C'est un album d'un très bel esthétisme qui rappelle en tous points la fin des années 50 avec de nombreuses références qu'il faudra repérer ici et là. Il décrit à merveille ce riche quartier résidentiel new-yorkais que l'on surnomme affectueusement le village.
Ce fut également un repère d'artistes, d'écrivains, de poètes, d'étudiants aimant faire la fête pendant les années 50. La Beat génération y avait ses repères loin du conformisme ambiant. On retrouve un peu de tout cela dans cet album. de nos jours, ce sont les bobos qui y ont leur résidence.
Bref, nous avons là une comédie romantique dans la plus pure tradition avec une héroïne plutôt survoltée et fantasque. C'est un peu une lecture très sucrée et acidulée. La relation entre les deux principaux personnages est plutôt tumultueuse. Il faut aimer le genre ce qui semble bien être mon cas. Par contre, à petites doses.
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Une histoire (d'amuuur) mignonne et qui donne le sourire.
Les dessins, très 60's, sont très colorés et bourrés de petits détails.
A la fin on est presque triste que ça se termine si vite.
Bientôt le tome 2 ?
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Gail, leger comme les bulles du champagne qu boit Bebe tous les soirs lors de fiestas dans son apparatement ce qui agace prodigieusement Norman Oaks, chroniqueur un peu has been. Mais grace au charme de Bebe, il va retrouver sa place dans les journeaux et meme plus. Trés années 60, dessin clair et fruité. A deguster comme un bonbon.
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