AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,78

sur 100 notes
Je viens de refermer à regret ce roman car j'aurais bien aimé poursuivre l'aventure de Zélie Murineau et de son ami le commissaire Alexandre d'Arbourg.
Tout d'abord,l'atmosphère du Paris de 1880 m'a semblé si réelle que je m'y suis sentie intégrée.Le combat pour la reconnaissance des femmes en tant que peintres est passionnant car son issue qui nous est actuellement connue,n'a pas été sans drames et injustices,dont les héroïnes ont été oubliées.
Bravo à l'auteur de les avoir fait revivre le temps d'une histoire.D'une écriture soignée et d'une grande fluidité,est né ce roman dans lequel on croise des personnages tels qu'on peut les imaginer dans la société d'autrefois.
Belle découverte pour moi.
Commenter  J’apprécie          350
En 1879, Louis ANDRIEUX promu Préfet de Police à Paris en récompense de sa fermeté à Lyon lors de la Commune, s'appuie sur une police efficace incarnée par le séduisant commissaire Alexandre d'ARBOURG qui enquête successivement sur un empoisonnement, un enlèvement d'enfant, l'assassinat d'un ivrogne, un parricide, un trafic d'alcool frelaté, et autres "faits divers" qui nous permettent d'apprécier le talent d'empoisonneuse de Sylvie GIBERT dont la culture botanique et chimique est impressionnante. le commissaire utilise un certain nombre d'indicateurs et place ainsi Zélie MURINEAU, une jeune artiste, au sein de la bourgeoisie parisienne... ce qui nous offre un roman policier fort bien troussé.

Louis ANDRIEUX sera des années plus tard, le géniteur de Louis ARAGON, et notre commissaire d'ARBOURG est un homme cultivé qui fréquente Alphonse ALLAIS, Guy de MAUPASSANT et Edgar DUGAS et nous découvrons ainsi la vie culturelle des années 79/80 qui oublie progressivement l'académisme impérial pour s'initier au naturalisme et à impressionnisme... et Sylvie GIBERT, pédagogue talentueuse nous dévoile cette mutation sociale et culturelle. Mutation qui sert de cadre idéal à l'évocation d'Amélie BEAURY-SAUREL, élève de Tony ROBERT FLEURY à l'Académie JULIAN et à ses amies Marie BASHKIRTSEFF, Jenny ZILLHART, Louise BRESLAU et à toutes ses femmes qui sont devenues des artistes réputées égalant, voire dépassant, les peintres contemporains.

L'atelier des poisons n'est donc pas seulement un roman policier, mais c'est une brillante évocation de l'émancipation des femmes qui s'appuie sur une documentation impressionnante, mais jamais pédante, qui cultive le lecteur et lui apprend beaucoup au fil des pages. A noter que notre romancière semble ignorer que L'École navale (à Brest) forme les officiers de carrière de la Marine nationale (et non marchande) ce qui lui vaudra quelques torpilles de bordaches et incitera à relire Aziyadé de Pierre LOTI (Julien VIAUD pour la Royale) paru en 1879.

En conclusion l'atelier des poisons, que PLON a eu la gentillesse de m'adresser dans le cadre d'une rencontre BABELIO, est un véritable chef d'oeuvre qui m'incitera à plonger dans les autres ouvrages de Sylvie GIBERT, artiste au talent prometteur.
Commenter  J’apprécie          310
Je n'irai pas par quatre chemins, le roman de Sylvie Gibert m'a complètement scotché et bluffé.

