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EAN : 9782072828027
192 pages
Gallimard (25/10/2018)
3.32/5   36 notes
Résumé :
Quatrième de couverture:
«Autant vous prévenir tout de suite : ceci n’est pas un ouvrage de théologie. Si c’est ce que vous attendez, débarrassez-vous-en sans tarder. J’ai un grand respect pour elle mais, à haute dose, il me semble qu’elle peut tuer la foi.
Or, mon sujet, c’est précisément la foi. La foi du charbonnier, celle qui vous donne un sourire stupide du lever au coucher, celle qui vous porte vers les autres, les fleurs, les enfants, les bêtes... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique

Franz Olivier Giesbert nous prévient : ne pas se fier à son titre ( s'il en avait trouvé un autre, cela aurait sans doute été plus simple ?) il ne va pas nous abreuver d'un discours théologique. Il n'est pas question de religion, mais de ce sentiment océanique dont parlait Freud, de ce panthéisme qui nous fait nous extasier ( eh oui , l'extase, le ravissement, être hors de soi, sortir de notre petit moi pour faire partie du grand univers).
Il commence par un plaidoyer en défense de ces pauvres animaux que nous mangeons après les avoir humiliés, parqués et dévalués. Rares sont les animaux bipèdes, et donc ils ne voient pas le ciel et les nuages au dessus de leur tête. A part ça, ils ne méritent pas l'opprobre et la torture dont ils sont l'objet.

Nous, nous avons ce privilège de pouvoir regarder le ciel, les étoiles et les merveilleux nuages. Car ce ciel rempli d'étoiles est une des splendeurs que chacun a au dessus de sa tête. Laissons donc Dieu avec sa barbe et sa grande indifférence, car apparemment il a lâché les affaires courantes, mais apparaît cependant à travers la beauté du monde ( Kant en a fait l'unique preuve de l'existence de Dieu, « le ciel au dessus de moi, la loi morale en moi »).

A l'appui de quoi FOG évoque Epicure, pas du tout épicurien débauché et partouzard (vous le saviez bien entendu) mais bien plutôt ascète, assez proche de Bouddha en ce que les plaisirs sont bons à condition de ne pas nous faire souffrir ensuite ( ah, les lendemains de cuites !) végétarien , frugal, nous dirions prônant la décroissance.
Pour lui, Dieu est passif, démissionnaire, presque inexistant, et en ce sens il a fasciné Nietzsche. le bonheur pour Epicure c'est regarder palpiter la mer, éclore une fleur, danser un papillon, suivre les nuages. Et c'est exactement ce que veut dire FOG en parlant de Dieu.

Puis FOG continue à travers l'histoire en nous présentant Saint François d'Assise, roublard qui a su manipuler l'Eglise et ne pas terminer sur le bûcher, bien que panthéiste lui aussi.
Puis la figure de Galilée, prudent lui aussi. Enfin, Giordano Bruno, philosophe, apatride, poursuivi, trahi, ne voulant pas se renier lui même… et brûlé vif avec la langue clouée. Avait il dit quoi que ce soit contre l'Eglise toute puissante ? Non, il pensait, tout simplement, crime majeur que l'inquisition ne pouvait supporter. Il n'a pas fait école, et c'est dommage, car sa pensée est proche du panthéisme, elle aussi. L'âme n'est pas éternelle, dit il , elle se fond dans l'âme du monde.

Spinoza, lui, est athée et s'il parle constamment de Dieu, c'est pour mieux tromper son monde, car il a été renié par la communauté juive d'Amsterdam, n'est admis ni chez les luthériens, ni chez les calvinistes ni chez les catholiques. En fait, il parle de la nature, car la conception pour lui d'un Dieu vengeur, méchant, ou tout puissant est le résultat d'une projection humaine, qui crée Dieu à son image, et pas le contraire. La nature nous donne la béatitude, pas les religions ni leurs morales à la noix. Pour Spinoza la philosophie consiste à être heureux, à ne pas céder aux passions tristes, à nous remplir de la joie du monde. « Seule, dit il, une superstition farouche et triste peut interdire qu'on se réjouisse ». Panthéiste lui aussi.

FOG continue en appelant à la barre Emerson, Thoreau, son jardinier, tous ces penseurs de l'ouest américain, proches de la nature, panthéistes et ancêtres des hippies.
Et Darwin, naturellement, pour un amoureux des animaux dont il connaît les sentiments : car les animaux rient ( oui, je confirme, mon perroquet rit et seulement quand c'est drôle), font l'amour, aiment, dit FOG . de même, pour Giono, les rivières et les sources sont des petites femmes, qui, coquettes, s'habillent de joncs et de mousses, aiment, trompent, mentent, trahissent.

