Long long long trop long....
Pourtant une toile finement tissée avec des rebondissements et cela jusqu'à la fin mais que de longueurs et de passages qui m'ont paru inutiles...
Fin du XIXème siécle, disparu depuis 11 ans, James, actuellement Norton, débarque à Londres et prétend être le fils ainé de la famille Davenall. Au départ, débouté, par sa propre famille, qui le considérait comme mort, c'est dans les yeux de son ancienne fiancée Constance, que l'espoir renait peu à peu. Contre toute attente celle-ci le reconnait et croit en son identité, au mépris de la stabilité de son foyer actuel.
Chacun campant sur ses positions, ce sera donc à la justice de statuer sur la légitimité de l'homme. D'un côté donc, ce dernier qui semble connaitre la vie de James Davenall dans les moindres détails et dont l'histoire est crédible. Mais face à lui, son frère et héritier en titre du vaste domaine, tout comme sa mère, son oncle..., n'ont pas dit leur dernier mot et sont prêts à tout pour le démasquer.
Un découpage en 2 parties (même si ce n'est pas stipulé) où comme les protagonistes, l'auteur par les flashbacks plus ou moins heureux de ses personnages, nous conduit sur de vraies et fausses pistes.
Entre histoire, duperies, jalousies, mensonges, amour, confiance...., c'est une véritable saga familiale qui se joue page après page, et il faudra attendre la fin pour que les pièces du puzzle s'emboitent enfin.
Une intrigue bien ficelée mais longue (trop longue), sans compter quelques passages moins pertinents voire même agaçants ( la fiancée ingénue et naïve pourtant aujourd'hui trentenaire, au foyer chaleureux et qui envoie tout balader pour son amour de jeunesse ; ou encore l'internement d'un protagoniste engagé qui devient persona non gratta et dont pendant 1 an plus personne ne se soucie... c'est too much). Avec 400 pages de moins, et un soupçon moins d'entourloupes, ce gros livre aurait pu être une pépite bien plus éclatante ...
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Après des années un individu se fait passer pour James Davenall. Personne ne le reconnaît car pour eux James est mort. Seule Constance son ancienne fiancée émet des doutes, son mari ne l'admet pas et va tout faire pour chercher à à prouver que cet individu n'est pas celui qu'il prétend être. Il ne sera pas le seul à enquêter car s'il s'agit du vrai James Davenall, certains savent que leur fortune est remise en jeu.
Nous suivons cette bourgeoisie fin XIX qui ne veut pas perdre ses acquis. Un récit qui traîne trop en longueur et qui gâche le début de l'histoire.
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L'histoire se passe à la fin du 19e siècle en Angleterre dans une aristocratie à bout de souffle.
James Davenall ( ou Norton) revient dans sa famille après 11 ans de disparition.
Il connait bien des secrets, des anecdotes, qui vont craqueler le vernis de la famille ...
Mais, ce james ( ou Norton ) est il le vrai membre de la famille ou un escroc très bien renseigné.
Le lecteur, partagé entre les deux possibilités, se prend au jeu de l'intrigue.
Cependant, j'ai trouvé des longueurs,je pensais : "allez Mr Goddard viens-en aux faits!".
Ça et la description détaillée de l'aristocratie qui m'a ennuyé(pas le genre d'ambiance que j'aime), me donnent un sentipent mitigé.
Parfait pour les amateurs de " Dowtown Abbey ".
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Toujours aussi bien ficelé, ce roman de Goddard n'est pas son meilleur. Il use des mêmes ressorts d'intrigue que les précédents ouvrages: la disparition et la réapparition d'un personnage.
Parfois trop alambiqué, je reconnais que Goddard ne manque pas d'imagination et de sens de l'intrigue tordue.
quoiqu'il en soit, on veut le lire jusqu'au bout coûte que coûte
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Prouver son identité au 19ème siècle n'était chose aisée. Soit, d'autant plus quand sa propre mère déclare que vous êtes un imposteur et qu'il y a un titre et une grosse somme d'argent en jeu; il faut rechercher des témoignages, raconter des évènements à des intimes et que ne peuvent être que les vôtres, avoir du temps et ne pas craindre les rumeurs.
Ceci étant dit, si le propos est intéressant, que de longueurs, que d'histoires intriquées les unes dans les autres. Il faut attendre le dernier quart de l'histoire pour avoir l'impression d'une accélération et connaître le fin mot de l'histoire avec par moment une envie de dire: là, trop c'est trop.
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Nous sommes à la fin du XIXe siècle en Angleterre. Un homme se présente à la porte des Trenchard. William, le maître de maison le reçoit et cet inconnu prétend être une ancienne connaissance de madame Trenchard, Constance.
Il prétend être le réel héritier de lord Davenhall décédé il y a peu. Or cette personne est censée s'être suicidée, avec lettre d'explication, il y a une dizaine d'année.
À partir de là, le roman va être une alternance d'éléments en faveur et en défaveur de cette prétention ; d'alliances, désalliances et mésalliances pour gagner le procès.
On se prend au jeu, on se laisse convaincre par les uns puis par les autres, on revint sur ses convictions, on cherche ce qui est vrai ou à défaut ce qui est juste.
On bon roman dans lequel on se laisse prendre comme dans les grands romans du XIXe siècle bien qu'il ait été écrit en 1989.
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un roman policier historique qui tient en haleine. un « page Turner » efficace peut être trop efficace. de rebondissements en rebondissements, la question centrale du Roman (imposture ou pas ?) est savamment entretenue pour une issue … pour le coup qu'on ne voit pas venir et pour cause … c est tellement alambiqué … bref c est bien fait mais la fin est quelque peu grotesque ce qui enlève au roman tout son sel.
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