Deux raisons à cela :

1° La construction du livre :

C'est à se demander si l'auteur n'est pas elle-même peintre ! Les premiers paragraphes sont comparables à des esquisses, squelettes fantomatiques de l'oeuvre qui est en train de se construire. le lecteur comprend en les lisant qu'il a pris un ticket pour un voyage au long cours dans lequel il ne va pas s'ennuyer.
42 paragraphes d'environ une dizaine de pages chacun vont, par étapes, nous faire entrer dans une intrigue, dans des intrigues, qui se tissent autour de deux personnages principaux qui en sont à la fois les acteurs et les jouets.
Les premières esquisses nous présentent des personnages anonymes agissant d'une façon pour le moins étrange.
Une jeune femme se prépare à sortir de sa maison, se précipite chez un antiquaire et y dépense «presque tout son misérable pécule» pour acheter une croute noirâtre, dont on ne sait ce qu'elle va faire.
Un commissaire de police assis à son bureau, soupire et rêvasse en se posant des questions sur son rôle dans la société. On apprend que son secrétaire s'appelle Torrès. Il recrute un gamin des rues arrêté pour vol à l'étalage et en fait un garçon coursier.
Au deuxième passage, l'auteur ajoute quelques touches de couleur aux esquisses, les choses se précisent. le premier dessin prend chair et couleur, s'insère dans un paysage, les personnages interagissent avec d'autres, les détails d'arrière plan magnifient les premiers plans.
La jeune femme s'appelle Zélie Murineau et habite rue Feydeau. Elle fréquente les cours de l'atelier Julian. Un atelier qui est l'un des rares à accepter des femmes pour leur enseigner l'art de la peinture. On y retrouve Louise, Amélie (https://fr.wikipedia.org/wiki/Dans_le_bleu) , Jennie, et Mousse, qui n'est autre que Marie Bashkirtseff l'amie d'Edgar Degas (http://www.bashkirtseff.com.ar/marie_bashkirtseff_1_francais.htm).
Le commissaire de police s'appelle lui Alexandre d'Arbourg, son territoire est le quartier du Palais Royal. Ce quadragénaire vit seul avec sa mère, a connu une première déception sentimentale, et s'efforce d'apporter de l'intelligence dans la résolution des affaires qui lui sont soumises.
Très vite on comprend qu'entre ces deux-là une alchimie particulière se crée. Secret partagé ? Amour naissant ? Passion dévorante ? C'est-là un des ressorts du livre, de nous faire palpiter sur la nature des sentiments qui pourraient unir Zélie et Alexandre, avant de découvrir aux environs de la page 208, pourquoi Zélie et Alexandre sont attirés l'un vers l'autre...Mais chut....

2° le tableau de la société française du XIXème siècle

Les intrigues policières sont l'occasion d'un tableau réaliste de la société de l'époque (le roman se passe en 1880 alors que les plaies de la Guerre de 1870 se referment à peine et que la IIIème République met en oeuvre son projet de modernisation de la France).
Cette réalité est peu reluisante :
Traffic et enlèvement d'enfants, alcoolisme, meurtres bizarres, vendeurs d'alcools frelatés, enfants livrés aux adultes, relations incestueuses.
La catalogue parait monstrueux et indigeste ! Mais, Sylvie Gibert ne nous assomme pas de clichés et de démonstrations ennuyeuses, c'est par touches subtiles, au hasard des investigations de Zélie et d'Alexandre, que les personnages rencontrés, les affaires sur lesquelles le Commissaire cherche à faire la lumière, que nous découvrons les rigidités d'une société en recherche d'elle même. (Rappelons que la loi Jules Ferry sur l'école obligatoire date de 1881).

Le lecteur trouvera dans ce tableau de la société du XIXème siècle certains accents du livre de Victor Cohen Adria «Les trois saisons de la rage» ou du Médecin de campagne d'Honoré de Balzac.