Dieu se rencontre, dans cette nature foisonnante, multiple, surabondante pour FOG ainsi que pour Epicure, Spinoza et Giono, pour ne citer qu'eux. Ce panthéisme et son amour de la flore, de la faune et du cosmos lui semble cependant à ras de terre, il manquerait l'essentiel : le sacré, le spirituel, la communion. Réapparait le Dieu que FOG a rencontré.

Ce petit livre m'a été prêté, la lecture en est divertissante, aisée, comme si le message optimiste et réjouissant bien qu'évoquant des philosophes, se répercutait dans le style aéré et facile.



( les phrases entre parenthèses sont mes réflexions personnelles. J'ajoute : Comme Spinoza nous est utile en ce moment ! Et quand FOG parle de la marche comme indispensable à sa vie, cela semble pourtant un peu compliqué actuellement)
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L'auteur Franz-Olivier Gilbert surprend son lecteur avec cet ouvrage et nous fait part de sa vision panthéiste du monde et de la vie, Dieu présent partout et en toute chose, sans même qu'on ait besoin de le nommer ou de le convoquer. La vision de l'auteur n'a cependant rien d'original puisqu'elle a été partagée avant lui par d'autres grands noms de la philosophie, Spinoza, mainte fois cité dans ce livre, fut l'un d'eux, mais d'autres grands noms de la Philosophie et de l'Histoire des religions sont aussi cités : Saint François d'Assise, Nietzsche, Giordano Bruno, Epicure, pour ne citer qu'eux... Se réclamant tour à tour et tout à la fois disciple de chacun d'eux (pour ne citer qu'eux), Franz-Olivier Gilbert nous invite à une prise de conscience, celle d'une vision idyllique de la Nature et de la nature des choses, du bonheur des choses de la Nature aussi, et il nous invite à nous émerveiller mais aussi à nous indigner face à une vision centralisant l'homme et son point de vue sur sa place dans le monde et dans L Univers, nous invitant aussi à relativiser la supériorité de sa place dans l'échelle du vivant, celle qu'il s'est attribuée pendant des siècles d'histoire de l'Humanité et qui l'a conduit à mépriser les autres représentants du règne vivant. Mais ce que Franz-Olivier Gilbert oublie cependant, c'est de tenter d'expliquer au lecteur ce qui a conduit à une telle prise de position de l'être humain à l'origine : l'être humain, cet animal doué d'une raison et d'une faculté de pensée hors du commun, il oublie en quelque sorte d'excuser le genre humain pour ses erreurs, s'indignant et allant jusqu'à oublier d'où il vient : car par la même occasion on a l'impression qu'il oublie de s'inclure lui-même dans ce genre humain avec toutes ses faiblesses, ses manquements et ses insuffisances, bref encore une fois, d'oublier d'où il vient.
J'aurais aimé davantage de compréhension de sa part et davantage d'explication - ou de tentative d'explication- plutôt que de nous livrer un point de vue qu'il estime être le bon, (de même pour son aversion du Pape François qui vient un peu comme cheveu dans la soupe est à peine comprise par le lecteur) ; à mon sens l'auteur a oublié que l'homme à souffert de la faim, du froid et des maladies dans toute son histoire, qu'il a dû lutter contre lui-même, contre ses semblables, contre les éléments et contre des ennemis visibles et invisibles - et qu'il continue de le faire - pour arracher un peu plus de vie à sa misérable condition. Sans des siècles de sédentarisation, de culture, de domestication et d'élevage, Monsieur Giesbert n'aurait peut-être jamais vu le jour et aurait encore moins eu le confort d'écrire ses pensées et ses essais : chaque chose à sa place donc, l'homme a aussi le droit d'avoir fait des erreurs et de s'être placé au centre de l'Univers, c'est d'ailleurs la démarche intuitive première qui vient lorsqu'on est perdu dans un labyrinthe et je m'étonne en vous lisant que cela ne vous ait pas traversé l'esprit... Ce n'est pas parce-que tout le monde n'est pas parvenu à un éveil de conscience tel que le vôtre et qui vous rend heureux et béat de l'air que vous respirez qu'il faut en faire un procès et faire de l'homme l'emblème d'une incompréhensible vanité et d'une arrogance sans nom comme c'est écrit en fin du chapitre 16, de même pour la critique de l'Histoire de la Genèse, le langage créationniste est un langage imagé et qu'importe après tout qu'un jour de la création représente cent millions ou cent milliard d'années, un symbole n'est qu'une image de la réalité, et le langage symbolique n'est d'ailleurs pas incompatible avec le langage scientifique : loin d'être un conte pour enfant, il permet de rendre compte ce qu'on l'on n'a d'ailleurs pas encore complètement compris, de plus, la séquence d'apparition de la lumière, de la matière, des êtres vivants sur notre bonne vieille Terre suit l"ordre d'apparition qui figure dans la Genèse, je regrette l'absence de l'évocation de la pensée symbolique (je n'ai pas écrit pensée magique) dans cet ouvrage, de plus il ne faut pas oublier que de plus en plus d'être humains prennent conscience que notre planète et tous les êtres qui y vivent font partie d'un tout unique et solidaire, ainsi va l'Histoire de l'humanité et en cela Franz-Olivier Giesbert n'est ni précurseur ni avant-gardiste, il se situe dans une mouvance naturelle et actuelle, gageons qu'elle est le témoin d'un progrès significatif désormais bien enclenché dans l'Histoire de l'Humanité.
Le livre vaut autant par le message qu'il véhicule que par l'évocation des grandes figures historiques qui figurent au panthéon de son auteur. Un livre à lire (avec les réserves que chacun saura avoir en mémoire) pour se souvenir de son message de fond et l'intégrer autant que faire se peut dans sa réalité, mais il est indispensable d'avoir aussi un esprit reposé pour bien en saisir le sens, une lecture de vacances par excellence donc...
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A l'instar d'Epicure, de Spinoza, de Saint François d'Assise, de Charles Darwin et autres panthéistes, philosophes et naturalistes des temps anciens dont il s'inspire spirituellement dans son ouvrage, Franz-Olivier Giesbert combine mysticisme et amour de la nature pour défendre les droits des animaux autant que ceux des hommes. C'est pour lui une lutte quotidienne dont il fait une affaire de conscience et d'honneur. le panthéisme, ou le culte de la nature divinisée, est une doctrine philosophique selon laquelle Dieu est partout et FOG s'en revendique, déployant dans un plaidoyer sincère et authentique une force de conviction qui force le respect.

