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4,08

sur 2387 notes
De l'Italie, je ne connais pas grand-chose finalement. Les pâtes, le parler (trop) fort ou Armani, bref résumé honteux de ce que m'évoque la petite botte !

Heureusement, Serena Giuliano est là ! Pour me faire visiter un peu de son Italie, celle qui sent bon l'enfance, le coeur et l'amour des autres ! Celle qu'elle porte dans son coeur, comme un joli étendard !

Je me suis donc attablé au café de Maria et je me suis envoyé deux trois limoncello, tranquilou gilou !

J'ai écouté ces héros quotidiens, j'ai entendu, de ma chaise, au fond du café, leur amour commun pour leur pays, pour ses habitants. C'est beau parfois la simplicité des vivants, des vibrants. C'est beau la solidarité née de trois fois rien, de l'appartenance à une même terre, à une langue. C'est beau, cette façon de vouloir laisser les autres entrer dans la ronde, pour défendre ceux qui doivent fuir leur pays.

J'avais envie de prendre dans mes bras la Mamma de tout ce joli monde, celle qui fait tourner la baraque et les coeurs, derrière son comptoir, avec son franc parler et ses petites attentions. Un personnage comme je les aime, pétri dans la tendresse et la sincérité.

Ici, ça parle vrai, ça se raconte en catimini et ça sent bon le vivre ensemble ! A l'heure où s'attabler aux terrasses est un doux rêve de flâneur, ce roman permet de braver les interdits et de se poser au creux des autres !

Serena Giuliano, avec ce deuxième roman, laisse éclater son amour pour ses racines, mais également porte un regard sur ce monde qui se replie sur lui-même, sauvé par la grandeur d'âme de ceux qui s'élèvent, à leur petit niveau, contre le désenchantement ambiant.

Un roman, comme un doux rayon de soleil, une lecture pour souffler un bon coup et traverser les frontières. Une lecture douce et tendre pour profiter du soleil, de la vie et du temps qui parfois nous dépasse.

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Meurtrie par une peine de coeur, Sofia quitte Paris pour revenir vivre dans son village natal du sud de l'Italie. Elle y retrouve avec plaisir l'ambiance chaleureuse de la petite communauté qui gravite autour du café tenu par la charismatique Mamma Maria.


Malgré mes résolutions d'éviter désormais le genre feel good qui m'a souvent déçue, j'ai fini par lire ce roman, prix Babelio 2020 dans la catégorie littérature française. Mal m'en a pris : les personnages, si lourdement typés italiens qu'ils en paraissent caricaturaux, évoluent dans une histoire désespérément candide, débordante de clichés et de bons sentiments, maladroitement saupoudrée d'une pincée d'ingrédients touristiques et gastronomiques censés faire rêver et saliver, mais qui, mal servis par une écriture plate et ordinaire, donnent le sentiment d'évoluer davantage dans une brochure publicitaire que dans une oeuvre littéraire.


Si vous êtes adeptes des romans feel good, celui-ci vous fera voyager dans une Italie de cartes postales. Mais il ne vous convertira pas au genre si ce n'est pas déjà votre tasse de thé.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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Quelques jours de pluie ont suffi à me donner l'envie d'un moment de farniente sur la terrasse de la truculente Mamma Maria .
Une envie d'Italie.

Par ce roman à deux voix , celle de Sofia et celle de Maria , Serena Giuliano invite le lecteur à entrer dans une ambiance familiale et chaleureuse en apparence , jusqu'à ce qu'un événement ne vienne bouleverser la routine .

Sofia , traductrice , a quitté Paris après une déception amoureuse et revient dans son village natal du sud de l'Italie .
Elle va tenter de panser ses plaies dans le giron de Maria et de toute une galerie de personnages .
Au coeur du village , le café tenu par la mamma est une véritable scène de théâtre qui laisse souvent poindre la recherche des valeurs d'antan , le " vivre ensemble " tellement mis à mal .
Souvent , j'ai pensé au village de Don Camillo . Cette nostalgie d'une vie communautaire des années 50 , dont on ne veut garder en souvenir que le côté bon enfant ! le tout réactualisé en y incluant le problème des migrants .
Sinon , c'est bourré de bons sentiments , ça ne nuit à personne bien sûr .
Le caractère des personnages reste trop superficiel à mon goût , même s'ils sont rendus attachants par quelques facéties pour servir une intrigue trop convenue .
Il y a quand même quelques piques bien lancées contre le fascisme , la condition féminine et le matriarcat .

