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sur 685 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Attention, certaines scènes sont très violentes. ● Juin 2003. Un indic, Sébastien Cortès, surnommé le Crapaud, se rend au commissariat central de Mulhouse pour y rencontrer le lieutenant Michel Grux, surnommé le Chacal. Il l'informe d'une opération d'envergure qui aura lieu à la Villa Venezia, une grosse arrivée de drogue prévue pour le samedi suivant. Parallèlement, un dealer a été pris avec de la drogue provenant du « Réseau Fantôme ». Christophe Sutter, le chef des Stups, va l'interroger pour en apprendre plus sur ce réseau qui est dans le collimateur de la police depuis longtemps. Les policiers vont peut-être enfin pouvoir arrêter Bruno Guillon, considéré comme le cerveau du réseau. Mais rien ne se déroulera comme prévu… ● J'ai beaucoup aimé ce roman très addictif et bien construit. L'auteur a un sens aigu du rythme et son récit est haletant. On ne cesse de changer de perspective, ce qui maintient tout le temps l'intérêt du lecteur. Certains rebondissements sont totalement imprévisibles. L'action est omniprésente, il se passe quelque chose à chaque page, à chaque paragraphe. ● Alors certes, les personnages sont assez caricaturaux, mais c'est la loi du genre. ● Et puis, le roman a une dimension spirituelle, ce qui pour le coup n'est pas courant. On y parle d'âmes, et la commissaire Cécile Sanchez peut même parfois les voir ! Il est aussi beaucoup question du « mal à l'état pur ». ● L'auteur maîtrise visiblement son sujet et les rouages administratifs de la police. ● Il y a beaucoup de personnages et plusieurs intrigues entremêlées, mais on n'est jamais perdu, c'est toujours très clair. ● J'ai dévoré les presque sept cents pages de ce roman et attends avec impatience la republication des deux tomes suivants : cette trilogie a déjà été publiée en 2018, 2019 et 2020, mais désormais introuvable, elle fait l'objet d'une nouvelle publication en livre de poche chez J'ai Lu à partir de cette année (2023). ● Les amateurs de polar et d'action ne peuvent que s'en réjouir et se délecter de cette lecture !
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En 2003 Bruno Guillon est à la tête d'un gang de trafiquants de drogues particulièrement organisé.

Une voix intérieure le guide depuis quelques temps et lui permet d'être de plus en plus efficace et sur de lui, ce qui facilite le développement de son business non seulement en Alsace mais aussi jusqu'en Suisse et en Allemagne, en s'associant à Faust Netchaïev dit l'Hyène.

Netchaïev est aussi un tueur sanguinaire, pourchassé comme Guillon, par deux flics : Michel Grux et Régis Valenza.

Lorsque les indics de ces deux flics sont repérés et découpés par Nechaïev, toute la PJ locale monte sur la Villa Venezia d'où est contrôlé le réseau de Guillon.

C'est un carnage et un fiasco, car même si Guillon et Netchaïev sont neutralisés, de nombreux flics y laissent leur peau. Pour le commandant Frietblatt en charge de l'opération, il faudra faire en sorte de masquer les faiblesses de son intervention bâclée.

Sept ans plus tard, lorsqu'un couple travaillant dans le milieu des DJ, et qu'un banquier et son amant sont sauvagement assassinés dans l'Est de la France, la commissaire Cécile Sanchez de l'OCRVP (Office Central pour la Répression des Violences aux Personnes) fait un lien avec un trafic de drogue et se rend à la SRPJ de Strasbourg, dirigée par Frietblatt, pour prendre en main cette enquête. Sur place, on ne lui facilitera pas la tâche.

Mais plus son enquête avance, plus elle fait de lien avec cette affaire de 2003 et une organisation appelée Borderline, qui ne s'est peut-être pas complètement éteinte après la descente de la villa Venezia.

A mon avis :
Voici un polar brillant et très bien construit. Malgré la complexité des situations et le nombre important de personnages, il est mené de façon extrêmement claire et précise si bien que le lecteur ne ressent aucune difficulté à suivre le Commandant Sanchez dans les différents services de polices et dans ses rencontres avec tous les protagonistes de ce thriller.

Impossible donc de s'ennuyer à la lecture de ce livre dont la première partie démarre sur les chapeaux de roue, avec des séquences brutales et sordides, puis la seconde avec un personnage ciselé et attachant (Cécile Sanchez, personnage récurrent de l'auteur), dont l'enquête progresse en même temps que notre curiosité, ce qui nous fait tourner les pages à vitesse grand V.

Chose rare, j'ai ressenti une véritable plongée dans la façon de penser de ce flic aux compétences particulières (elle est notamment psychologue et synergologue) qui ne sont cependant pas exagérées et qui font d'elle quelqu'un de compétent plutôt qu'extraordinaire... c'est bien plus réaliste.

