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3,53

sur 931 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Je ne noterai pas ce livre, je ne suis pas arrivée à entrer dans l'histoire. Je suis désolée, mais je n'adhère pas du tout à ce genre de lecture et j'en suis vraiment déçue... le sujet m'intéresse, c'est pour ça que je l'ai acheté. le style d'écriture ne me correspond pas, pour moi, la lecture n'est pas assez fluide et trop compliquée en vocabulaire... Je n'en dirai pas plus, c'est triste, j'ai tellement lu de belles choses et là je ne peux pas les cautionner...
Je sais que William Gibson est un pionnier dans la SF et surtout dans ce genre de roman.

Ce qui fait que ce lire m'attirait c'est le fait que l'histoire se passe dans le virtuel et qu'en 1984, William Gibson ait peu penser qu'un jour on pourrait virtuellement vivre des choses. même prendre possession d'un ordinateur à distance, ce qu'on fait aujourd'hui sans soucis... Quand on pense que quand nous étions petits en 1984 (j'avais 15ans) les ordinateurs n'étaient pas vraiment très évolués, même l'idée d'internet n'était pas dans toutes les têtes... alors de là à "voyager" dans le cyberespace... C'est cette idée qui m'intéressait vraiment, elle m'intéresse toujours d'ailleurs, peut-être qu'un jour je tomberais sur un livre qui me conviendra... je l'espère du font du coeur...
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Le moment était peut-être mal choisi pour se plonger dans cette oeuvre incroyable. William Gibson est le précurseur du cyber punk avec ce livre. le monde imaginé par l'auteur m'est resté complètement hermétique et pourtant, j'ai persisté espérant que la lumière viendrait mais les aventures de Case et Molly dans le cyberspace ne m'ont pas enthousiasmée.
J'ai fini le roman mais je n'ai absolument rien retenu... il faut dire aussi que je n'avais pas un état d'esprit disponible pour cette complexité. Je laisserai une seconde chance à William Gibson avec un livre plus facile d'accès.
Merci aux éditions Au diable Vauvert et à Masse Critique pour ce livre à la belle couverture (seule consolation).
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Ce livre est peut-être un chef d'oeuvre mais je ne le saurais jamais. Chose qui ne m'ait que rarement arrivé, j'ai abandonné ce livre après en avoir passé le tiers (je ne me décourage pourtant pas facilement ). Ce roman, salué par la critique, ne le sera pas par moi (même si je pense que tout le monde s'en fiche). Je n'ai aimé ni l'ambiance (trop noir, trop inhumain), ni les personnages et encore moins le style vulgaire de l'auteur! Je n'ai, pour ainsi dire, pas compris un traitre mot de l'histoire, tout n'est que charabia truffé de néologismes. Je suis pourtant familié avec le monde de l'informatique mais l'auteur n'a pas suffisamment fait d'effort selon moi pour nous faire pénétrer dans son monde. Je suis persuadé que le dénouement en vaut la peine mais je ne gâcherai pas plus de temps alors que tant d'autres livres m'attendent. Peut etre que cet avis est totalement incongru et que ce livre mérite ses prix, peut etre qu'il n'était tout simplement pas fait pour moi. Pour finir sur une bonne note, Gibson avait une vision très perspicace du futur et a tout de même contribué à créer le genre cyberpunk mis en lumière par Matrix.
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Il y a des moments où il faut s'autoriser d'abandonner une lecture. Il y a suffisamment de livres à lire et la quête des chefs d'oeuvre - selon nos propres critères - n'est pas aisée. C'est une combinaison entre le hasard et la patiente recherche.

Achevé d'imprimer en décembre 1999, j'ai dû l'acheter en 2000, il y a 22 ans. A l'époque j'ai abandonné au bout de 50 pages, pas intéressé du tout par l'histoire vaguement policière avec beaucoup de personnages et sans comprendre ce qu'il se passait.

La maturité et la détermination aidant (lecture d'un grand nombre de pages par jour pour bien entrer dans les histoires), je progresse vite, mais le résultat est le même. Abandon exactement à la moitié. On a l'impression que les personnages vivent un véritable cauchemar dans ce cyberespace et ont décidé de nous le faire payer ! Rien n'évolue au fil des pages, l'histoire restant terne et sans intérêt. Probablement parce que je n'ai rien compris, certes.

Ce livre m'est totalement incompréhensible. le style est décousu, ce qui signifie que je le trouve déplorable. La plupart du temps, on ne sait pas où on est, on ne sait pas qui parle ou agit. Est-il écrit sous emprise de substances ?