Il déclare rencontrer Dieu régulièrement, simplement en regardant jouer des enfants dans un parc ou en admirant l'éclat d'une fleur qui s'épanouit dans la douceur printanière. Il nous rappelle que les êtres vivants ne représentent rien dans l'immensité de l'univers et qu'ils ne sont que de passage sur terre ; il met en garde plus particulièrement l'espèce humaine, son snobisme, son manque de modestie, son égocentrisme et la supériorité dérisoire dont elle se croit investie en portant un regard critique sur toute chose et en toute circonstance.

La vie est éphémère ici-bas et dans un élan d'amour, presque un cri, FOG nous invite à ne pas vivre repliés sur nous-mêmes, à nous ouvrir aux autres. Il nous exhorte à quitter les sentiers battus, à nous libérer de la routine qui nous oppresse, à laisser parler nos envies en osant nous aventurer vers l'inconnu : « Il y a deux catégories d'humains : ceux qui vivent et ceux qui existent. Nos existences sont des chemins bordés de murs qui nous conduisent à la mort comme des couloirs d'amenée d'abattoir. Il faut les démolir si l'on veut vivre, autrement dit profiter du monde qui nous attend derrière. »


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Grande déception !
La déception est d'autant plus marquée que le précédent livre de l'auteur sur ce même thème de la foi « Dieu, ma mère et moi » paru en 2012 m'avait enthousiasmé.
Dans son dernier livre « La dernière fois que j'ai rencontré Dieu », FOG reprend ce sujet de la foi qui lui tient tant à coeur. Mais ici, en 200 pages, tout n'est que fouillis et galimatias. Impossible de synthétiser ce qu'est la foi pour Franz-Olivier Giesbert.
Sa condamnation de la bible est cinglante. Pourquoi pas ? Sa critique du catholicisme est sévère. Pourquoi pas ? Il s'éloigne d'ailleurs fortement du christianisme par rapport à son précédent livre paru en 2012. Pourquoi pas ?
Mais là, où on a de la difficulté à le suivre, c'est dans la description de sa foi personnelle. Une foi à la carte, comme souvent aujourd'hui où chacun se construit la foi qui lui convient. Ici, la foi proclamée par FOG est une sorte de grand fourre-tout dans lequel il met beaucoup de panthéisme (doctrine qui minimise l'idée d'un dieu créateur et tend à représenter la nature comme un être divin), pas mal d'antispécisme (c'est dans l'air du temps !), un peu de transcendantalisme, de bouddhisme, d'hindouisme, de jaïnisme, de taoïsme, d'animisme, de judaïsme et de soufisme mêlé de méditations de penseurs et de philosophes comme Epicure, Spinoza, Emerson, Thoreau, Galilée, Copernic, Darwin, Giordano Bruno son nouveau Messie.
A ce doux mélange, l'auteur y ajoute le végétarisme, la grande idée de notre époque postmoderne.
Son Dieu à lui, c'est la nature, le moustique en pleine parade nuptiale, la pierre qui roule, le nénuphar écrasé de soleil. Sa prière à lui, la seule qu'il ait faite dans sa vie, c'est la prière faite à Rosette, la chèvre offerte à son anniversaire. Sa foi à lui, impossible, malheureusement, de la définir en refermant son livre.
Bref, la joie et l'optimisme qui transparaissaient dans son précédent livre « Dieu, ma mère et moi » ont laissé la place à un vaste ennui et à un grand désenchantement
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J'ai trouvé l'homme sympathique à la télévision,.
Il faut du talent pour parler de Dieu avec humour avec des remarques aigres-douces qui nous dérangent.
Pour défendre la cause des animaux qui; lui est chère, il fait intervenir toutes sortes de personnages de l'histoire
Aristote - Brigitte Bardot - Cervantès –Épicure - Érasme -
François d'Assise - Jacques Prévert - Le Clézio - Les papes - Maître EckhartNietzschePlotinProustPlaton – Ptolémée - Pythagore - SpinozaStendhal - Tolstoï - Virginia Wolf
