De la deuxième vie, de la vie de l'écriture silencieuse, faite en soi, sans autre moyen que l'écoute du va-et-vient des phrases, des fragments d'oeuvre sans destination, il est possible de dire encore autre chose...imperceptible détachement du monde
les livres paraissent bien pauvrement écrits, et d'une rigidité de corset, quand on les compare aux ondoiements de la langue intérieure.
La Café Littéraire - Emmanuel Godo, Ne fuis pas ta tristesse