L'auteur a été un précurseur en 1985 certes, mais c'est tout. le cyberespace, inventé par l'auteur ? Je n'y ai rien compris et n'ai pas honte de l'avouer. Heureusement que ceux qui l'ont suivi ont été un peu plus clairs.

Les aventures des héros ? Noyées sous les mots inconnus et les notions inexpliquées rendant la compréhension globale impossible. La lecture était devenue un véritable enfer.

Une horreur et ma sentence est irrévocable.
Lien : https://www.patricedefreminv..
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J'ai eu un gros blocage sur le style d'écriture : trop vulgaire. J'ai bien conscience que ce parti-pris colle parfaitement à l'ambiance – trop glauque (qui ne m'a pas enthousiasmée), au propos de l'auteur et aux personnages (qui m'ont ennuyée). Je suis parvenue à 180 pages, et l'épreuve était trop importante pour poursuivre.

Bref, très lourd, sans doute trop lourd malgré une esthétique réfléchie et une vision du futur assez impressionnante. Pour le coup, je trouve qu'il a aussi assez souffert du passage du temps.

A la base, je n'aime pas ce qui est glauque, alors cela explique sans doute en partie cet abandon… mais le style est vraiment chiant.

Après ce deuxième échec, j'ai décidé de changer complétement d'univers et de style, et j'ai choisi de m'orienter vers de la fantasy réputée et fortement conseillée.
Lien : https://albdoblog.com/2019/0..
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Neuromancien, l'édition 2020, avec sa belle couverture de Josan Gonzalez m'a poussé à l'emprunter. Mais en lisant les commentaires à l'intérieur de la couverture j'ai senti que ça allait être compliqué... et ça l'a été.

Ça a été difficile à suivre, que ça soit : les protagonistes, l'univers futuriste mélangé à la connexion plus éloignée que celle que l'on connaît, en plus de cela, ça manque de détail plus explicite dans cette ambiance psychédélique diluée aux drogues de synthèse prises par les personnages.

C'était comme si on écoutait quelqu'un nous parler de façon rapide de quelque chose qui nous est totalement inconnu, sans qu'il fasse l'effort de se faire comprendre.

Bref... si ça a plu à certains car ils ont compris, tant mieux.
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Pas fini. J'ai trouvé l'annuaire de Loire Atlantique plus intéressant, et surtout beaucoup mieux écrit.

Et puis, entre les bouquins de Richard Morgan, et le jeu Netrunner, je crois que je connais déjà assez bien le cyberpunk comme ça.
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J'ai complètement bugué sur cette lecture.

La critique à l'époque, et celle d'aujourd'hui sans doute encore, a vu dans "Neuromancien" un jalon nouveau, la première pierre à l'édifice du cyberpunk. Moi, je n'y ai vu que l'ennui.

L'intrigue est aussi obscure que l'écriture en HTML et le jargon digne des conditions d'utilisation de Facebook. Il faut bien avouer que cet univers parallèle basé sur la réalité virtuelle a bien mal vieilli et ne fait plus fantasmer grand monde en 2019. Qui rêve encore d'un casque vidéo pour surfer sur le web? En tout cas pas moi.

Ainsi, lire Gibson aujourd'hui, sans dévaluer la descendance prolifique de ce roman tout juste post-"Blade Runner" dans l'histoire de la fiction ni diminuer son aspect prophétique, tient du passage en revue d'un obscur forum de dépannage informatique.

Alors, ben, j'ai bugué.

(Note: dans le genre cyberpunk, j'ai préféré "Dr. Adder" de KW Jeter)
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Je me suis lancée dans Neuromancien car mon enseignant de "Science et Science-fiction" me l'avait conseillé pour ma lecture sur le thème cyberpunk.

J'ai été terriblement déçue, j'ai eu du mal à m'accommoder à ce style d'écriture rapide, crue sans transitions qu'est celui de l'auteur. Les personnages ont un caractère particulièrement brut de décoffrage et on n'arrive pas tout le temps à suivre le fil de l'histoire, où se trouvent les personnages...

L'histoire était intéressante mais ne commence à se dérouler qu'à partir de la moitié du bouquin. Puis quand on finit enfin par s'habituer à l'écriture, le rythme se saccadent à nouveau et la lecture des 80 dernières pages a été laborieuse.

Je dirais que ma découverte de la littérature cyberpunk par ce livre m'a un peu effrayé et ne m'encourage pas à me plonger dans d'autres lectures de ce type.

Malgré une bonne intrigue, l'écriture et les relations entre les personnages ont l'air d'être bâclés.
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Je suis passé à côté. Complètement. Je me suis ennuyé à tel point que je n'ai pas pu finir. Comme quoi un prix nébula peut vite vieillir ou être mal attribué.
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