Un livre bien documenté sur les différents services de police (on découvre autre chose que les habituels 36 et SRPJ), mais également très précis dans ses descriptions du milieu des trafiquants de drogue.

Contrairement à ce que l'on trouve dans la majorité des thrillers ou policiers, beaucoup de personnages sont féminins. de ce point de vue la parité est plus que respectée...

On ne peut donc rien reprocher à ce thriller haletant, si ce n'est qu'il ne se clôture pas vraiment, puisqu'il n'est que le premier volume d'une trilogie ("Sa majesté des ombres", "Les anges de Babylone" et "Le sacre des impies").

Mais je vous suggère de ne pas passer à coté.

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Titre : Sa majesté des ombres. Tome 1 .
Auteur : Ghislain Gilberti
Année : 2018
Editeur : Ring éditions.
Résumé : Cécile Sanchez est une légende. Mentaliste hors-pair, enquêtrice surdouée et l'un des meilleurs éléments de la police judiciaire française. Lorsqu'elle est parachutée dans la région Alsacienne, la jeune fille ne s'attend pas à devoir affronter une organisation d'un nouveau genre : un cartel impitoyable et mystérieux dont les membres sont aussi compétents que cruels et organisés. Cécile s'engage alors dans une lutte qui va la mener jusqu'aux portes de l'enfer.
Mon humble avis : Deuxième lecture d'un roman de Gilberti cette année. Après l'atypique dernière sortie pour wonderland, place au domaine de prédilection de l'auteur : le polar. Sa majesté des ombres est un pavé et le premier tome d'une trilogie paru aux éditions Ring. Trafic de drogue, profilage, action et rebondissements, critiques dithyrambiques, tous les ingrédients semblaient réunis pour faire de ce texte une oeuvre marquante. Ce fut le cas et je vais tenter de vous expliquer pourquoi. D'abord la densité de ce roman ce qui est plutôt rare dans les productions françaises de ce type. Quel plaisir - rare - de lire un polar hexagonale touffu et foisonnant. Les personnages sont attachants, parfois détestables, mais toujours campés avec précision et minutie. le rythme est intense, l'action omniprésente, le style direct, efficace et éminemment cinématographique . Rare sont les auteurs pouvant se targuer de mettre le lecteur en immersion totale et Gilberti fait partie de cette caste : j'ai avalé son pavé en quelques jours sans ennui ni déplaisir. D'abord dérouté par les scènes d'action qui arrivent très (trop? ) tôt dans le roman, je me suis ensuite régalé de l'énergie et de l'écriture rageuse de l'auteur. Un brin caricatural parfois, réaliste et addictif comme certaine série ( je pense notamment à Braco ), sa majesté des ombres est un must dans le paysage des polars français. Ca sent la poudre à canon, la poudre venue tout droit du Pérou ou de Colombie, ça tient la route et c'est passionnant à lire. Alors pour toutes ces raisons et celles évoquées plus haut, je ne peux que m'incliner devant le talent de l'auteur. Chapeau bas monsieur Gilberti et à très bientôt pour le tome 2 .
J'achète ? : Sans aucun doute. A l'image des meilleurs polars venus d'outre atlantique, sa majesté des ombres est une oeuvre intense peuplée de personnages forts ( peut-être un peu too much parfois mais je pense que c'est volontaire ) mais ça marche et c'est un régal de lecture. C'est exactement ce que l'on attend d'un excellent polar non ?
Lien : https://francksbooks.wordpre..
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Cela fait maintenant plusieurs romans que Ghislain Gilberti traverse la vallée de l'ombre. En guide averti, il nous invite au voyage, une fois de plus.

Sa majesté des ombres est le premier tome d'une trilogie, qui prend le relai de celle qui l'avait propulsé en pleine lumière : le festin du serpent / le baptême des ténèbres / le bal des ardentes. Retrouvailles avec Cécile Sanchez, spécialisée en criminologie, membre de la section d'élite de l'Office central pour la répression des violences aux personnes (OCRVP). Un réel plaisir pour les fans de la première heure, une belle initiation pour ceux qui découvrent l'univers des thrillers gilbertiens.

Ce roman est une descente au plus profond du milieu de la drogue, et d'une organisation de deal aussi violente que structurée. 740 pages, comme si vous vous retrouviez en totale immersion dans une enquête aux méandres insondables.

L'action se déroule sur tout le territoire de l'Alsace, ainsi que sur Belfort. L'Alsacien que je suis a apprécié de se retrouver en terrain connu (même si j'ai un peu pesté face à deux coquilles dans les noms de patelins, aux dénominations difficilement prononçables pour les non initiés).