Les tares de la société de l'époque, dont certaines subsistent encore, traversent le récit, servi par le style fluide et sans fioritures de Sylvie Gibert :

Le cantonnement des femmes dans des rôles domestiques ou mineurs :

Faudrait-il toujours que les femmes artistes se cantonnent aux territoires attribués aux autres femmes. Certes, il s'agissait de beaux sujets, mais ils se limitaient à des scènes dont le décor ne s'éloignait jamais vraiment de l'intérieur du logis. (Page 35)

Mon fils m'a dit qu'il avait vu l'un de vos tableaux et que, pour une femme, vous semblez avoir un certain talent... (Page 51)

La fumée des cigares vous incommode-t-elle ?
Pas du tout ! Non seulement cela ne me dérange pas, mais j'ai moi-même l'habitude d'en fumer... (Page 61)

A quoi bon nier l'amour absolu et sans espoir de retour que Marianne avait éprouvé et qu'elle éprouvait toujours pour Joseph Brunel, cet amour qui la lierait à cet homme pour toute sa vie (...) La gouvernante ne chercha pas à démentir (...)
J'ai toujours su où se trouvait ma place. Toujours ! Même durant le veuvage de M. Brunel, je ne me suis jamais fait aucune illusion. (Page 112)

Ce geste ne la surprit pas, car elle savait qu'une femme respectable ne pénétrait jamais seule dans un lieu public. (Pages 165-166)

La misère de familles incapables d'élever leurs enfants dignement :

Il avait devant lui le plus pur spécimen de cette graine qui donnait en quelques années, le gibier de potence. (Page 18)

Elle la découvrit, non loin de là, blottie dans une sorte de niche ménagée à l'intérieur d'une barrique couchée. (Page 121)

Avant de le suivre, Zélie jeta un dernier regard sur cette masure, sur ces enfants miséreux et sur cette mère, portant son dernier né sur la hanche, le buste déporté du côté opposé. (Page 127)

Mais je les côtoie depuis quelque temps et je commence à m'habituer à leurs manières. Lorsque j'ai parlé de l'enfant, j'ai eu l'impression que sa disparition les laissait assez indifférents. L'aîné a déjà un fils, la postérité de la lignée est don assurée. (Page 172)

L'arrangement des mariages :

Quand Gabriel lui avait été présenté, Mme Dantillac avait pincé les lèvres. (...) Si elle avait connu ce beau militaire plus tôt, elle n'aurait certainement eu aucun mal à) diriger l'inclination de sa fille vers lui. ( Page 223)

L'autoritarisme parental :

Mon père a décidé que je rejoindrai Brest pour y faire l'Ecole navale. J'embarquerai sur le Borda dès l'été prochain. (Page 242)

L'alcoolisme :

- Hier, quand il m'a demandé un aut'litron, j'ai refusé de le servir. J'lui ai dit qu'il avait assez bu, qu'il f'rait mieux d'rentrer chez lui. J'crois que c'est ça qui a tout déclenché;;;J'lai foutu dehors. (...) il s'est jeté sur eux. On aurait dit un tigre. Il avait une bouteille entre les mains et il faisait des gestes dans tous les sens. (Page 195)

Face à ces fléaux, l'administration nouvelle de la IIIème République tente de faire face, tout en faisant preuve de pédagogie :

Mais les circulaires étaient très claires : il fallait e montrer affable, voire prévenant avec les citoyens afin d'effacer les mauvais souvenirs laissés par les commissaires de l'Empire. (Page 197)

Le récit est parsemé de belles surprises :

La présence d'Alphonse Allais au Café des Variétés, «(...) le comble de la ressemblance, c'est de pouvoir se faire la barbe devant son portrait.» (Page 167)

La rencontre avec Louis Andrieux, préfet de police, le père naturel de Louis Aragon (Page 237).

La partie de campagne avec Edouard Degas (Page 289)

Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager ces paroles que Sylvie Gibert place dans la bouche d'Alexandre d'Arbourg :

- Voyez-vous, Zélie (...) tout le monde a des souvenirs de famille. Avec Merlin nous avons quelque chose de beaucoup plus rare : ce sont des souvenirs de famine. (Page 131)

Une question demeure lorsque le lecteur referme le livre. Vient-on d'assister à la naissance d'un nouveau couple de détectives, Zélie et Alexandre ? Et si oui, les verrons-nous bientôt dans d'autres aventures ?

Lors de la rencontre organisée le 30 mai par Babelio et les édition Plon, Sylvie Gibert a répondu oui.

J'attends avec impatience le prochain roman...

