Ciao bella

Voilà quelques temps que je vois et j'entends parler de ce livre, et de cette auteure. Lectrice de Virginie Grimaldi, je ne suis pas passée à côté que ces deux dernières sont amies. Ce qui a évidemment accentué ma curiosité à découvrir son roman.
Une découverte sans regrets ! Une lecture agréable et amusante dont j'ai beaucoup apprécié le style. J'ai même gardé quelques citations. On suit Anna au fil des années au travers de ses séances avec sa psychologue, et on l'accompagne dans son évolution. Après chaque séance, le lecteur est comme plongé dans les pensées du personnage. L'écriture laisse un sentiment d'autobiographie, et laisse un doute sur ce que l'auteur nous livre ou ce qu'elle invente pour le récit.
Ce livre me pousse la porte vers l'écriture, ou en tout cas, suscite une réflexion de longue date à ce sujet.
Curieuse de découvrir d'autres romans de cette dernière !

Le personnage d'Anna ne manque ni de piquant ni de saveur, c'est le moins qu'on puisse dire : imparfaite, drôle, fantasque, phobique, impulsive, hypocondriaque (pathologique), grossière (parfois), hypersensible (toujours) et … névrosée à souhait !


Enceinte de son deuxième enfant et en proie à des angoisses incontrôlables, on la découvre dans le cabinet de sa psy (personnage bienveillant et empathique, intéressant également).


Au fil de leurs rendez-vous et de leurs échanges parfois cocasses, on entre dans l'univers de cette jeune trentenaire originaire d'Italie. Une femme comme tant d'autres mais terriblement touchante (« attachiante » comme on dit !).


On la suit dans ses aventures ordinaires, on savoure avec elle ses succès bien mérités, on la regarde grandir, évoluer et se libérer peu à peu des fantômes du passé.


J'ai beaucoup aimé la richesse de ce roman. A première vue, il paraît frais et divertissant. Idéal pour se détendre au soleil, sans prise de tête. Et puis, on découvre rapidement qu'il est plus que ça.


Car, oui, le ton léger. On sourit et on se moque gentiment des phobies parfois ridicules d'Anna. On est touché par sa spontanéité, on est amusé par son côté un peu maladroit, on tombe sous le charme de sa nonna adorée et on se marre avec ses copines déjantées. Et puis on a envie de faire son sac pour aller découvrir l'Italie si chère à son coeur.


Mais, avec beaucoup de pudeur et de justesse, elle aborde également différents thèmes plus profonds, plus graves. Comme les violences conjugales, la dépression, la souffrance au travail, le racisme, l'importance des liens transgénérationnels, l'acceptation du pardon, les discriminations de genres ou encore les charges mentales qui incombent encore trop souvent aux jeunes mères.


Alors, on est d'accord, il n'a pas la prétention d'être un traité sociologique ou un essai philosophique. Pour autant, cette approche plus sérieuse da la vie donne au roman une dimension intéressante. Plus personnelle. Plus engagée. Plus introspective.


Très belle découverte en ce qui me concerne. Je ne connaissais absolument pas Serena Giuliano avant de commencer cette lecture (je ne suis vraiment pas bon public pour tout ce qui concerne les blogs lifestyle en général). Je m'en tiendrai donc avec plaisir aux romans de l'auteure (très curieuse d'ailleurs de découvrir ses autres livres !)

Un court roman sympa qui se siffle d'une traite :)...au bord d'une piscine comme je l'ai fait.. ça n'a peut être l'air de rien, mais toutes les séances avec la psy et tous les sentiments mis à nu, comme ça brut, m'ont touchée. Nous suivons le parcours et l'évolution de cette jeune mère/femme/salariée qui évoque sans tabou toutes ses pensées les plus farfelues et ses galères quotidiennes. Je ne sais pas trop pourquoi,j'ai pleuré à la fin...il est vrai que nous nous débattons tous avec nos passés,nos souffrances et nos non-dit.
Malgré tout,ce livre reste frais et positif,dur mais réaliste.