Mais , je me suis laissé porter en ayant décidé d'être bon public car j'ai souvent été séduite par les notes d'humour qui pigmentent le récit ici et là .
C'est le souvenir que j'en garderai .
Et , je ne peux pas passer sous silence non plus , l'ambiance typiquement italienne , un cliché peut-être , mais tant pis ... j'ai aimé ces cris , ces rires , ces pleurs , ces émotions exacerbées ! j'ai aimé les regarder boire , manger , danser , chanter ...vivre quoi !

Alors , c'est vrai , ce roman ne fait pas de mal : on dit même " feel good " , ma grand-mère aurait dit " eau de rose" !
Bon , cette immersion chez les bisounours fut une lecture agréable et légère pour oublier un temps notre monde de bruts .












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Mama Maria - Serena Giuliano - Roman - Éditions Cherche Midi - Lu en avril 2023.

Maria mia,
Que de beaux moments passés avec toi dans ton petit café au milieu d'un tout petit village napolitain avec vue sur mer
entourée par Luciano, Ugo et Franco, trois retraités aimant taper la carte, ton petit-fils Giovanni, ton fils Pino, ta belle-fille Raffaella à qui tu rends la vie pas simple, eh oui, elle est milanaise, quel défaut mais au fond de toi, tu l'aimes. La jolie Sofia, traductrice, surnommée nénné (petite en napolitain), ton amie Lucia maraîchère, zia Gianna, tante de Sofia.

Et Souma et Mustafa, mais eux deux, c'est une autre histoire.

Ah, oui, j'oublie ton chanteur préféré, Adriano Celentano que tu écoutes du matin au soir et du soir au matin. Et Gennaro, ton mari parti depuis si longtemps à qui tu parles tout le temps à haute voix.

Et puis aussi ta manie de vouloir gaver tes clients comme des oies matin midi et soir. C'est vrai que ton risotto est le meilleur du monde, tes pâtes, tes lasagnes etc... aussi.
Tu as un corps généreux et ton coeur l'est tout autant.

Et alors ? Je vous entends me demander ce qu'il se passe d'autre dans ce petit village, pas si tranquille que ça, que ce qui tourne autour du café Mamma Maria, mais rien que cela, ce n'est pas rien !

Et puis ? Et puis non, je ne vous dirai rien de plus même si j'en meurs d'envie.

Mamma Maria, c'est un monde à elle seule, c'est le soleil, c'est l'Italie, c'est aussi son fichu caractère sous un coeur tendre, c'est la Mamma des sept cents âmes de son village, elle connaît tout le monde et tout le monde la connaît.

Bref, j'ai adoré . L'écriture de Serena Giuliano est tellement vivante, savoureuse, italienne, que sincèrement, j'ai vécu au milieu de tout ce petit monde le temps de ma lecture.

J'ai lu également Un Coup de Soleil, je me suis procurée Sarà Perché ti Amo. Et je vais commander Ciao Bella.

Je me sens tellement bien dans vos livres Serena Giuliano !
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Difficile , non , de rédiger un commentaire sur un livre qui a reçu le prix Babelio quand on connaît la diversité de ses membres , leur compétence et la sincérité de leurs avis ....Pourtant , il faut bien apporter ma modeste " pierre à l'édifice " . J'avoue que je ne suis pas forcément un grand amateur , ni un grand détracteur non plus de cette littérature " Feel good " , mais il m'arrive , parfois , de me lancer sur des chemins qui ne sont pas les miens mais , où je dois le dire , je ne me suis jamais ni ennuyé , ni perdu . C'est du reste le cas pour ce roman qui , je dois le reconnaître, m'a transporté sur la magnifique côté amalfitaine pour mon plus grand plaisir..
L'Italie , c'est mon point de vue , est un magnifique pays et l'on découvre aussi dans ce petit village , que ses habitants sont fiers , " chauds bouillants " quand la situation l'exige mais , surtout , savent s'unir autour des causes les plus nobles . Les coeurs parlent dés lors que....Réunis d'un seul élan dans ce sublime " temple de l'humanité " que représente le café de Maria , ce café où le " limoncello " vient à bout des réticences timides de certains ...On rêverait de s'y trouver , mieux même, après quelques gorgées du délicieux nectar , on s'y croirait , il suffit de fermer les yeux et de se laisser porter ...
Tous les personnages sont hauts en couleurs , dignes héritiers de Don Camillo ou Peppone ( un ami babeliote l'a déjà dit , je sais et je le prie de m'excuser de le " plagier " , on s'arrangera devant un verre chez Maria ) . Oui , dans ce roman , il y a la chaleur d'une ambiance , un café au milieu du village , près d'une place ombragée de grands arbres repoussant les ardeurs du soleil , et au milieu coule une ... rivière, euh , non , une fontaine dont le filet d'eau agonisant ne suscite même pas la compassion de villageois occupés par " l'affaire " ....Seul le pharmacien semble bien songeur ...Il y a tout ça, une atmosphère à "la Pagnol " , une atmosphère comme on les aime , comme on les rêve....
Je vous l'ai dit , je ne suis pas le plus ardent des défenseurs du genre , pourtant , je dois bien l'avouer , je suis loin d'y trouver " déplaisir " et j'ai passé un trés bon moment chez Maria et ses amis et , si vous avez l'occasion , entrez - y , le cocktail au limoncello est " mortel " ...et les " occupants et occupantes " du lieu ...délicieux ....
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J'ai voulu faire durer le plaisir de cette lecture au maximum mais je dois bien l'avouer, même une fois la playlist de Maria et les remerciements lus, c'st à contrecoeur que je referme cet ouvrage parce qu'il n'y a hélas plus de pages après.
Merci à l'autrice (décidément je ne m'y ferai jamais avec ce féminin, je préfère auteure), Serena Giuliano de m'avoir permis à travers cet ouvrage de retrouver un peu de ma grand-mère à moi, italienne elle aussi et qui cuisinait comme personne, cette fameuse pastachuta, non non même Maria ne l'égalait pas). C'est donc à toi, mamie, qui m'a laissé bien trop tôt que je dédie cette critique.

