Elle apprend goulûment, avec gourmandise, tout ce que l'école lui livre. C'est savoureux et poignant, ça nous rappelle nos années d'école primaire, le plaisir des cahiers neufs, des crayons bien taillés et de la trousse bien rangée, mais c'est poignant parce que ça nous rappelle aussi la cruauté des instits ou des élèves, et surtout le besoin qu'on avait, aussi, de cette bouffée d'oxygène qu'est parfois (toujours ?) l'école pour les enfants qui ne respirent pas très bien à la maison.
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