Face à l'ambition folle affichée par cette entreprise, il fallait une réelle maîtrise du sujet et de la narration, au risque de se prendre les pieds dans la poudreuse. Ghislain Gilberti y parvient avec un savoir-faire qui contribue à l'asseoir à une place de choix dans le domaine du thriller vitaminé et immersif.

Rarement vous aurez l'occasion de plonger aussi loin dans les dédales d'une investigation policière tout comme dans les replis les plus insondables de l'âme humaine (torturée). L'écrivain a une capacité toute personnelle à donner vie à ses personnages et à l'action qui va les engloutir.

Le récit est ciselé au scalpel, magnifié par une écriture fluide et précise. Une vraisemblance étonnante que Gilberti fignole dans les détails, même si l'intrigue part parfois dans les excès. A l'image de sa première partie qui s'apparente à des scènes dignes d'un western des temps modernes. Duels au soleil alsacien.

Je n'ai ressenti que deux légers bémols durant cette folle lecture (un seul qui concerne le livre, en fait). L'impression que le récit aurait pu être davantage ramassé, avec quelques scènes plus dispensables que d'autres (mais en rien gênant pour autant, c'est plutôt une envie d'excellence quand on connaît le potentiel de l'écrivain). Et puis, remarque qui ne touche pas l'histoire en elle-même, la quatrième de couverture qui est hors de propos, à décrire des faits qu'on ne découvre que très en aval de la lecture (si vous pouvez éviter de la lire…).

L'auteur domine son sujet avec autant de virtuosité que de précision, que ce soit dans les descriptions détaillées de l'enquête (et des querelles internes), ou dans la peinture hallucinatoire du trafic de drogue. Digne d'un scénario qui pourrait prendre vie à l'écran.

Sa majesté des ombres confirme l'énorme talent de Ghislain Gilberti. de l'action vendue au kilo et de la psychologie pesée au gramme près, pour une immersion complète dans un réseau de dealers et dans l‘enquête qui tente de le démanteler. La suite s'annonce corsée.
Lien : https://gruznamur.wordpress...
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Avec la sortie prévue au mois de Septembre du dernier volet, je me devais d'enfin découvrir la deuxième trilogie de Ghislain Gilberti. Cet auteur, dont la blogosphère dit le plus grand bien, faisait partie de mes objectifs de lecture prioritaires. J'ai pris mon courage à deux mains et je me suis lancé dans ce pavé.

Celui-ci est divisé en trois parties. L'introduction, qui fait d'ordinaire quelques pages dans les autres thrillers, fait ici presque 200 pages. Dès les premières lignes, on entre de plein fouet dans l'action. Les évènements s'enchaînent rapidement. Avec des scènes de poursuites, de violence, la tension est à son comble. Cette explosion d'action décape et on en ressort hors d'haleine.

Ce n'est qu'après ce long prologue que l'on fait la connaissance de Cécile Sanchez l'héroïne. le rythme ralentit alors fortement et le lecteur est immergé à l'intérieur de l'enquête. Il est question d'analyses de preuves, de documents officiels, de mise en place d'infiltrations, du côté stratégique de l'intervention policière. On entre dans la phase « guerre froide » de l'aventure. Alternant entre les différents protagonistes, les chapitres nous ouvrent les portes des deux camps. de chaque côté, les acteurs déplacent leurs pions afin d'essayer de piéger l'adversaire. Petit à petit, le moment de la confrontation approche, la pression monte, jusqu'à un dénouement une nouvelle fois tonitruant.

« Sa majesté des ombres » joue donc aux montagnes russes avec ses lecteur.rice.s. La partie plus calme est un peu longue à mon goût, mais le résultat est probant. Grâce à une écriture efficace, Ghislain Gilberti maitrise son sujet et sa narration pour nous entraîner dans ce combat total. Ses personnages imprévisibles créent une atmosphère aussi exaltante qu'angoissante. Il laisse aussi planer un certain nombre de mystères sur l'univers mafieux. Cela nous annonce de belles surprises pour la suite… et comme je veux aussi en savoir plus sur Cécile Sanchez, je vais m'empresser de la lire !
Lien : http://leslivresdek79.com/20..
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Ce roman – cette brique, oui - m'a été offert pour mon anniversaire.
Si j'avais déambulé dans une librairie, si je l'avais pris entre les mains, si je l'avais retourné pour lire la quatrième de couverture, si j'avais donc lu ce qui suit :

«  Un cartel invisible livrant une nouvelle guerre sans merci.
Une drogue d'une pureté inédite.
Un réseau de dealers... »

Je crois, non, je suis certaine, que je me serais arrêtée là et l'aurais reposé sans même terminer le résumé. Car si j'aime les romans policiers, polars ou thrillers, ceux qui se déroulent dans des gangs ou cartels de drogues, ce n'est pas ma came, si je peux m'exprimer ainsi.