Ici, deux voix s'entremêlent, celle de Maria et son bar où il fait plus que bon vivre d'un côté et de l'autre celle de Sofia, traductrice pour une maison d'édition parisienne mais trop attachée à son village natal pour accepter de partager sa vie en deux. Si Jérôme, son ex, ne veut pas l'entendre et refuse de découvrir son "chez elle", c'est qu'il n'en valait vraiment pas la peine, comme dirait Luca, le frère de notre héroïne. Ici, c'est bien plus qu'une histoire d'amitié qui est narrée, c'est la vie d'un petit village au Sud de l'Italie toute entière qui respire à grands poumons, où tout le monde se connaît et s'apprécie pour ce qu'il est...du moment qu'il vient d'ici et c'est là où le vat blesse. L'arrivée d'une migrante libyenne, Souma, recueillie avec son petit-fils Mustafa, âgé de deux ans à peine, par Franco, un vieil homme du village et fidèle ami de Sofia (lui parmi tant d'autres et notamment ses deux compères avec qui il joue presque quotidiennement à la scopa dans le bar de Maria), risque de faire jaser...C'est la raison pour laquelle Franco a décidé de la cacher chez lui en faisant appel à Sofia en attendant quoi faire ? Comment vont réagir les gens du villages, eux dont une grade partie a voté pour l'extrême droite aux dernières élections ? Vont-ils accepter cette "étrangère" parmi eux, elle qui a fui la misère dans l'espoir d'un monde meilleur pour elle et son fils mais aussi pour l'enfant qu'elle porte ?

Un roman bouleversant, attendrissant, extrêmement bien écrit et dans lequel diverses cultures se croisent et apprennent à s'apprécier et à se compléter même ! Un roman qui pourrait changer la face du monde si tous acceptaient de s rendre dans le bar de Maria et de discuter avec ses habitués. J'exagère mais à peine, certes, cela ne révolutionnera pas le monde d'aujourd'hui ni celui de demain mais qu'est-ce que cela fait du bien, le temps d'une lecture au moins, d'y croire et d'espérer !
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Ce roman de Serena Giuliano invite à suivre les pas de Sofia, traductrice de romans, qui quitte Paris après une déception sentimentale pour revenir dans son village natal du sud de l'Italie. Au coeur de cette petite bourgade digne d'une carte postale, se situe le café tenu par la charismatique Mamma Maria. Si toute la communauté gravite autour de cet endroit à l'ambiance familiale et chaleureuse, certains habitués ne manquent jamais à l'appel. Lorsque Franco, l'octogénaire qui passe tous les matins, n'est pas au rendez-vous, Sofia sent immédiatement que quelque chose cloche…

Si ce roman à deux voix permet de passer du temps en compagnie de Sofia et de l'incontournable Maria, il permet surtout de croiser de nombreux personnages foncièrement attachants, dont le trio de petits vieux qui vient chaque jour à la « scopa » au café, mais également cette migrante libyenne et son petit Mustafa qui, à l'inverse de quasi tous les autres, ne sont pas nés au village… une différence qui ne va pas plaire à tout le monde !

Ah, quel plaisir de pouvoir se retrouver en Italie malgré le confinement. On y resterait bien plus longtemps sur cette terrasse ensoleillée du bistrot de Maria, pour y boire encore quelques Limoncellos dans cette ambiance familiale typiquement italienne, en compagnie de cette sympathique tenancière débordante de sincérité et de tendresse.