Végétarien il se rapproche des antispécistes, il y a une certaine fraicheur dans ses positions iconoclastes. Les animaux sont la création de Dieu, et ils ont droit au respect au même titre que nous. Et si les animaux sont nos amis, on ne mange pas ses amis.
FOG a se dit disciple de Spinoza, c'est dans la nature qu'il rencontre Dieu, à chaque instant de la vie, dans un brin d'herbe entre les pavés, un oiseau sur la branche d'un arbre ou une vache dans un pré. C'est ce qui lui donne une démarche légère.
Né aux États-Unis d'un père américain et d'une mère française et professeur de philosophie il a été journaliste à Paris-Normandie, au Nouvel Observateur puis directeur de la rédaction au Figaro. A ceux qui lui demandent comment il a su faire face à ces postes importants il répond que c'est justement parce qu'il a rencontré Dieu.
Ce qui ne l'empêche pas de porter un jugement sévère sur les religions monothéistes qu'il accuse d'avoir fait un Dieu lointain et inaccessible.

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critiques presse (1)
LeFigaro
16 novembre 2018
Dans La Dernière Fois que j'ai rencontré Dieu, Franz-Olivier Giesbert se livre à un vagabondage spirituel plein de joie et d'émerveillement.
Lire la critique sur le site : LeFigaro
Citations et extraits (62) Voir plus Ajouter une citation
L'histoire de Dieu est celle du genre humain. Elle a été écrite par tout le monde, les philosophes, les scientifiques, les théologiens. Si on n'en connaît pas encore la fin, on sait qu'elle a commencé quand, un jour, il y a au moins quatre millions d'années, un hominidé à l'allure simiesque s'est mis sur ces deux pattes arrière et a vu le ciel étoilé qui lui a ouvert un monde nouveau. (p. 17)
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Je crois que l'harmonie est blanche comme la joie, le lait, la neige, le coton, les cheveux des vieillards. Ce jour-là, elle était si puissante qu'elle m'avait explosé, disséminé en particules élémentaires dans l'infini du monde. J'étais sorti de moi, je ne savais plus où j'étais. Perdu, pour sûr. Disparu, pour ainsi dire. Il me fallut au moins un quart d'heure pour rassembler les morceaux et me retrouver. ( p. 22)
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Tout semblait organisé, ici bas, pour que le mal l'emportât. J'étais dépassé. Les chats avaient compris qu'il ne fallait pas me montrer les proies qu'ils attrapaient. Ils se donnèrent vite le mot et cessèrent de les ramener fièrement sur le palier de la maison où je m'en emparais pour les ramener à la vie, quand la colonne vertébrale n'était pas brisée. Désormais, ils allaient tuer leur victime dans les haies et les déguster en catimini.
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Je crois en Dieu parce que je ne peux pas faire autrement. Il est toujours là, auprès de moi, partout ailleurs. Je l'aime, il m'aime et nous n'avons pas d'opinion l'un sur l'autre. Il ne me protège pas et ne me juge pas. Il m'accompagne.

Nous aimons la vie non parce que nous sommes habitués à vivre, mais parce que nous sommes habitués à aimer.

Mais sans le nom de Dieu, je ne sais pas ce que serait ma foi. Elle serait sèche, réaliste, à ras de terre. Il lui manquerait l'essentiel : le sacré, le spirituel, la communion.
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Regarder le ciel devrait être un exercice obligatoire dans une civilisation digne de ce nom. Je plains ceux qui ne lèvent jamais les yeux vers lui, si nombreux dans nos villes où il est caché entre les immeubles, les gratte-ciel. Il leur manque quelque chose d’essentiel. Ils ne peuvent pas comprendre l’infini de l’Univers dans lequel nous vivons.
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