Merci Babelio. Merci Plon. Merci Masse Critique.
Commenter  J’apprécie          282
Après Falaise des fous de Patrick Grainville, je me retrouve à nouveau dans le milieu de la peinture du XIXème siècle en France... mais cette fois je me suis laissée happer par l'histoire sans la moindre difficulté. J'ai beaucoup aimé la façon dont l'auteur mêle Histoire et enquête dans une chronique du Paris de la fin du XIXème siècle pleine de vie.
Un très bon moment de lecture...
Lien : http://lecturesdestephanie.b..
Commenter  J’apprécie          270
Abandonné p 175 (sur 352)
Alléchée par le sujet qui aborde la vie de femmes peintres et leurs difficultés à trouver les moyens d'exercer leur art, je me suis ennuyée dans une histoire qui vire à une enquête sur la disparition ou enlèvement d'un bébé qui ne m'a pas particulièrement interessée....Un rythme atone, des personnages qui ne m'ont pas passionnée, même le contexte n'a pas réussi à susciter un intérêt dans ma lecture.
Dommage car apparemment Sylvie Gilbert a approfondi son sujet, mais arrivée à la moitié du roman et après une lecture en pointillé, j'abandonne.
Commenter  J’apprécie          240
Paris 1880

L'Académie Julian, premier atelier à ouvrir ses portes aux femmes.

Atelier de peintres hommes et celui dévolu aux femmes ; les premières, qui n'étaient pas nombreuses, et devaient faire leurs preuves.

Tout comme "domeva", j'aurais aimé poursuivre l'aventure de Zélie et du commissaire Alexandre d'Arbourg.

D'autant que la plupart des protagonistes de cette histoire ont réellement existés.

Voici d'ailleurs ce qu'en dit, en post face, l'autrice :
" Ce roman a pris sa source devant un très beau pastel d'Amélie Beaury-Saurel, Dans le bleu, une donation faite au musée des Augustins, à Toulouse. La présence forte du modèle m'a inspiré Zélie Murineau".
Commenter  J’apprécie          230
J'ai bien aimé ce livre écrit sur un ton très vif et délié sans être trivial et je l'ai lu d'une traite. Peut-être le charme du passé a-t-il agi sur moi mais j'ai trouvé l'atmosphère et la peinture des moeurs et des personnages très bien brossées sans être pesantes. Peut-être aussi parce que je connais les lieux décrits qui grâce au roman de Sylvie Gibert ont pris vie pour moi dans un tout autre siècle. Bref je suis fan et j'attends la suite des aventures de Zélie et Alexandre avec impatience.
Commenter  J’apprécie          191
Dans un décor parisien , fin XIXème siècle, la jeune Zélie apprend la peinture, domaine dans lequel elle révèle un vrai talent.
Mais pour une femme, à cette époque, il n'est pas simple de se faire un nom. Jusqu'ici l'art en général est plutôt très masculin.
Un beau commissaire du quartier Palais-Royal, grâce à une commande qu'il lui fait, va l'introduire dans le milieu de la haute bourgeoisie, mais également, puisqu'il a remarqué le grand sens de l'observation de la jeune femme, l'entraîner dans des enquêtes, et alors elle va connaître les auberges mal famées, la misère et le crime.
Sylvie Gibert , dans un récit très vivant et une histoire passionnante, évoque le Paris de cette année 1880 avec brio, et fait apparaître des personnages de la littérature, la peinture, la politique de l'époque.
C'est une découverte, que je recommande. Tout le charme d'un tableau XIXème
Commenter  J’apprécie          180
Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec L'Atelier des Poisons?
"Ce livre m'a été proposé par son éditeur et je me suis laissée tenter par son résumé qui me vantait un mélange prometteur: une enquête et Paris au dix-neuvième siècle."