Bien que maman de deux enfants, Anna est sujette aux crises d'angoisse. Elle consulte, Lizy, une psychologue. Pendant sa thérapie, Anna se retrouve confrontée à son passé, et principalement à son enfance. Et cette enfance qui fait resurgir ses peurs aujourd'hui.
Afin de partager son quotidien, ses interrogations, ou aborder des sujets d'actualité, Anna créée une page Facebook, puis un blog.

Si vous voulez des émotions, vous serez servis. le franc parler d'Anna fait rire, les moments en famille sont émouvants. le personnage principale va évoluer au fil des pages et des années car ce roman se déroule sur 8 ans. On aura d'abord une Anna qui à peur de tout, qui n'ose rien, avec un boulot qui ne lui plait pas, qui veut tout contrôler. Progressivement, elle saura lâcher prise et donner un sens à sa vie. C'est toujours agréable quand l'auteur fait progresser ses personnages surtout avec cette narration à la première personne comme si nous étions dans son présent.

La thématique de la famille et tout ce qui l'entoure sera au centre de ce récit. A cela s'ajoute aussi la position d'une mère dans une entreprise puisque comme sait si bien dire le patron d'Anna “les enfants nuisent grandement à la vie d'entreprise”.

Avec son côté féministe, Anna va révolutionner son petit monde à sa façon, va bousculer ses habitudes. Quelques clichés bien sur, comme celui de la femme active débordée, qui subit la pression sociale, qui à un mari parfait (il fait ses lessives, le ménage, ses repas tout seul) et qui va faire passer sa vie de mère avant celle de femme.

Seuls deux personnages sont bien travaillés ; celui d'Anna et celui de sa grand-mère. J'aurai aimé avoir un peu plus de détails sur les autres. C'est sans doute liée aux petites 260 pages du livre.

Ce premier roman fell-good m'a fait passé un bon moment. C'est idéal entre deux gros pavés ou simplement si on veut une lecture tranquille. le voyage entre France et Italie invite au dépaysement et à la découverte d'autres cultures.
Lien : http://insomnielivresque.fr/..

« Che confusione
Sara perche ti amo
E un'emozione
Che cresce piano piano... »
Vous l'avez en tête ? Ne me remerciez pas mais remerciez Anna 🤣. Je l'ai écouté et chanté pendant des jours !!!!


Anna c'est l'héroïne de Ciao Bella. Elle est un peu névrosée ,il faut se l'avouer, mais tellement attachante. Enceinte de son deuxième enfant, elle décide de consulter une psy, affectueusement surnommée Lizy. Anna a peur de tout! Jusqu'aux pommes de terre germées... Elle a du boulot la Lizy!
Mais Anna, c'est un peu nous en fait. Enfin moi en tout cas ( je ne me permettrais pas de vous traiter de névrosés 🙄) donc je n'ai pas eu trop de mal à rentrer dans l'histoire 🤣.


Par le biais de ses séances avec Lizy, nous en apprenons plus sur son enfance italienne, son arrivée en France et les divers événements qui l'on conduite à de telles angoisses. C'est avec un sacré franc-parler et beaucoup d'humour qu'Anna nous dévoile ses fragments de vie. Les années passent et nous suivons l'évolution de la jeune femme qui petit à petit arrive à dépasser ses peurs.


Aussi bien émouvant que pétillant le récit aborde de nombreux thèmes tels que l'enfance, la maternité, l'amour( pour son pays et sa famille), l'amitié , le racisme, le sexisme et l'acception de soi. Mais il mentionne également les divers réseaux sociaux et la rencontre d'une certaine Virginie Grimaldi ( franchement je vois pas du tout qui est cette personne 🤣 )


Je suis ressortie de ma lecture avec une furieuse envie de retourner en Italie ( ne serait-ce que pour ressortir les mots italiens que j'ai appris) et de chanter à tue-tete en ouvrant la fenêtre! Ce n'est pas un coup de coeur mais j'ai passé un excellent moment de lecture !


Je vous quitte avec cet extrait mémorable 🤣 : «  Ma grand- mère, c'est une caméra de surveillance. C'est le FBI italien, la CIA du village. Depuis son poste d'observation , elle a récolté plus de soixante-dix ans d'archives sur chaque habitant »
Lien : https://www.instagram.com/p/..

