerc rend hommage à cet enfant affamé décrit par Albert Camus, devenu ce père taiseux, cet ouvrier invisible qui nourrit sa famille, tête baissée. Deux magnifiques déclarations d'amour filial.
Rencontre avec Sabyl Ghoussoub (https://ohlesbeauxjours.fr/programme/les-invites/sabyl-ghoussoub/) et Xavier le Clerc (https://ohlesbeauxjours.fr/programme/les-invites/xavier-le-clerc/)animée par Salomé Kiner (https://ohlesbeauxjours.fr/programme/les-invites/salome-kiner/)et enregistrée en public en mai 2023, au Mucem, à Marseille, lors de la 7e édition du festival Oh les beaux jours !.  
__ À lire
Sabyl Ghoussoub, Beyrouth-sur-Seine, Stock, 2022 (prix Goncourt des lycéens 2022). Xavier le Clerc, Un homme sans titre, Gallimard, 2022.
__ Montage : Arthur James Voix : Benoît Paqueteau Photo : Nicolas Serve Un podcast produit par Des livres comme des idées (http://deslivrescommedesidees.com/).
__ La 8e édition du festival Oh les beaux jours ! (https://ohlesbeauxjours.fr/) aura lieu à Marseille du 22 au 26 mai 2024.
+ Lire la suite
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