La quatrième de couverture indique l'idée de départ. de nombreux philosophes ont marqué leurs contemporains au même temps historique. C'est le meilleur moment de l'ouvrage. La réflexion semble pertinente. Elle soulève une attente. Livre et esprit ouverts, curieux, disposé à toutes les audaces, toutes les suppositions fussent-elles aventureuses, je me lance sur les pas d'Amros le Celte appelé à devenir le 8ème prophète.
Las, il faut à FO Giesbert la moitié du livre avant que de rencontrer Pythagore. Une centaine de page passées à décrire la nature, le vent et l'amour pédéraste du capitaine grec.
Au fil des pages et des rencontres de ses hommes qui ont fait l'histoire, au lieu d'approfondir le sujet, le romancier survole, ignore, circonvole et exécute.
La facilité d'écriture et la clarté du style de l'auteur ne cache pas, bien au contraire, le manque de travail. Brassens, au détour d'un ver nous disait ‘'sans travail, le talent est une sale manie''.
A méditer par les idéologues de tous poils,
''C'est quand on a décidé du bien que cela devient le mal.''
Lao Tseu