Et bien j'aurais loupé quelque chose car ce roman – cette brique, oui – m'a happée du début à la fin et je l'ai lu très très vite. On sent que l'auteur maîtrise bien le sujet car tout paraît crédible et vraisemblable.
J'ai avalé la première partie, qui n'était pourtant pas la plus intéressante selon mes critères de base, en un temps record, les pages se tournant à la vitesse grand V, sans que je m'en aperçoive vraiment, de manière un peu hypnotique. Ghislain Gilberti prend son temps pour installer son intrigue et ses personnages, pour notre plus grand plaisir. Dès que son héroïne, Cécile Sanchez, prend le relais, ça passe encore plus vite.

J'ai presque tout aimé dans ce roman sombre, très sombre : les personnages, l'écriture, qui sans être sensationnelle ou exceptionnelle est agréable, les dialogues, l'atmosphère,... Presque tout, oui. Car un pan de l'histoire, que je ne dévoilerai pas, m'a paru par contre tellement peu crédible – et un peu gnangnan aussi – dans le contexte que ça me faisait soupirer d'ennui et d'exaspération.
Et autre bémol, quelques coquilles bien visibles m'ont un peu gênée sans néanmoins gâcher mon plaisir. N'y-a-t-il plus de relecteurs dans les maisons d'édition? C'est un problème que l'on trouve de plus en plus de mon point de vue et c'est quand même très dommage.

En bref, je ne connaissais pas cet auteur, je sais qu'il y a une suite à ce roman puisque Sa majesté des ombres est le premier tome d'une trilogie. Je vais aller acquérir le deuxième assez vite je crois.

Un roman que j'ai trouvé captivant et intéressant et qui a eu le mérite de me sortir de ma zone de confort.
Je recommande.


Challenge Multi-défis 2019
Challenge Jeu de l'Oie littéraire
Challenge Pavés 2019
Challenge Monopoly
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De la drogue et de la violence.
Un nouveau cartel, un réseau de dealers, une organisation hyper bien structurée.
Des flics volontaires mais complètement à la dérive et impuissants face à toute cette violence.
Et des carnages, personne n'y échappe.
Ce n'est pas marche ou crève mais obéis ou crève. Pas de seconde chance.
Les flics locaux ont échoué, Cécile Sanchez descend de Nanterre pour les épauler et lutter contre ce déferlement de violence.
Whaou, quelle histoire.
Et ce n'est que le premier tome de la trilogie.
Ca s'enchaîne, il n'y a pas de répit, l'auteur nous embarque dans ce chaos et nous avançons en apnée.
Nous croisons les doigts mais …
C'est dur, trash, hyper violent, sanglant… mais tellement addictif.
Je suis ravie de découvrir l'auteur sous cet aspect là. On m'avait parlé de son style et de sa plume mais je n'avais lu que Dernière sortie pour Wonderland, un remake d'Alice aux pays des merveilles (trash également je vous rassure). Et bien je rejoins les lecteurs qui ont adoré leurs lectures, je comprends totalement et j'ai adhéré au style.
Ainsi qu'au personnage de Cécile Sanchez.
Une superbe lecture, marquante, choquante, qui me donne très envie de lire la suite.

Lien : https://www.instagram.com/al..
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En 2003, le démantèlement d'un réseau de stup en Alsace s'achève dans un carnage. Des années plus tard, l'Office central de la police y envoie un de ses meilleurs éléments pour faire le lien sur une série de meurtres. .
Un très bon polar, noir à souhait. . On est plongé au coeur de cette enquête qui mobilise tous les rouages de la police ( sûrement un gros travail de Doc de l'auteur) sans être perdus parmi des protagonistes aux personnalités complexes. Finalement,c'est comme si on se trouvait dans cette salle de QG avec le mur d'enquête devant nous.
Je vais me plonger illico dans la suite.
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Ca c'est du polar, de l'hémoglobine, de l'action, des morts, de la drogue, des armes, des flics, des ripoux et tout et tout !
Le niveau de violence est au maximum mais le livre ne repose pas que sur cela, l'intrigue est au rendez-vous à toutes les pages.
J'imagine le film que ça pourrait donner !
Il n'y a plus qu'à attaquer les 2 autres tomes, les anges de Babylone et le sacre des impies.


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Un premier tome qui vous en met pleins les yeux avec une première partie qui ne nous laisse pas une seconde de répit.
L auteur nous offre que des personnages haut en couleur, flic ripoux,dealers dusjoncte et surtout Cecile Sanchez une flic détonante.
Un polar de 700 pages qui se laisse lire aisément malgré le'pavé et malheureusement une fois fini ce premier tome va falloir compter les,mois pour se procurer la suite.
Pour ma part un énorme coup de coeur.
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