Un livre que j avais vraiment envie de lire , que j ai apprécié de lire mais que je ne conseillerais peut être pas forcément car je n ai été que moyennement emballée...
L histoire est belle ( la couverture encore plus !) Mais l histoire d Anna , dont les phobies nombreuses et variées m'ont parfois énervée , a vécu des événements qui l empêchent de vivre ... Anna survit, dans un monde dont elle subit les événements.
J avais envie de secouer Anna, de lui dire de vivre , de profiter de la vie ! Et grâce à sa psy , Anna ose, Anna s ouvre et Anna fait enfin des choses pour elle .

Mais c'est long parfois , sans trop d événements marquants ... J ai énormément apprécié de retrouver des bribes du blog de l auteur que je suis depuis ses débuts sur les réseaux sociaux. J aime toujours autant son humour :)

A lire, sans trop en attendre, pour toutes les mamans parfaitement imparfaites !

Lire cet auteur est adapté à la période estivale sachant que ce roman se dévore goulûment.

Nous tombons sous le charme d' Anna, jeune maman, angoissée de la vie, hypocondriaque qui a peur de tout, peur du chiffre quatre, des microbes, de l'autoroute, de la foule, du bruit, des pommes de terre qui ont germé…
Pour se défaire de ses angoisses, elle va suivre une thérapie.
Nous sommes embarqués entre la France et l'Italie, entre le roman et l'autobiographie…
“L'Italie est ma mère biologique, la France ma mère adoptive. “ Nous dégustons avec Nonna, tellement attachante, les bocconcini, calzoncelli, spécialités de la Campanie, en buvant du vino novello.

C'est un roman, pétillant, à lire sans prise de tête sachant que Serena Giuliano aborde, avec légèreté, des sujets profonds tels que les femmes battues, l'éducation des enfants, les valeurs familiales…

Le livre refermé, la glace cioccolato e nocciola a un goût de reviens-y!!

A travers les échanges d'Anna et de sa psychologue Elizabeth, l'auteur aborde de nombreux sujets importants comme les angoisses maternelles, l'autisme, la discrimination ou encore l'égalité des sexe. Merci Serena Giuliano d'avoir mis des mots sur beaucoup de mes sentiments. J'aimerai moi aussi arriver au stade où les peurs ne guideraient plus ma vie.. Mais cet ouvrage me donne espoir d'y arriver un jour. Petit à petit. Ciao Bella est vraiment un très beau roman.
Lien : https://onceuponadreamgirl.w..

Une bouffée de chaleur et de soleil pour ce livre de Serena Giuliano.

Anna m'a fait beaucoup rire avec son sarcasme à répétition ... Elle me rappelait un peu celle que je suis quand je suis ronchon. Mais surtout, j'ai adoré la voir évoluer, se dévoiler et s'épanouir, au travers de l'écriture notamment.

On rit, puis on est pris au dépourvu et ému par un souvenir, un moment partagé. Serena Giuliano nous ouvre les portes de son coeur et nous invite à partager ces petits instants de vie avec elle, avec Anna, sa famille et ses amis. Alors, on s'assoit et on écoute ce qu'elle nous raconte, on tourne les pages avec avidité, un peu comme on retrouve une amie et qu'on la laisse nous partager ses hauts et ses bas.
On retrouve des références à Friends, on salive devant des plats qu'on imagine délicieux, on sèche ses larmes et on la pousse à aller plus loin pour tenter ses rêves.

Je pense qu'on a toutes une Anna dans sa vie, mais aussi qu'on peut toutes s'identifier à cette femme drôle et forte, mais qui s'ignore totalement. Et c'est finalement ça, la beauté de ce livre.

Quelle bouffée d'air frais ! Nous suivons Anna et ses échanges avec sa psy sur différents passages de sa vie.
J'ai adoré ce livre, tout simplement car Anna c'est elle, c'est moi, c'est n'importe qui, c'est tout le monde, et c'est l'unique.
C'est un roman qui fait du bien, sans fioriture, efficace.
J'ai hâte de poursuivre avec Mamma Maria.