Dites-nous en un peu plus sur son histoire...
"Zélie Murineau est artiste peintre à une époque où l'on daigne à peine admettre qu'une femme peut avoir quelques autres talents que ceux de rester à la maison. le commissaire Alexandre d'Arbour, en revanche, ne doute pas ni du coup de pinceau de Zélie, ni de son sens aigu de l'observation et décide de lui demander son aide dans une affaire délicate. Mais est-ce la vraie raison qui l'a poussé à l'approcher, ou a-t-il découvert le secret qu'elle espère ne voir jamais révélé?"

Mais que s'est-il exactement passé entre vous?
"Même si l'intrigue m'intéressait, je dois dire que je ne m'attendais pas à apprécier autant ce récit. Dès les premières pages je me suis prise d'affection pour Zélie et j'ai fini le livre dans la journée, entraînée par le rythme et l'envie d'en savoir plus. Plusieurs petites enquêtes se croisent, différents mystères sont soulevés puis résolus. Ce n'est pas du grand livre policier mais cette partie reste intéressante et bien amenée même si les personnages et leur destin, leur évolution dans le Paris du dix-neuvième, sont incontestablement le point fort de l'Atelier des Poisons. La peinture, l'affrontement de l'impressionnisme et des peintres académiques, la perception des femmes et de leur place à cette époque sont autant de sujets intéressants qui jalonnent le récit. On croise même Degas sur les bords de la Seine. Si aucun élément ne frappe, une myriade de détails enchantent en délicatesse et font de cette lecture une parenthèse bien agréable."

Et comment cela s'est-il fini?
"Chaque enquête se dénoue et se résout au fil des dernières pages et nous apporte toutes les réponses attendues. le destin de la plupart des personnages nous est également conté, ce que j'apprécie toujours particulièrement. En revanche, et sans vous en dire trop, je ne peux qu'être déçue par un évènement que l'on attend tout au long du récit et qui n'arrivera finalement jamais."
Lien : http://booksaremywonderland...
Commenter  J’apprécie          180
Ce livre m'a tout de suite attirée par la couverture que je trouve assez troublante et très jolie. C'est sans hésitation que je me suis inscrite à la rencontre BABELIO en espérant également pouvoir rencontrer Sylvie Gibert. La chance a été mienne, j'ai pu lire ce livre et rencontrer son auteure.
Ce qu'il me plaît dans ce livre ce sont les recherches qu'a fait l'auteure pour essayer de "coller" au maximum aux faits historiques (la fameuse académie Julian et ses premières élèves féminins par exemple) et j'avoue que j'ai un faible pour ces histoires entre fiction et histoire et surtout quand cela se passe dans les années1860 et plus ... le personnage principal est monté de toute pièce, c'est Zélie : très attachante, vive, intelligente mais aussi très indépendante (ce qui n'est pas évident pour l'époque mais cela rajoute un peu de piquant !)
Une des autres forces de ce roman c'est le fait qu'il n'y ait pas qu'une intrigue mais trois intrigues qui, je trouve, dynamisent la lecture de manière fort agréable.
La rencontre m'a confirmé que Sylvie Gibert aime les femmes différentes, qui font la différence dans leur siècle, ces femmes hors du commun qui se sont battus pour être reconnues non pas seulement pour leur "âmes" mais aussi pour leur cerveau. Ce livre en est en fait une belle illustration.
La lecture est très agréable, pas compliquée mais en même temps on apprend beaucoup de choses pour qui sait lire entre les lignes et surtout - dernier point- ne passez pas à côté des explications de l'auteure sur les différents protagonistes rencontrés au cours du roman.
Une suite ? oui, j'aimerais bien ... Sylvie Gibert lors de notre rencontre n'a pas dit non ! On croise les doigts !
Commenter  J’apprécie          170




Lecteurs (330) Voir plus



Quiz Voir plus

Quelle guerre ?

Autant en emporte le vent, de Margaret Mitchell

la guerre hispano américaine
la guerre d'indépendance américaine
la guerre de sécession
la guerre des pâtissiers

12 questions
3177 lecteurs ont répondu
Thèmes : guerre , histoire militaire , histoireCréer un quiz sur ce livre

{* *}