Un roman « Feel-good », sans surprises, mais qui invite à voyager tout en abordant la crise migratoire, le racisme, l'importance de la famille, la solidarité et la tolérance, en toute légèreté et toujours dans la bonne humeur. Allez, encore un petit Limoncello pour moi ! Et vous ?
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Dans ce petit village de la côte amalfitaine, la vie tourne autour du bistrot de Maria. Que ce soit pour y siroter un café, faire une partie de scopa, avoir des nouvelles du village, prendre un bain de soleil en terrasse ou travailler. C'est le cas, d'ailleurs, de Sofia, traductrice de romans, qui aime tant l'ambiance parfaite qui y règne, en musique de fond les tasses qui s'entrechoquent, les klaxons, les cris de Lucia, la vendeuse de fruits, ou encore les chansons d'Adriano Celentano. Elle ne regrette ni Paris et sa grisaille, ni son ex. Mais, ce matin-là, contrairement à ses habitudes, Franco, un papi de 82 ans qui est là dès l'aube pour trouver la force de débuter sa journée depuis le décès de sa femme, est absent. Aussi Sofia décide-t-elle de se rendre chez lui pour voir ce qu'il en est. Et c'est une grande surprise qui l'attend... Une surprise qui risque de chambouler la petite tranquillité du village...

Ce roman fleure bon le limoncello, les croissants au citron ou les glaces au chocolat... Doux, parfois amer, gourmand et réconfortant. Au coeur de ce paisible village niché sur la côte, l'on fait la connaissance de Sofia, jeune femme traductrice qui s'est rendu compte qu'elle ne pouvait pas vivre ailleurs qu'ici, Maria, la tenancière du bar, toujours le coeur sur la main et un mot gentil (sauf pour sa belle-fille dont elle aime se moquer) mais aussi Franco, Ugo, Antonio, Lucia... et deux invités surprise en la personne de Souma et son petit garçon, Mustafa. Si loin de leur chez eux qu'ils ont fui. Si "Mamma Maria" se révèle être une jolie carte postale de l'Italie, il prône aussi de bons sentiments tels que la tolérance, la solidarité (qu'elle soit inter-générationnelle ou envers les étrangers), la convivialité, l'attachement à ses racines... Habité par des personnages sympathiques et fort attachants et servi par une plume légère et ensoleillée, ce doux roman, empreint d'humour, d'amour et d'humanité, donne tout simplement du baume au coeur...
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Sofia revient dans son village près de Naples où elle vit parmi son petit monde.
Elle a fui Paris après une déception amoureuse.
Maria, tient le café du village, depuis 40 ans. Elle y met tout son coeur. Les habitués s'y réunissent chaque jour et en été, les touristes affluent car le petit village est en même temps une mini station balnéaire.
Ce matin, Franco, âgé de 82 ans , manque à l'appel pour son premier café de la journée.
Sofia va voir et, rien de grave, si ce n'est un imprévu qui va changer la vie de Franco.
Sofia et la belle-fille de Maria vont l'aider à résoudre la situation qu'elles tiennent secrète pendant un petit temps car la population n'est pas très accueillante. C'est qu'ils ne sont pas très riches dans ce village.
Maria, la tenancière du café est une personne haute en couleur et l'auteure a réussi à l'animer pour donner du relief au livre.
Je me suis attachée à ce personnage ainsi qu'aux autres d'ailleurs. Je dois dire que les chapitres se partagent entre deux narratrices, les deux héroïnes principales : Sofia et Maria.
Des joies de la vie, des drames parsèment le roman, la vie en somme.
Un beau moment de lecture passé avec cette histoire qui a remporté le prix Babelio de littérature française en 2020.
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Rafraîchissant !
J'ai acheté ce livre pour le prix reçu sur Babelio. Ma mère me l'a piqué avant que je ne le lise. Elle l'a adoré. J'avoue que moi aussi je l'ai bcp apprécié ! On est un livre plutôt léger, "feel good" pour utiliser les mots à la mode. Parfois drôle, tjrs tendre, rarement sombre.
En tout cas une magnifique carte postale de la côte amalfitaine que je rêve de voir un jour !

Un village italien, un bar tenu par Mamma Maria, ses habitués, et un grain de sable qui va tout bouleverser et mettre les protagonistes de cette histoire devant la violence de la réalité.... Bon je reconnais c'est parfois un peu caricatural, mais c'est drôle, charmant et ma foi ! L'Italie !..... soupir.....

Un bon moment de lecture, pas un chef d'oeuvre de la littérature mais sans doute d'un meilleur niveau que certain(e)s auteur(e)s qui publient à la chaîne !
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